Aaron Bandler. 7 juillet 2016. Adaptation française par Uncle pour LibertyVox.
EXTRAITS :
1) Les policiers ont tué deux fois plus de blancs que de noirs en 2015.
50% étaient blancs, 26% étaient noirs. La majeure partie des victimes étaient armées ou menaçaient la vie des policiers. Certains diront que ces chiffres sont la preuve d'un traitement raciste envers les noirs puisque les blancs représentent 62% de la population et les noirs 12%. Mais les statistiques du ministère de la justice montrent que les noirs sont coupables de 62% des vols, 57% des meurtres, 45% des agressions dans 75% des plus grands comtés du pays alors qu'ils ne représentent à peine 15% de la population desdits comtés.
"Une telle concentration de violence criminelle dans des communautés minoritaires signifie que les policiers seront confrontés de manière disproportionnée à des suspects armés ou résistant à leur arrestation, augmentant ainsi le risque d'usage par la police d'une force létale" écrit McDonald.
McDonald pointe également qu'"à New-York, les noirs commettent 75% des fusillades, 70% des vols et 66% des crimes violents alors qu'ils ne représentent que 23% de la population". "Le pourcentage de crimes violents commis par des noirs permettrait de prédire que 26% des victimes policières seraient noires" dit McDonald. "L'usage de la force par la police a lieu là où elle est confrontée à la violence criminelle, aux suspects armés et ceux résistant à leur arrestation, et c'est dans les quartiers noirs".
2) Plus de blancs et d'hispaniques meurent victimes de la police que les noirs.
Selon McDonald, 12% des homicides commis contre les blancs et les hispaniques sont dus à la police contre 4% de ceux contre les noirs. "S'il devait y avoir un mouvement anti-police "Live Matter", il devrait être appelé de façon plus appropriée "la vie des blancs et des hispaniques compte" dit McDonald dans sa conférence de Hillsdale.
3) Les statistiques montrent qu'un noir désarmé a plus de risques d'être tué par un policier qu'un blanc désarmé
... mais cela ne dit pas tout. En août 2015, le ratio de noirs non armés abattus par la police était de 7 contre 1 comparé aux blancs non armés. Il était de 6 contre 1 à la fin de 2015, mais regarder en détail les incidents ayant eu lieu dépeint une toute autre situation :
Le qualificatif "non-armé" est certes précis mais peine à coller à certaines situations. Dans nombre de cas, si la victime se retrouve "non armée" ce n'est certainement pas faute d'avoir essayé de l'être. Au moins 5 victimes noires auraient tenté de saisir l'arme de l'officier ou auraient battu l'officier avec son propre équipement. Certains ont été abattus par le déclenchement accidentel de l'arme du policier provoqué par leur agression. Et deux individus, classés dans la catégorie "victime noire non armée" ont été victimes de balles perdues lors de tirs policiers justifiés. Si les victimes n'ont pas été visées intentionnellement, le racisme n'a pu jouer aucun rôle dans leur mort.
Dans un autre cas de dommages collatéraux, le policier s'est approché d'une voiture garée devant un magasin avec à son bord un suspect d'homicide. Le suspect a fait feu, le policier a répliqué tuant le suspect et la femme qui était au volant. La femme est entrée dans la catégorie "victime non armée noire victime de la police".
McDonald examine nombre d'autres cas, y compris ceux de noirs non armés à San Diego et Prince George County, tentant de s'emparer de l'arme de policiers dans leur holster, les noirs non armés ont sauté sur l'officier et l'ont agressé, le policier a tiré car sa vie était en danger. McDonald rappelle que 3 officiers ont été tués en 2015 par des suspects s'étant emparés de leur propre arme.
4) Les officiers de police noirs et hispaniques sont plus susceptibles de tirer sur des noirs que les policiers blancs.
Et ce selon les chiffres du ministère de la justice de 2015 à propos de la police de Philadelphie, confirmé par une étude de 2015 du criminologue Gary Ridgeway de l'université de Pennsylvanie qui a démontré que les policiers noirs étaient 3,3 fois plus susceptibles de tirer sur une scène de crime que d'autres policiers.
5) Les noirs sont plus susceptibles de tuer des flics que d'être tués par des flics.
Et ce, selon les chiffres du FBI qui montrent que 40% des tueurs de flics sont noirs. Selon McDonald, le policier a 18,5 fois plus de risques d'être tué par un noir qu'il n'en a de tuer un noir non armé.
En dépit de ces faits, la rhétorique anti-policière de "Black lives matter" et de leurs sympathisants gauchistes a entraîné ce que McDonald appelle "l'effet Ferguson", le taux de meurtres a grimpé de 17% dans les 50 plus grandes villes américaines, les policiers étant plus réticents de crainte d'être étiquetés racistes. En outre, il y a eu deux fois plus de policiers victimes de tirs mortels au cours des trois premiers mois de 2016.
La rhétorique anti-police a des conséquences mortelles.
EXTRAITS :
1) Les policiers ont tué deux fois plus de blancs que de noirs en 2015.
50% étaient blancs, 26% étaient noirs. La majeure partie des victimes étaient armées ou menaçaient la vie des policiers. Certains diront que ces chiffres sont la preuve d'un traitement raciste envers les noirs puisque les blancs représentent 62% de la population et les noirs 12%. Mais les statistiques du ministère de la justice montrent que les noirs sont coupables de 62% des vols, 57% des meurtres, 45% des agressions dans 75% des plus grands comtés du pays alors qu'ils ne représentent à peine 15% de la population desdits comtés.
"Une telle concentration de violence criminelle dans des communautés minoritaires signifie que les policiers seront confrontés de manière disproportionnée à des suspects armés ou résistant à leur arrestation, augmentant ainsi le risque d'usage par la police d'une force létale" écrit McDonald.
McDonald pointe également qu'"à New-York, les noirs commettent 75% des fusillades, 70% des vols et 66% des crimes violents alors qu'ils ne représentent que 23% de la population". "Le pourcentage de crimes violents commis par des noirs permettrait de prédire que 26% des victimes policières seraient noires" dit McDonald. "L'usage de la force par la police a lieu là où elle est confrontée à la violence criminelle, aux suspects armés et ceux résistant à leur arrestation, et c'est dans les quartiers noirs".
2) Plus de blancs et d'hispaniques meurent victimes de la police que les noirs.
Selon McDonald, 12% des homicides commis contre les blancs et les hispaniques sont dus à la police contre 4% de ceux contre les noirs. "S'il devait y avoir un mouvement anti-police "Live Matter", il devrait être appelé de façon plus appropriée "la vie des blancs et des hispaniques compte" dit McDonald dans sa conférence de Hillsdale.
3) Les statistiques montrent qu'un noir désarmé a plus de risques d'être tué par un policier qu'un blanc désarmé
... mais cela ne dit pas tout. En août 2015, le ratio de noirs non armés abattus par la police était de 7 contre 1 comparé aux blancs non armés. Il était de 6 contre 1 à la fin de 2015, mais regarder en détail les incidents ayant eu lieu dépeint une toute autre situation :
Le qualificatif "non-armé" est certes précis mais peine à coller à certaines situations. Dans nombre de cas, si la victime se retrouve "non armée" ce n'est certainement pas faute d'avoir essayé de l'être. Au moins 5 victimes noires auraient tenté de saisir l'arme de l'officier ou auraient battu l'officier avec son propre équipement. Certains ont été abattus par le déclenchement accidentel de l'arme du policier provoqué par leur agression. Et deux individus, classés dans la catégorie "victime noire non armée" ont été victimes de balles perdues lors de tirs policiers justifiés. Si les victimes n'ont pas été visées intentionnellement, le racisme n'a pu jouer aucun rôle dans leur mort.
Dans un autre cas de dommages collatéraux, le policier s'est approché d'une voiture garée devant un magasin avec à son bord un suspect d'homicide. Le suspect a fait feu, le policier a répliqué tuant le suspect et la femme qui était au volant. La femme est entrée dans la catégorie "victime non armée noire victime de la police".
McDonald examine nombre d'autres cas, y compris ceux de noirs non armés à San Diego et Prince George County, tentant de s'emparer de l'arme de policiers dans leur holster, les noirs non armés ont sauté sur l'officier et l'ont agressé, le policier a tiré car sa vie était en danger. McDonald rappelle que 3 officiers ont été tués en 2015 par des suspects s'étant emparés de leur propre arme.
4) Les officiers de police noirs et hispaniques sont plus susceptibles de tirer sur des noirs que les policiers blancs.
Et ce selon les chiffres du ministère de la justice de 2015 à propos de la police de Philadelphie, confirmé par une étude de 2015 du criminologue Gary Ridgeway de l'université de Pennsylvanie qui a démontré que les policiers noirs étaient 3,3 fois plus susceptibles de tirer sur une scène de crime que d'autres policiers.
5) Les noirs sont plus susceptibles de tuer des flics que d'être tués par des flics.
Et ce, selon les chiffres du FBI qui montrent que 40% des tueurs de flics sont noirs. Selon McDonald, le policier a 18,5 fois plus de risques d'être tué par un noir qu'il n'en a de tuer un noir non armé.
En dépit de ces faits, la rhétorique anti-policière de "Black lives matter" et de leurs sympathisants gauchistes a entraîné ce que McDonald appelle "l'effet Ferguson", le taux de meurtres a grimpé de 17% dans les 50 plus grandes villes américaines, les policiers étant plus réticents de crainte d'être étiquetés racistes. En outre, il y a eu deux fois plus de policiers victimes de tirs mortels au cours des trois premiers mois de 2016.
La rhétorique anti-police a des conséquences mortelles.
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