jeudi 29 octobre 2015

Contrairement aux idées reçues, « l’extrême droite » a toujours été antinazie

ors qu’une nouvelle polémique, lancée notamment par Jean-Luc Mélenchon comparant Le Pen à Hitler, se développe au sujet de la réédition de Mein Kampf, qui tombera dans le domaine public le 1er janvier 2016 – son auteur étant décédé depuis 70 ans -, il convient de rappeler quelques vérités historiques un peu oubliées.
En février 1934, la maison d’édition proche de l’Action française, Les Nouvelles Éditions Latines, décide, à la demande de Charles Maurras souhaitant disposer d’une traduction fidèle de Mein Kampf pour comprendre l’idéologie hitlérienne, de le faire traduire et de le publier : l’ouvrage sera édité quelques mois plus tard et tiré à 8.000 exemplaires, avec en exergue la phrase du maréchal Lyautey :« Tout Français doit lire ce livre. »
Furieux de cette initiative prise sans son consentement, Hitler, qui envisageait de diffuser une traduction de son texte adaptée à chacun des pays destinataires, c’est-à-dire expurgée de tout ce qui pouvait attirer l’attention des États voisins de l’Allemagne sur ses intentions belliqueuses, engagea une procédure contre le patron des Nouvelles Éditions latines, Fernand Sorlot, à l’issue de laquelle la justice accorda au plaignant un franc symbolique de dommages-intérêts, considérant qu’il n’y avait pas lieu à la destruction d’un ouvrage que tous les Français ont intérêt à connaître.
Rejoignant l’inquiétude manifestée par Mgr Pacelli, futur Pie XII, alors nonce apostolique en Allemagne, qui qualifiait Mein Kampf de « livre à faire dresser les cheveux sur la tête », M. Sorlot soulignait, dans un avertissement introductif à l’édition incriminée, que « ce livre, répandu en Allemagne à plus d’un million d’exemplaires, a eu sur l’orientation soudaine de tout un peuple une influence telle qu’il faut, pour en trouver l’analogue, remonter au Coran ».
Germanophobe impénitent, Maurras ne collaborera jamais avec l’Allemagne (il sera condamné en 1945, non sur ce chef d’accusation, mais pour intelligence avec l’ennemi, crime inventé pour la circonstance), et s’il accueillit comme une« divine surprise » l’arrivée au pouvoir du maréchal Pétain, c’est qu’il pensait que le vainqueur de Verdun parviendrait à redresser la France, affaiblie par une République impuissante et corrompue qui avait conduit le pays à la défaite.
Si quelques brebis égarées, à l’instar de Robert Brasillach séduit par la liturgie virile des défilés de Nuremberg, furent compromises dans la collaboration, la majorité des royalistes et des nationalistes de toutes obédiences rejoignirent les troupes de la France libre, tels Honoré d’Estienne d’Orves ou le Colonel Rémy, comme Alain Griotteray l’a justement démontré dans son ouvrage 1940 : la droite était au rendez-vous. Qui furent les premiers résistants ?
En revanche, non seulement la gauche républicaine et pacifiste demeura longtemps attentiste, mais d’anciens hauts responsables communistes ou syndicalistes comme Jacques Doriot et Marcel Déat s’engagèrent sans état d’âme du côté de l’Allemagne en vue de la construction d’une Europe unie.
Avant de se livrer à des amalgames douteux, le représentant du Front de gauche devrait balayer devant sa porte…
Juriste
Fonctionnaire au ministère des finances

Des pays paient les émigrants pour venir en Europe

Intervention russe en Syrie, politique d’immigration en Europe et en France, foi chrétienne, dimension interconfessionnelle des conflits au Proche-Orient, défi de la reconstruction en Syrie : le père Toufic Eïd, curé grec-melkite catholique de Maaloula, a confié ses doutes et ses certitudes à Charlotte d’Ornellas.

Pourquoi y a-t-il 80 % d'hommes dans le flot de migrants qui soi-disant fuient leur pays en y laissant femmes et enfants livrés à des égorgeurs ?
Je n'ai pas envie de me retrouver un jour dans la peau du dhimmi chrétien,contraint de négocier une petite place sur son territoire ancestral.En Europe, la solution passe par la confrontation radicale et la reconquête.
L'ONU est l'un des pourvoyeurs de fonds permettant aux migrants de voyager à travers les Balkans pour venir s'installer en Europe.
Qui est l'instigateur de cette catastrophe est bien claire - il faut simplement écouter McCain (soutient Daesch) sur Youtube et George Friedman (Geopolitica). Elle veut la guerre en Europe et détruire son industrie (VW et autres), mais nos politiciens sont vendus!  L' "instigateur " est le plan Kalergi-Coudhenove dont nos " politiciens " sont les acteurs : remplacer les européens de souche par un mélange d'ethnies malhéable car inculte et sans racines .

Situation foreign fighters belges en Syrie

On estime à 516 le nombre de Belges qui sont ou ont été actifs en Syrie ou en Irak, dont 47 femmes.
Ce qui implique que, proportionnellement parlant, la Belgique est de loin la nation européenne qui fournit le plus de djihadistes étrangers à la guerre en Syrie et en Irak.
On estime aussi que de ce nombre, +- 70 ont été tués et 120 seraient rentrés au pays. Le sort des autres n’est pas toujours évident d’autant plus que certains ne sont connus que par leur nom de guerre, dont certains se ressemblent très fort. Sans compter que certains en changent.
Les morts ont été pour la plupart d’entre eux tués dans des combats. Au moins, trois d’entre eux ont mené une opération suicide. L’un d’eux (Iliass Azaouaj) a été décapité par DAESH/État Islamique pour trahison car il était soupçonné de travailler pour les services de renseignement belges et marocains.
Notons aussi que 50 personnes ont essayé de partir mais ont été arrêtées.
Environ 6% des combattants belges sont des convertis.
Les djihadistes sont principalement originaires de Bruxelles, Anvers, Vilvoorde et Malines mais on a trouvé des gens originaires, en tout, de 33 villes dont une majorité en Flandre.
De quels groupes viennent-ils ?
Plus de 15% des djihadistes belges sont proches du groupe Sharia4Belgium.
4 djihadistes sont liés à l’ancien Centre de réseau de Cheikh Bassam al-Ayashi Islamique Belge
Au moins l’un était un ancien membre du Groupe Islamique Combattant Marocain (GICM)
Dans quels groupes combattent-ils ?
Au moins 112 des combattants belges ont été rejoindre à coup sûr DAESH/ Etat islamique, mais le nombre est très probablement plus élevé. Sans compter que certains ont rejoint DAESH après avoir servi dans d’autres groupes djihadistes.
Au moins 17 (probablement beaucoup plus) se battent dans les rangs de Jabhat an-Nusra (Al Qaeda en Syrie)
16 autres sont liés à d’autres groupes rebelles, dont en majorité Suqour al Sham (Brigade des Faucons du Levant
Une liste de morts
Cette liste n’est pas exhaustive et certaines erreurs peuvent s’y trouver. Il ne s’agit pas ici d’une armée régulière qui publie un registre de ses morts.
Vous y trouverez (en fonction des informations dont nous disposons) les noms réels ou/et les noms de guerre, leur âge, leur origine, l’endroit où ils ont été tué,  le groupe dont ils faisaient partie en Belgique et celui où ils ont combattu…pour autant qu’on dispose de ces informations.
• Abd ar-Rahman al-Ayashi (alias Abu Hajjar), 38, Idlib, Suqur as-Sham
• Abdalgabar Hamdaoui, 34. Jabhat an-Nusra
• Abdel Monaïm Lachiri (alias Abu Sara), 33, Alep, DAESH
• Abu al-Bara’ al-Jaza’iri, Saraqib
• Abu Ali al-Baljiki, Idlib
• Ahmed Dihaj (alias Abu Atiq), 32, Sharia4Belgium, Jabhat an-Nusra. Etait poursuivi dans le procès Sharia4Belgium. A quitté la Belgique en Avril ou Mai 2013, tué en Septembre 2013
• Faysal Yamoun (alias Abu Faris al-Maghribi), 30, Sharia4Belgium, Jabhat an-Nusra. A quitté la Belgique en Décembre 2012, tué en Février 2014. Etait poursuivi dans le procès Sharia4Belgium.
• Hamdi Mahmoud Saad, 32, Latakkia
• Houssien Elouassaki (alias Abu Fallujah), 22, Vilvoorde, Sharia4Belgium. Tué dans la province d’Alep en Septembre 2013. Etait poursuivi dans le procès Sharia4Belgium.
• Isma’il Amghroud, 22, Maaseik, tué en Juin 2013
• Khalid Bali (alias Abu Hamza), 17, Anversen, Deir ez-Zor, Sharia4Belgium, DAESH, tué en Mai 2014.
• Mohammed Bali (alias Abu Hudayfa), 24, Anvers, Sharia4Belgium, DAESH, tué à Hama. Etait poursuivi dans le procès Sharia4Belgium.
• Noureddine Abouallal (alias Abu Mujahid), 23, Anvers, Sharia4Belgium, tué en Juillet 2013. Etait poursuivi dans le procès Sharia4Belgium.
• Raphael Gendron (alias Abdurauf Abu Marwa), 38, Bruxelles, Suqur as-Sham, Idlib, tué en Avril 2013
• Sean Pidgeon, a quitté la Belgique en Novembre 2012, tué en Mars 2013.
• Tarik Taketloune, Vilvoorde, 19, Sharia4Belgium, son frère est rentré en Belgique et son épouse est restée en Syrie. Tué en Mai 2013.  Etait poursuivi dans le procès Sharia4Belgium.
• Anonyme, connu sous le nom Younis Asad Rahman mais aussi comme Asad ar-Rahman al-Baljiki, Latakkia, tué en Août 2013
• Saïd El Morabit (alias Abu Muthanna al-Baljiki), 27, Sharia4Belgium, DAESH, tué en Mars 2014. Etait poursuivi dans le procès Sharia4Belgium
• Abu ‘Umar, DAESH, Bruxelles
• Rustam Gelayev (fils du chef de guerre tchétchène Ruslan Gelayev), Alep, tué en Août 2012
• Oufae Sarrar (alias Umm Jarrah), Sharia4Belgium, DAESH, femme de Ilyass Boughalab, tuée fin 2013. Connue comme étant la première femme djihadiste belge tuée
• Abu Sulayman al-Baljiki al-Maghribi, DAESH, tué à Kobanê mi-Novembre 2014
• Sabri Refla, alias Abu Turab, 19, Vilvoorde, tué en Décembre 2013
• Yassine El Karouni, alias Abu Osama, 23, d’origine hollandaise, tué en Mai 2014
• Zaliasria El Bouzaidi, Laeken (Bruxelles), ami de Sean Pidegeon, tué en Septembre 2014
• Abu Yahya al-Belgiki, tué en Octobre 2014
• Abu Adnan al-Belgiki, d’origine algérienne, au début membre de Jabhat an-Nusra (Al Qaeda en Syrie) avant de passer au sein de DAESH fin 2013, tué en Septembre 2014
• Abu Said al-Belgiki, tué à Dier ez-Zor en Décembre 2014
• Soufiane Amghar, alias Abu Khalid al-Belgiki, DAESH, tué par la police belge à Verviers le 15 Janvier 2015
• Kahlid Ben Larbi, ALIAS Abu Zubayr al-Belgiki, DAESH, tué par la police belge à Verviers le 15 Janvier 2015
• Haddad, pas d’autres détails, de Molenbeek (Bruxelles), frère d’un suspect de l’organisation de la cellule de Verviers, Abdelmounaim Haddad. Tué en Syrie (lieu et date inconnus)
• Hamza Kharbache, de Molenbeek (Bruxelles), frère de Younes Kharbache, tué à Alep en Février 2014
• Younes Kharbache, de Molenbeek (Bruxelles), frère de Hamza, tué dans la province de Damas en Août 2013
• Abu Bakr al-Belgiki, DAESH, mort dans un attentat suicide à Ramadi (Irak) en Mars 2015
• Mesut Cankarturan, alias Abu Abdullah al-Belgiki, DAESH, tué en Mars 2015 à  Deir ez-Zor
• Anonyme, ALIAS Abu Taymiyya al-Belgiki, DAESH
• Anonyme, ALIAS Abū ‘Abd Allah al-Belgiki, DAESH, mort dans un attentat suicide à la frontière entre l’Irak et la Jordanie en Avril 2015
• Abu Muslim al-Belgiki, DAESH, tué en Juin 2014.
• Abu Waliyya al-Belgiki, DAESH, mort dans un attentat suicide en Juin 2015
• Abu Turab al-Belgiki, DAESH, tué en Mai 2015
• Abu Handala al-Belgiki, DAESH, tué en Mai 2015
• Junior Juma, 16 ans !!!, tué finJuin 2015.
• Abu Ilyas al-Belgiki, DAESH, tué dans la province de Raqaa en juin 2015
• Lucas Van Hessche, 19, alias Abu Ibrahim, DAESH, quitte la Belgique en juin 2014. Tué en Août 2015
• Ahmed Daoudi, 31, de Turnhout, alias Abu Mohsin. Sharia4Belgium, quitte la Belgique en Août 2012. Tué après Août 2014. Avait été condamné à 10 ans de prison lors du procès Sharia4Belgium.
• Abu Mariyya al-Belgiki , DAESH, de descendance indoue. Une vingtaine d’années, a quitté la Belgique fin Octobre 2014. Aurait été tué en Août 2015
• Abu Ayman al-Belgiki DAESH. Tué par un tir de drone près de Raqqa. L’attaque britannique visait le djihadiste anglais Reyaad Khan.
• Fayssal Oussaih alias Abū Shahīd DAESH, originaire de Maaseik.
No Terror

vendredi 23 octobre 2015

Ces djihadistes de retour en Belgique et en France

La Direction des affaires criminelles et des grâces (DACG) a récemment alerté les magistrats antiterroristes au sujet des retours récents de djihadistes « français », ces derniers pouvant être « potentiellement autorisés » par l’État islamique et « porteurs de projets terroristes ».
Dans une note intitulée « Recrutement, parcours et activités des combattants français », la DACG révèle la vie quotidienne sur place de ces djihadistes ayant fait le choix de quitter la France pour se battre en Syrie.
La DACG retrace une « journée type » dans ces camps : lever à 5 h 30 pour la prière, entraînement physique (course à pied, pompes, parcours du combattant), formation militaire (tirs à la kalachnikov, maniement de lance-roquettes et de grenades), conditionnement psychologique (résistance à la faim et au froid), cours de religion et tours de garde la nuit. À l’issue de cette formation, les combattants sont regroupés dans des katibas — ou bataillons — par affinités linguistiques. Ce mode d’organisation aurait conduit des francophones (Français et Belges) à fonctionner en bandes fermées et à exporter une ambiance de cité en Syrie, selon le témoignage d’un ancien djihadiste.
La DACG explique également qu’un certain nombre de « Français » ont participé à des exactions : décapitations, flagellations et défenestrations… Et dire qu’ils sont de retour en France…


L’UNESCO s’apprête à admettre comme membre la soi-disant « république du Kosovo »

L’UNESCO s’apprête à admettre comme membre la soi-disant « république du Kosovo », alors que les Nations-Unies elles-mêmes n’ont jamais reconnu « l’indépendance » de cette province serbe, berceau historique de la culture et de l’identité chrétienne de la Serbie, aujourd’hui aux mains des rebelles albano-musulmans de l’UCK mis au pouvoir par les États-Unis, l’Union européenne et l’OTAN !
Encore une nouvelle hypocrisie qui, sans nul doute, n’a pas d’autre but que de profiter au clan islamo-maffieux d’Hashim Thaci au pouvoir à Pristina.
Il faut que cesse d’être ainsi bafouée par la communauté internationale la résolution 1244 de l’ONU !
La résolution 1244 du Conseil de sécurité des Nations-Unies, votée le 10 juin 1999 par le Conseil de sécurité, est une résolution prise sous le chapitre VII de la charte des Nations-Unies qui autorise un déploiement militaire et civil dans la province serbe du Kosovo dans le cadre d’une opération de maintien de la paix.
On reproche à la Russie l'annexion de la Crimée et dans le même temps on veut reconnaître le Kosovo terre volée à la Serbie.

L’invasion migratoire, ce sont les musulmans qui en parlent le mieux

Source : Réinformation.TV
L’invasion migratoire pointée du doigt ou revendiquée par les musulmans, on ne pourra pas dire que nous n’avons pas été prévenus ! Ainsi, un réfugié musulman, Mudar Zahran, prévient que l’immigration massive est « une conquête islamique douce de l’Occident ». À voir ou à revoir aussi (lien en fin d’article), la vidéo de cet échange entre l’animateur arabophone « frère Rachid » et le cheik Ahmad, « réfugié » en suède, qui affirme que les musulmans « sont là pour une mission religieuse, répandre notre religion, l’islam ! ».
C’est un réfugié musulman au Royaume-Uni qui encourage l’Europe à tenir les réfugiés musulmans loin de ses frontières. Le témoignage n’est pas banal, et il a le mérite d’être clair. Pour le professeur jordanien Mudar Zahran, qui vit en Grande-Bretagne et qui se présente comme un « musulman orthodoxe », l’immigration massive n’est pas autre chose qu’une « conquête islamique douce de l’Occident ».
C’est lors d’un entretien accordé à The Glazov Gang que le professeur Zahran met l’Europe en garde : pour lui, l’Occident est manipulé et trompé par des migrants qui ne sont pas ce qu’ils prétendent être. L’islamisation des pays européens n’est un secret pour personne : on demande aux jeunes Allemandes de se couvrir pour ne pas choquer, les accommodements pour les musulmans sont légion dans tous les pays et les musulmans manifestent au son de « Allah Akbar » dans nos rues, quand ils ne refusent pas, en Grèce, de recevoir de l’eau et de la nourriture parce qu’une croix rouge est portée dessus…
Les réfugiés musulmans « syriens » ne sont pas ceux que l’on croit pour le professeur Mudar Zahran
Mais le professeur Zahran va plus loin. Pour lui, les réfugiés ne sont pas syriens comme ils le disent. Beaucoup viennent d’ailleurs que du Proche-Orient. Parmi les Syriens, l’immense majorité vient de zones paisibles qu’ils n’avaient pas besoin de quitter (les autres ne peuvent actuellement pas fuir le pays). Il va même jusqu’à faire remarquer que ces clandestins ne s’arrêtent pas dans le premier pays paisible qu’ils atteignent, ils se précipitent dans une Allemagne riche et généreuse…
Il fait d’ailleurs remarquer que l’Allemagne pourrait recevoir 1,5 million de musulmans cette année, dans un pays qui transforme déjà ses églises en mosquées… « C’est un gros problème, cela va changer la culture de l’Europe », insiste-t-il.

Le Pr Mudar Zahran affirme que de nombreux terroristes musulmans veulent la conquête douce ou non de l’Occident
Il poursuit sur la question du terrorisme. Si un pays accueille un million de musulmans et que le dixième d’un pour cent d’entre eux sont terroriste, cela en fera toujours 1.000 ! « Je peux le confirmer. J’ai des photos, j’ai des images, j’ai des clichés, j’ai des noms de terroristes qui sont déjà en Europe et qui postent leurs photos sur Facebook », explique-t-il : « La face de l’Europe va en être affectée profondément ».
Il insiste par ailleurs sur le manque d’intégration évident de ses frères musulmans en Occident. Il explique que la conquête est simple : avoir des enfants, le plus possible, et profiter des aides sociales jusqu’à transformer le pays, sans aucune considération pour sa culture, son identité ou ses lois. Seule la charia compte pour nombre d’entre eux, répète encore le professeur jordanien.
frere_rachid
Le « Frère Rachid », un ex-musulman marocain, anime tous les jeudi soir une émission en arabe intitulée Sou’âl jarî’ (Daring question – Question audacieuse) sur la chaine satellitaire Al-Hayat basée aux États-Unis. Il dialogue avec des dignitaires religieux et des chercheurs musulmans ainsi qu’avec des ex-musulmans. Il commente souvent les textes fondateurs en islam relatifs à la violence contre les non-musulmans et portant atteinte à la dignité humaine. Grâce à cette émission, il est devenu l’animateur-phare de cette chaine de langue arabe, regardée par plusieurs millions de musulmans dans le monde.
C’est la raison pour laquelle il parle de « conquête islamique douce de l’Occident ».
L’immigration islamique massive est « payée » par l’Occident lui-même
Ce que les musulmans « ne pouvaient pas faire il y a 20 ans », explique-t-il, « maintenant l’Occident le fait pour nous gratuitement – il paie même pour cela ». Il parle évidemment de la conquête islamique, encouragée par les gouvernements immigrationnistes.
Le professeur Zahran rapporte d’autres nouvelles choquantes de l’« invasion » : « Je dois vous le dire honnêtement, lorsque vous lisez les magazines et journaux arabes, ils en parlent en ces termes : “Beau travail ! Maintenant, nous allons conquérir l’Europe.” Ce n’est même pas un secret. »
Et pendant que l’Europe accueille ces musulmans au nom de la « diversité », les pétromonarchies du Golfe ferment leurs portes. Pourquoi ? « Parce que les États musulmans n’ont aucune histoire de respect de l’homme ou de droits de l’homme », répond simplement le professeur.
Là où prévaut l’islam, aucune diversité ne subsiste, prévient le professeur Mudar Zahran
L’ironie de l’argument de la « diversité », c’est qu’aucune diversité ne peut exister là où l’islam prend le dessus. Zahran rappelle que tout l’Orient était chrétien avant que l’islam ne le conquière. Pour lui, les hadiths, un livre « canonique » écrit après la mort de Mahomet, « c’est l’État islamique ». « La violence politique de la Bible se situe dans une période historique et un endroit précis… La violence politique du Coran est éternelle et universelle », insiste-t-il.
Sa réponse à la crise migratoire est simple : « Nous devons renvoyer ces gens chez eux. Je ne parle pas seulement de ceux qui arrivent, je parle aussi de ceux qui sont déjà là – ils peuvent encore être renvoyés chez eux. Je suis totalement opposé au fait de rendre cette situation permanente ».
À bon entendeur…

jeudi 22 octobre 2015

Libye évolution


Une guerre  oppose deux gouvernements rivaux en Libye : l'un reconnu par les Occidentaux et basé à Tobrouk (est du pays) et l'autre soutenu par un conglomérat de milices, dont certaines islamistes, siégeant dans la capitale, Tripoli.

Le problème, c'est que les islamistes voudraient des garanties de ne pas être jugés ni chassés. S'ils lâchent le pouvoir, ils seront massacrés. Les gens de Tripoli voudraient en outre que la passation se déroule à Tripoli, mais ceux de Tobrouk ne s'y sentent pas en sécurité. Entre les deux parties, c'est la méfiance et la peur qui règnent.

Un gouvernement d'union nationale ? Cela ne va pas stabiliser la situation. S'il advient, ce sera un gouvernement très faible, incapable de résoudre les problèmes de fond. 
Le pouvoir de décision reste aux mains de milices surarmées qui ne trouvent pas de projets économiques où s'insérer. Pour ne rien arranger, le Qatar, la Turquie et le Soudan appuient les gens de Tripoli, tandis que les Emirats, l'Arabie saoudite et l'Egypte soutiennent Tobrouk. Le prince héritier du Qatar, l'actuel émir, a été explicite : on a dépensé 5 milliards de dollars pour la Libye, ce n'est pas pour donner le pouvoir aux laïques et aux libéraux.
L'Union européenne et les Etats-Unis voudraient que le général Khalifa Haftar (NDLR : chef de l'armée nationale libyenne) quitte la scène. Mais derrière lui, il y a 20 000 personnes venues des tribus en Cyrénaïque. Le gouvernement de Tripoli, lui, peut compter sur 120 000 miliciens de différentes factions.
Daech est autonome tout en étant lié à l'Etat islamique en Syrie. Quand Kadhafi a été tué de façon atroce, Mahdi al-Harati, un ancien d'Al-Qaeda qui vivait auparavant en Irlande, a convaincu 300 jeunes Libyens de partir vers la Syrie pour la guerre sainte. Avec l'appui d'un navire militaire turc, Ils ont abouti à Deir Ezzor pour la contrôler et vendre le pétrole syrien à une mafia internationale. A la suite de l'affrontement entre Khalifa Haftar et le gouvernement de Tripoli, Mahdi al-Harati est revenu avec ses 300 jeunes qui ont constitué le noyau dur de Daech. En quelques mois, son régiment est parvenu à Misrata, ensuite à Derna. Il contrôle aujourd'hui Syrte, la ville de Kadhafi, qui se sent humiliée et qui veut prendre sa revanche.
Syrte, ville de plus de 100 000 habitants, que je connais très bien. Des centaines de jeunes pro-Kadhafi y ont été tués de sang-froid. La ville a été détruite, humiliée par l'Otan mais aussi par les milices de 2011. Daech s'y est installée pour capitaliser sur cette humiliation. Comme en Syrie et en Irak.
Al-Qaeda est aujourd'hui en complète perte de vitesse. Daech a entre-temps créé une base à 35 km de la frontière tunisienne et possède six avions qui se trouvaient à Syrte. Mais ils n'ont pas les pilotes. Ils ont toutefois mis la main sur un pilote, Hassan Ghouila, qui refuse pour l'instant de collaborer. En tout cas, ils ont du financement : d'après des universitaires libyens, un jeune de Daech touche, à Benghazi, 3 000 dollars par mois. Et à sa mort, sa famille reçoit 40 000 dollars. Cela attire les jeunes.
Il y a trois problèmes à régler. D'abord, le retour de 2 millions et demi de Libyens de la diaspora, qui vivent dans de mauvaises conditions. Ensuite, la réconciliation nationale. Enfin, l'inclusion des partisans de l'ancien régime, car ils forment une réelle masse humaine.
L'Otan s'est précipitée pour abattre l'ancien régime, provoquant un chaos généralisé. Or, s'il fallait changer le régime, il fallait aussi penser à des alternatives crédibles. Et comprendre un peu la structure tribale de ce pays. Aujourd'hui, la Libye est devenue un facteur de déstabilisation non seulement pour elle-même mais aussi pour tous ses voisins et surtout pour l'Europe. Plusieurs dizaines de milliers de personnes attendent de franchir la Méditerranée, venant d'Afrique et de Syrie. Avant 2011, 500 000 Syriens travaillaient en Libye et la majorité n'est pas rentrée à cause de ce qui s'est passé dans leur pays. Pour Daech, c'est une arme pour forcer l'Europe au dialogue et à un début de reconnaissance.

Il y a une autre solution: mettre au pouvoir Saief Islam Kaddahfi 



Adjoint d’Eichmann pendant le procès de Nuremberg : « le Mufti de Jérusalem a incité Eichmann à accélérer l’extermination »

L'adjoint d’Eichmann pendant le procès de Nuremberg : « le Mufti de Jérusalem a incité Eichmann à accélérer l’extermination »

Au procès de Nuremberg, Dieter Wisliceny, un , déclarait :

« Le Mufti (de Jérusalem) a été l’un des instigateurs de l’extermination systématique des juifs d’Europe et un partenaire et conseiller d’Eichmann et d’Hitler pour exécuter son plan ».

Benjamin Netanyahu, qui a rendu publique cette information que tous les blogueurs connaissent, a précisé aujourd’hui :
« C’est absurde d’imaginer que j’ai pu avoir l’intention d’absoudre Hitler de sa responsabilité pour la destruction diabolique des juifs européens. Hitler est responsable de la solution finale, de l’extermination de six millions de juifs.
Mais c’est tout aussi absurde d’ignorer le rôle qu’a joué le grand mufti, Haj Amin al -Husseini, un criminel de guerre, pour son encouragement et sa demande pressante faite à Hitler, Ribbentropp, Himmler et d’autres, d’exterminer les juifs d’Europe. »
Netanyahu ajoute :
« Ce ne sont pas les preuves qui manquent, y compris le témoignage du collaborateur d’Eichmann au procès de Nuremberg. »
Et je confirme, malgré l’intox difusée par les médias depuis 24 heures, promettant juré craché que « des historiens » contestent cette version. Si les historiens auxquels font allusion vos médias de la gauchosphère s’appellent Faurisson, je veux bien croire qu’ils contestent.
J’ajoute que lors du procès de Nuremberg, Wisliceny a dit exactement, ceci :
“Le mufti [de Jérusalem] a été l’un des instigateurs de l’extermination systématique des juifs d’Europe, et il a été un collaborateur et un conseiller d’Eichmann et d’Himmler dans l’exécution de son plan.
Il était l’un des meilleurs ami d’Eichmann et il l’a constamment incité à accélérer les mesures d’extermination.
Je l’ai entendu dire qu’avec Eichmann, il a visité incognito les chambres à gaz d’Auschwitz. Et pendant sa visite à Auschwitz, al-Husseini aurait “reproché au gardes qui étaient en charge des chambres à gaz de travailler avec plus de diligence.”
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C’est vous, le « minable politicard inculte » Claude Askolovitch, qui faites du négationisme en contestant les témoignages du procès de Nuremberg pour plaire à vos patrons qataris.
Netanyahu aurait d’ailleurs pu ajouter, s’il avait été français, que Arte avait réalisé un reportage montrant la rencontre du mufti avec Hitler, et sa collaboration avec l’Allemagne nazie pour la solution finance.
Netanyahu ajoute enfin :
« Le mufti a joué un rôle dans l’extermination des juifs d’Europe. L’importance de son rôle ne doit pas être ignorée. Le mufti a proposé à plusieurs reprises aux autorités, principalement à Hitler, Ribbentropp et Himmler, d’exterminer les juifs d’Europe. Il considérait que c’était une solution appropriée à la question de la Palestine
Malheureusement, Haj Amin al-Husseini est toujours une figure très admirée dans la société palestinienne. Il est mentionné dans les livres scolaires, et il est mentionné comme un des pères fondateurs de la nation, et cette incitation qui a commencé avec lui, cette incitation à assassiner les juifs – elle continue. Pas de la même façon, mais d’une façon différente, et c’est la racine du problème. »
Claude Askolovitch 0, Benjamin Netanyahu 1 : le journaliste minable, c’est vous Askolovitch. Un conseil : ne rejoignez pas le camp des révisionnistes pour plaire aux islamistes.
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Il semble que le monde entier connait l’implication du grand mufti de Jérusalem dans la solution finale …

… sauf les Français.
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Leila Shahid, rappelait Le Monde, est la petite nièce du nazi al-Husseini, grand mufti de Jérusalem.
leila
© Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Ce que Netanyahou a dit est connu depuis longtemps 
Le Mufti n’était pas qu’un ami d’Hitler, mais un grand admirateur, dont il partageait la folie meurtrière.
Après la guerre, le Mufti se vanta auprès d’ Edward Saab, correspondant du journal Le Monde au Liban, du rôle qu’ il joua dans l’Holocauste, au cours duquel 6 millions de Juifs européens, dont un million et demi d’enfants, furent exterminés par les nazis et leurs complices.
« Il semble que mon entrevue avec Eichmann ait compromis les démarches déployées à l’époque auprès du Führer pour arrêter le génocide des juifs ». Interview d’ Edouard Saab, relate dans Le Monde (06/07/1974) dans un article intitulé : « Haj Amine El-Husseini is dead »). Quoted by Nathan Weinstock, Terre promise, trop promise – génèse du conflit israélo-palestinien, 1882-1948, Éditions Odile Jacob, 2011, p. 290.
Après avoir examiné les preuves, la Cour International déclara ce qui suit :
« Il nous a été prouvé que le Mufti visait à la mise en œuvre de la solution finale, à savoir l’extermination des Juifs européens et il ne fait aucun doute, que si Hitler avait réussi à conquérir la Palestine, la population civile de cette région aurait été totalement exterminée, avec le soutien du Mufti. »
( Jonathan Trigg, Hitler’s Jihadis : Muslim volunteers of the Waffen-SS, Stroud, Gloucestershire : History Press, 2008 ) (pp. 203-04)
Ce personnage infâme fut élevé au rang “ d’Aryen d’honneur” par le régime hitlérien.
C’est un excellent coup de com de la part de Netanyaou qui met ainsi clairement en lumière le fait que le « grand mufti de Jérusalem » husseini était un fervent nazi,. Les gesticulations des médias prouvent l’apport arabo-musulman au génocide nazi, d’où le qualificatif actuel d’ISLAMONAZIS !

Dans le Coran, le mot amour n’existe pas, l’amour du prochain non plus

Par Alain Franquignon
Agrégé de lettres, j’ai réalisé une étude sur les occurrences de mots dans le Coran. C’est un livre très clair… (mais là je vous livre en partie mes conclusions)

Le Coran est un livre ennuyeux et méchant

C’est un livre de combat, de guerre, et quelle caution, quelle cause serait plus digne d’être défendue que celle de son Dieu.
Je me suis demandé très tôt dans la lecture des « paroles du prophète » pourquoi ce livre n’était pas interdit au même titre que Mein Kampf de Hitler … Il n’en diffère guère que par le préchi-prêcha insipide qui enveloppe ses agressions verbales incessantes.
C’est probablement le plus mauvais livre que j’aie jamais lu, mauvais dans les deux sens du terme : ennuyeux et méchant.
Ennuyeux à cause des reprises incessantes des mêmes idées, répétées ad nauseam tout au long de toutes les sourates, sans exception, et méchant parce qu’il se dégage de cette lecture l’impression que l’homme qui a écrit ce livre n’était pas « bon », mais « méchant ». C’est du moins MA lecture du Coran.

Cette méchanceté se traduit le plus souvent sous la forme de la MENACE

Le Coran est un livre menaçant, et comme il vous menace, vous, pauvre lecteur, vous devez, pour vous affranchir de cette menace, devenir le sujet et non plus l’objet de la menace, et faire vôtre la parole menaçante, la reprendre à votre compte pour être du côté du menaçant, et non plus du menacé.
Mais c’est une conversion incomplète : en lisant le Coran, on est toujours sous la menace en même temps qu’on y met autrui. C’est pourquoi le Coran est un livre violent dans son essence même. L’auteur exerce une violence verbale continue (voire l’occurrence des mots) tout au long de chacune des sourates. Il nous apparaît comme un être épris de pouvoir, voulant à tout prix régner sur les autres, les dominer, les écraser, les châtier et les éliminer si besoin …

Extrême pauvreté du message

Par ailleurs, ce qui m’a frappé en lisant le Coran, c’est l’extrême pauvreté du message, pauvreté qui s’exprime par la répétition incessante de la même idée de soumission à Dieu, mais aussi par l’absence complète de deux choses fondamentales pour une religion : une morale universelle et une cosmologie.
  • Une morale universelle fondée sur la notion de Bien et du Mal qui seraient au-delà de l’islam lui-même et qui vaudrait pour tous les hommes (comme condamner le meurtre, le mensonge, le vol, le viol, parce qu’ils sont le Mal en soi). Or ces mauvaises actions ne sont pas du tout condamnées lorsqu’elles s’exercent sur l’autre, le non-musulman.
  • Une cosmologie. Pas de création du monde ni d’explication (mythologique bien sûr) sur la nature des choses, ni sur l’origine de la différence entre l’homme et la femme.
  • Pas d’éloge du travail ni de l’enrichissement par la multiplication des troupeaux ou par la culture des champs (comme on en trouve dans la bible, et dans l’antiquité grecque avec « les travaux et le jours » d’Hésiode », ou dans l’antiquité romaine avec les « Géorgiques » de Virgile). Par contre une Sourate sous-titrée « Le Butin ».
  • Ainsi le mot « travail » et ses dérivés n’apparaît qu’une demi-douzaine de fois, et toujours associé à l’idée que de pauvres gens (ou des esclaves) y sont contraints pour survivre
Les occurrences de mots sont-elles révélatrices, mais l’absence d’occurrence de mots l’est aussi.
La traduction du Coran disponible sur internet, et approuvée par la grande mosquée de Paris comporte 86721 mots.
Sur ce total, nous avons écartés tous les petits mots « outils » comme les articles, les prépositions, les verbes être et avoir, les pronoms, les conjonctions, etc. Ces mots outils forment un total de 28519 mots. Nous n’avons donc gardés comme mots signifiants que les noms, les verbes, les adjectifs et les adverbes significatifs. Au total 58562 mots « signifiants » qui transmettent le message du Coran.
Nous nous sommes donc attachés au domaine particulier qui concerne directement Allah et l’obéissance à ses commandements, domaine que l’on peut diviser en 4 sous-domaines :
  • Vérité/mensonge (vraie religion, mensonges des autres religions, croyances, incroyance, etc …) : 2858 mots
  • Récompense/punition (Allah doit être craint car il récompense les croyants, et punit les non-croyants) : 2721 mots
  • Obéissance (avertissements, interdictions, prosternation, autorités …) : 918 mots
  • Dieu (prophète, fidèles, infidèles, saints, menteurs, mécréants …) : 5800 mots
Total de cet ensemble : 12297 mots, sur 58562, …. Soit 21% des mots du Coran.
Et sur les 58562 mots, le mot « amour » n’apparaît que 10 fois, et encore :
  • 3 fois pour parler de l’amour d’Allah pour ses fidèles,
  • 2 fois s’agissant de l’amour des fidèles pour Allah,
  • 4 fois pour parler de l’amour des richesses,
  • mais une seule fois pour désigner l’amour d’une femme pour un homme,
  • et jamais pour évoquer de l’amour de l’homme envers son prochain.
  • Le mot « aimer », conjugué, apparaît 53 fois, presque exclusivement pour dire qu’Allah aime les croyants, les justes, les fidèles, les pieux, ceux qui lui font confiance.
  • Sinon il est employé dans le sens de « souhaiter » ou « apprécier » : ex: « …les Juifs qui aiment bien écouter le mensonge » (S 5, V 41), « les mécréants aimeraient vous voir négliger vos armes … » (S 5, V 102) etc.
Voilà le score accablant du Coran : nous asséner, ad nauseam, que nous devons obéir à Dieu, être de vrais croyants, nous tenir loin du mensonge des autres religions, sous peine de « châtiment douloureux ».
Un cinquième des mots d’un livre de 1000 pages répètent sans cesse cette même idée.
Pourquoi une telle répétition ? A-t-on besoin d’être autant averti, menacé ? Ne s’agirait-il pas de la déclinaison d’un slogan ? Pour le Coran, ça serait « si on vous menace régulièrement, vous finirez par y croire ». La répétition tient lieu d’argumentation.

Le Coran n’explique pas, il affirme

L’essentiel de son message est de faire peser sur vous la domination de Dieu, un Dieu que vous devez craindre et faire craindre. Mais son châtiment est pour les vivants, dans ce monde. L’homme de guerre Mahomet reste un homme de guerre …
Il y a bien sûr mille autres choses à dire sur le Coran, comme par exemple la légende de Joseph et de ses frères, si bien racontée dans la Bible, et qui devient un charabia incompréhensible dans le Coran, mais nous avons voulu mettre l’accent sur quelque chose que je n’avais pas entendu ni lu (même dans le livre d’Ibn Warraq) : sa dimension ennuyeuse et menaçante, qui vont de pair.
P.S. : Avec plusieurs amis, qui n’avaient pas lu le Coran, j’ai parié qu’ils pouvaient ouvrir 3 fois le Coran à n’importe quelle page (version papier), et qu’on y trouve au moins une fois sur la page de gauche ou sur celle de droite une variante de la phrase suivante « Dieu le miséricordieux vous réserve un châtiment douloureux si vous n’obéissez pas à ses commandements » …. J’ai toujours gagné.
© Alain Franquignon pour Dreuz.info

mercredi 21 octobre 2015

Pourquoi Erdoğan en personne et l’État turc profond se trouvent derrière le massacre d’Ankara

Le massacre d’Ankara (86 morts et 186 blessés, le 10 octobre 2015) n’a pas été revendiqué. Cependant, compte tenu de la volonté préalable du PKK de proclamer un cessez-le-feu unilatéral durant la période électorale, de la volonté du président Erdoğan de faire peur à son propre électorat, et du passé criminel de l’État turc profond, il ne fait pas de doute pour Savvas Kalenteridis que la responsabilité en revient à Ankara.

ait le 24 mai 1993. Un bus transportait des soldats non armés de Malatya à Bingkiol. Dix kilomètres avant sa destination, les guérilleros du PKK, dirigés par Semntin Sakik, arrêtèrent le bus et capturèrent les soldats. Dans les premières heures matinales qui suivirent, ils exécutèrent 33 d’entre eux, plongeant la Turquie dans le deuil et éveillant les humeurs nationalistes et chauvinistes de la société turque contre les Kurdes et le PKK.
Une série d’événements a montré par la suite que, derrière ce crime odieux, se cachait l’État turc.
Le bus en question n’était pas escorté, une première en la matière.
Semntin Sakik, qui se rendit plus tard à l’État turc et trahît des secrets importants et vitaux de l’organisation aux autorités turques de sécurité, entretenait des relations avec l’infâme Gésil (Mahmut Yıldırım), kurde sunnite, agent et exécuteur des services secrets turcs, qui l’a informé du parcours de l’autobus et l’a chargé d’exécuter les soldats non-armés, un acte qui va à l’encontre du code des valeurs du PKK.
Selon des observateurs objectifs, le crime de l’exécution des 33 soldats a été conçu par le service de lutte anti-terroriste (JITEM), qui était le repaire de l’État profond, pour créer une vague de réaction dans l’opinion publique turque contre le PKK, pour faire pression sur le gouvernement et les forces armées afin de commencer des opérations militaires contre le PKK et de mettre fin de facto à la trêve unilatérale décrétée par Abdullah Öcalan, le 20 mars 1993, de concert et à l’instigation de l’ancien président de la République, Turgut Özal.
Il est à noter que le cessez-le-feu du 20 mars, fut prolongé de deux mois après une nouvelle déclaration d’Öcalan qu’il fit le 15 avril, toujours en consultation avec Turgut Özal et avec Celal Talabani comme médiateur diplomatique.
Pour ceux qui gardent encore un léger doute quant au rôle de l’État profond dans ce cas et combien était perturbante la voie de la paix, laquelle avait pour but d’apporter une solution politique à la question kurde, il suffit que nous révélions que deux jours après le second avis de l’extension du cessez-le-feu, Turgut Özal mourrut, empoisonné par l’État profond (17 avril 1993).
Vu que le PKK prolongea la trêve, l’État profond organisa l’exécution de 33 soldats non armés le 24 mai, laquelle fut attribuée au PKK, et fut suivie par de grandes opérations militaires de l’armée turque, mettant ainsi fin au cessez-le- feu unilatéral.

Ce qui a conduit au massacre du 10 octobre à Ankara

Le 9 octobre 2015, le codirigeant du PKK, Cemil Bagik, a annoncé que le PKK était prêt à déclarer une trêve unilatérale, de sorte à éviter une atmosphère de guerre en période électorale au Kurdistan turc occupé et le jour des élections du 1er novembre.
L’annonce officielle devait être faite par Murat Karayilan, le chef militaire du PKK, le samedi 10 octobre 2015.
En même temps, le mouvement kurde avait convenu, en accord avec diverses organisations, de co-organiser une grande manifestation pour la paix à Ankara.
Mais le duo Erdoğan-Davutoğlu avait organisé toute la campagne des élections du 1er novembre dans un climat belliqueux, dans le but de rassembler, autour des conservateurs de l’AKP, les électeurs nationalistes et de déstabiliser les électeurs turcs pacifiques, lesquels, par les centaines de milliers, avaient voté pour le Parti de la Démocratie des Peuples (HDP), aux élections du 7 juin 2015.
En définitive, c’était pour cette raison qu’Erdoğan avait interrompu la longue trêve et commencé la guerre contre le PKK à la mi-juillet 2015. Ce sont ces votes visant à obtenir la majorité absolue de l’AKP à l’assemblée nationale et à se faire nommer nouveau sultan, une pâle imitation de Saddam Hussein et de Mouammar el-Kadhafi.
En quelque sorte le mouvement de la paix et le cessez-le feu devraient être torpillés et ne devaient pas influencer les électeurs.
La guerre qu’il commença lui-même, sur sa propre décision à la mi-juillet et coûté la vie à des centaines de Kurdes et Turcs devait être poursuivie. Ainsi, des agents de l’État profond turc, des Kurdes sunnites, recrutés par les autorités de sécurité turques en 2013 et 2014, dans la ville d’Adiyaman, pour être engagés par l’Émirat Islamique et se retourner contre leurs frères Kurdes du PKK ont exécuté la mission, comme des kamikazes lors de l’attentat meurtrier à la gare d’Ankara.

Et quelle est la tragédie de cette affaire ?

Le kamikaze d’Ankara, est probablement Yunus Emre Alagöz, le frère aîné de Şeyh Abdurrahman Alagöz, qui, lui-aussi kamikaze, a tué 33 jeunes Kurdes à Suruç, le 20 juillet 2015 après quoi le PKK commença la guérilla contre l’État turc.
C’est cela la Turquie, tel est l’État turc. Profondément brutal et implacable envers ses « ennemis ».
Nous espérons que ceux qui « caressent » depuis des « années » maintenant les représentants de cet État réaliseront cette simple vérité, tandis que la Turquie perpétue aujourd’hui sur la personne des Kurdes, le génocide des Grecs, des Arméniens et des Assyriens, tandis que la même Turquie poursuit son occupation de Chypre et ses ambitions d’expansion dans la mer Égée.
Savvas Kalèdéridès
Savvas KalèdéridèsBrigadier de l’Armée de terre grecque. Il démissionna en 2000 après la capture du leader kurde Abdullah Öcalan par la CIA, le Mossad et le MIT turc. Il était alors en mission d’accompagnement à Nairobi (Kenya), pour le compte du Renseignement grec. Très populaire en Grèce et à Chypre, il est l’auteur de nombreux ouvrages d’analyse géopolitique et dirige la maison d’édition Infognomon et le site internet InfognomonPolitics.

L'info par le bout de la lorgnette: L’armée russe affirme sa supériorité en guerre con...

L'info par le bout de la lorgnette: L’armée russe affirme sa supériorité en guerre con...: L'intervention militaire russe en Syrie, qui devait être un pari risqué de Moscou face aux jihadistes, s’est transformée en une manifes...

L’armée russe affirme sa supériorité en guerre conventionnelle

L'intervention militaire russe en Syrie, qui devait être un pari risqué de Moscou face aux jihadistes, s’est transformée en une manifestation de puissance qui bouleverse l’équilibre stratégique mondial.
le Pentagone est divisé entre ceux qui tentent de minimiser les faits et de trouver une faille dans le dispositif russe et ceux qui, au contraire, considèrent que les États-Unis ont perdu leur supériorité en matière de guerre conventionnelle et qu’il leur faudra de longues années pour la récupérer.
Il y a dix jours encore, l’ancien secrétaire à la Défense Robert Gates et l’ancienne conseillère nationale de sécurité Condoleezza Rice parlaient de l’armée russe comme d’une force de « second rang ».
Le désarroi est si grand à Washington que la Maison-Blanche vient d’annuler la visite officielle du Premier ministre Dmitry Medvedev et d’une délégation de l’état-major russe. La décision a été prise après une visite identique d’une délégation militaire russe en Turquie. Inutile de discuter des opérations en Syrie, car le Pentagone ne sait plus ce qui s’y passe. 
Furieux, les « faucons libéraux » et les néo-conservateurs exigent la relance du budget militaire et ont obtenu l’arrêt du retrait des troupes d’Afghanistan.
La Russie ne fait ici que sauver le Peuple syrien et propose aux autres États de travailler en coopération avec elle, tandis que les États-Unis lorsqu’ils détenaient la prééminence militaire ont imposé leur système économique et détruit de nombreux États.
Le Pentagone ignore le terrain. Il est devenu sourd et aveugle.
On sait, depuis l’incident de l’USS Donald Cook en mer Noire, le 12 avril 2014, que l’armée de l’Air russe dispose d’une arme lui permettant de brouiller tous les radars, circuits de contrôle, systèmes de transmission d’information, etc. [6]. Dès le début de son déploiement militaire, la Russie a installé un centre de brouillage à Hmeymim, au nord de Lattaquié. Subitement, l’incident de l’USS Donald Cook s’est reproduit, mais cette fois dans un rayon de 300 kilomètres ; incluant la base Otan d’Incirlik (Turquie). Et il persiste toujours.
La guerre conventionnelle moderne repose sur le « C4i » ; un acronyme correspondant aux termes anglais de « command » (maîtrise), « control » (contrôle), « communications », « computer » (informatique) et « intelligence » (renseignement). Les satellites, les avions et les drones, les navires et les sous-marins, les blindés et désormais même les combattants, sont reliés les uns aux autres par des communications permanentes qui permettent aux états-major de commander les batailles. C’est tout cet ensemble, le système nerveux de l’Otan, qui est actuellement brouillé en Syrie et dans une partie de la Turquie.
La Russie aurait installé plusieurs Krasukha-4, aurait équipé ses avions de conteneurs de brouillage SAP-518/ SPS-171 (comme l’avion qui survola l’USS Donald Cook) et ses hélicoptères de Richag-AV. En outre, elle utiliserait le navire espion Priazovye (de classe Project 864, Vishnya dans la nomenclature Otan), en Méditerranée.
La Russie a utilisé plusieurs armes nouvelles, comme 26 missiles furtifs de croisière 3M-14T Kaliber-NK, équivalents des RGM/UGM-109E Tomahawk.
Sachant que ces missiles peuvent être tirés depuis des sous-marins situés n’importe où dans les océans et qu’ils peuvent transporter des têtes nucléaires, les Russes ont rattrapé leur retard en matière de lanceurs.
En définitive, la Fédération de Russie serait détruite par les États-Unis —et vice-versa— en cas de confrontation nucléaire, mais elle serait gagnante en cas de guerre conventionnelle.
Des quelques communiqués officiels et des confidences des officiers, on peut conclure qu’au moins 5 000 jihadistes ont été tués, dont de nombreux chefs d’Ahrar el-Sham, d’al-Qaïda et de l’Émirat islamique. Au moins 10 000 mercenaires ont fui vers la Turquie, l’Irak et la Jordanie. L’Armée arabe syrienne et le Hezbollah reconquièrent le terrain sans attendre les renforts iraniens annoncés.
La campagne de bombardements devrait se terminer à la Noël orthodoxe. La question qui se posera alors sera de savoir si la Russie est autorisée ou non à terminer son travail en poursuivant les jihadistes qui se réfugient en Turquie, en Irak et en Jordanie. Faute de quoi, la Syrie serait sauvée, mais le problème ne serait pas résolu pour autant. Les Frères musulmans ne manqueraient pas de chercher une revanche et les États-Unis de les utiliser à nouveau contre d’autres cibles.
[1] “Russian Military Uses Syria as Proving Ground, and West Takes Notice”, Steven Lee Myers & Eric Schmitt, The New York Times, October 14, 2015.
[2] “Top NATO general : Russians starting to build air defense bubble over Syria”, Thomas Gibbons-Neff, The Washington Post, September 29, 2015.
[3] “How America can counter Putin’s moves in Syria”, by Condoleezza Rice, Robert M. Gates, Washington Post (United States), Voltaire Network, 8 October 2015.
[4] La seule étude disponible est bien en dessous de la réalité : Russia’s quiet military revolution and what it means for Europe, Gustav Gressel, European Council on Foreign Relations, October 2015.
[5] « Russisches Syrien-Abenteuer : Das Ende der alten Weltordnung », Matthias Schepp, Der Spiegel, 10. Oktober 2015.
[6] « Qu’est-ce qui a tant effrayé l’USS Donald Cook en Mer Noire ? »,Réseau Voltaire, 14 septembre 2014.
[7] « Cu ce arme ultrasecrete a cîstigat Putin suprematia în razboiul radioelectronic din Siria ? », Valentin Vasilescu, Ziarul de gardã, 12 octobre 2015. Version française : « L’arme ultrasecrète qui permet à Poutine d’assoir sa suprématie dans la guerre radio électronique en Syrie ? », Traduction Avic, Réseau international.
[8] “KALIBRating the foe : strategic implications of the Russian cruise missiles’ launch”, by Vladimir Kozin, Oriental Review (Russia), Voltaire Network, 14 October 2015.
[9] Après avoir annoncé le contraire, les États-unis ont dû admettre les faits : “First on CNN : U.S. officials say Russian missiles heading for Syria landed in Iran”, Barbara Starr & Jeremy Diamond, CNN, October 8, 2015. “Moscow rejects CNN’s report on Russian missile landing in Iran”, IRNA, October 8, 2015. “Daily Press Briefing”, John Kirby, US State Department, October 8, 2015. “Пентагон не комментирует сообщения о якобы упавших в Иране ракетах РФ”, RIA-Novosti, October 8, 2015.