mercredi 1 mars 2017

Les féministes ont choisi une terroriste palestinienne pour organiser la prochaine marche anti-Trump

La Gauche appelle à résister à « l’Amérique fasciste », vers laquelle se dirige soi-disant le pays sous la présidence de Donald Trump. Parmi d’autres critiques aussi délirantes, les gauchistes accusent régulièrement le président et son administration d’antisémitisme.
Or, l’une des leaders du mouvement de résistance et co-organisatrice de la prochaine manifestation, Rasmea Yousef Odeh, est une antisémite elle-même, et même pire : une femme qui a fait de la prison pour terrorisme.
D’origine palestinienne, elle fut condamnée en 1970 en Israël pour avoir participé à deux attentats, dont l’un, perpétré dans un supermarché, provoqua la mort de deux étudiants, Léon Kaner, 21 ans et Edward Jaffe, 22 ans, et qui blessa neuf autres personnes. L’autre attentat était dirigé contre le consulat britannique.
Condamnée à la prison à vie, elle fut libérée après 10 ans de réclusion, à la faveur d’un échange de prisonniers. Elle vécut 4 ans au Liban, puis en Jordanie, avant d’émigrer aux USA, où elle acquit la nationalité américaine en 2004, en dissimulant son passé terroriste. Elle fut toutefois condamnée en 2014 pour obtention illégale de la nationalité et fraude à la citoyenneté.
A la question n’avez-vous jamais été accusée, jugée et condamnée, du questionnaire de naturalisation, elle répondit « non ». Elle affirma que sa fausse réponse était due à son stress post-traumatique, suite aux sévices subis lors de son incarcération en Israël…
Soutenue par des islamo-gauchistes et des musulmans, elle a réussi, du moins pour l’instant, à éviter la prison et une éventuelle expulsion.
Une Cour d’appel lui a même octroyé le droit de s’expliquer, lors d’un nouveau procès prévu en mai prochain, et de présenter les preuves de son prétendu syndrome de stress post-traumatique, suite aux supposés actes de viol et de torture commis par ses interrogateurs israéliens lors de son emprisonnement en Israël.
Odeh continue à jouer le rôle de la Palestinienne victime de « l’oppression » et de « l’emprisonnement politique », alors qu’elle fut responsable de la mort de deux innocents étudiants israéliens. La douce féministe n’a jamais exprimé le moindre remords.
Elle a au contraire et comme par hasard, fait totalement l’impasse sur son passé terroriste, tout comme les médias qui la soutiennent.
Les faits réels ne signifient pas grand-chose pour les idéologues. Ils résistent à la vérité, qu’ils ne laissent pas se mettre en travers de leur narratif et ils disposent toujours de plateformes médiatiques pour promouvoir leurs faux récits.
Odeh a été invitée à s’exprimer, lors d’un évènement organisé par la « Jewish Voice for Peace » (La Voix juive pour la Paix), un groupe de haine qui n’est ni juif ni pacifique, œuvrant à la destruction d’Israël et à l’expulsion de ses habitants juifs. La liste des participants inclut une cacophonie d’islamo-fascistes shootés au vitriol, experts dans l’art de la haine et du fanatisme, parmi lesquels Linda Sarsour, une antisémite rance, élevée au rang de déesse par la gauchiste radicale Diana Buttu, une complice de l’OLP qui défendit les attaques à la roquette du Hamas contre Israël.
Actuellement, Odeh milite pour une résistance active dans les rues des USA.
Dans l’esprit palestinien, le terme « résistance » est souvent utilisé pour justifier les actes de terrorisme visant à tuer d’innocents civils.
Odeh n’a pas explicitement prôné l’utilisation de la violence — du moins pour l’instant. Toutefois, elle et ses camarades de la manifestation ont appelé à protester le 8 mars en bloquant les rues, les ponts et les places. Or de tels actes de désobéissance civique ont conduit à la violence par le passé.
Odeh est particulièrement appréciée et aimée par les musulmans et les cercles gauchistes. Elle est considérée, dans tout le pays, comme une icône par les différentes organisations arabes et musulmanes, les organisations de défense des droits de l’homme (!), et les organisations pour l’autonomie des femmes et l’égalité des genres.
Elle a rédigé avec d’autres militantes une sorte de manifeste pour une nouvelle forme de féminisme, beaucoup plus radical.
Ecartées Hillary Clinton et Elizabeth Warden, jugées trop tièdes ! Les gauchistes ont trouvé leur nouvelle héroïne féministe extrémiste, violemment anti-Trump.
Parmi les autres organisatrices figurent Angela Davis, ex-leader du parti communiste américain et membre des Black Panthers et Tithi Vhattacharya, une militante maoïste qui a plusieurs fois encensé le maoïsme dans un essai publié par l’Internationale socialiste, soutenant que les maoïstes étaient revenus et se battaient actuellement contre toutes les personnes de droite.
Selon Workers’s World, les femmes progressistes américaines ont répondu avec enthousiasme à l’appel.
« Dans un esprit de solidarité et d’internationalisme, le 8 mars aux USA sera une journée d’action organisée par et pour les femmes qui ont été marginalisées et réduites au silence par des décennies de néo-libéralisme dirigé contre les femmes au travail, les femmes de couleur, les femmes indigènes, les femmes handicapées, les femmes immigrées, les femmes musulmanes, les lesbiennes, les homosexuels, les transsexuels…
Nous organisons la résistance, non seulement contre Trump et ses politiques misogynes, mais également contre des décennies d’inégalités économiques, de violences raciales et sexuelles et des guerres impérialistes à l’étranger.
Toutes ces injustices ont permis à Trump d’accéder au pouvoir. » (womenstrikeus.org)
En d’autres termes, un pot-pourri des causes favorites des gauchistes.
Les intentions, exprimées dans le « manifeste », publié par le Guardian le 6 février dernier, ne sont pas les plus pacifiques.
« L’idée, écrivent Linda Martin Alcoff, Cinzia Arruzza, Tithi Bhattacharya, Nancy Fraser, Barbara Ransby, Keeanga-Yamahtta Taylor, Rasmea Yousef Odeh et Angela Davis, est celle de mobiliser toutes les femmes, y compris les Trans et quiconque souhaite soutenir une journée internationale de lutte, une journée spéciale, en bloquant les rues, les ponts, les places, en boycottant les travaux ménagers, le travail, le sexe, en protestant contre les politiciens et la société misogyne. Ces actions ont pour but de rendre visibles nos besoins et nos aspirations ».
L’objectif des féministes et des progressistes est cette fois différent : il ne s’agit plus de contestation « pacifique », mais de l’organisation d’une grève générale, afin de promouvoir une nouvelle vague de lutte féministe militante et nuire à l’Administration Trump.


« Femmes d’Amérique : nous allons faire grève. Rejoignez-nous le 8 mars, occupons les rues et nous vaincrons cette administration par une mobilisation à 99 %. »

Cette manifestation anti-Trump a pour seul but de dénoncer les « ennemis » et exprimer sa propre rage.
Un état d’esprit malsain et violent qui incite à mener des actions destructrices et criminelles. Pour ces folles, Donald Trump est l’incarnation du mal. Il doit être destitué ou assassiné.
  • En France, Florence Foresti, en bonne gauchiste opposée à la peine de mort, a souhaité la mort de Donald Trump dans « Thé ou Café » (sur Rance 2)
  • Laurent Ruquier, un grand humaniste aussi a déclaré : « C’est quand même le seul Donald dont on aimerait qu’il soit abattu pour cause de grippe aviaire » puis « S’il continue comme ça, la CIA ne devrait pas tarder à lui organiser une petite balade en décapotable à Dallas », référence à l’assassinat de JFK.
Ces deux là ne risquent rien : le CSA regarde toujours du côté droit.
Par contre, soutenir une terroriste musulmane anti-Trump aux mains tachées du sang d’innocents, c’est faire merveilleusement avancer la cause des femmes…
La déraison des féministes islamo-gauchistes demeure une source perpétuelle d’interrogation teintée d’une profonde inquiétude quant à leur santé mentale.
Donald Trump n’est pas fou mesdames, bien au contraire. Il est très lucide, en dépit de quelques maladresses de langage, et sa mission consiste à protéger le peuple américain. Il sait ce qui se passe en Europe et ne veut pas d’un tel avenir pour les USA. Vous devriez le remercier chaleureusement, car votre ennemi, ce n’est pas Donald Trump, mais l’islam profondément misogyne qui ne voit en la femme, qu’un être inférieur soumis à l’homme.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly
Sources :
« La terrorista che organizza la marcia delle donne contro Trump » Il Giornale.it
« The Terrorist leader of the Women’s strike ». FrontPage Mag.

Moi ce qui  me choque , c’est comment l’Amérique en l’espace de 10 ans sort tous ces slogans gauchistes de l’Europe décadente. Manifs, agressions, slogans, culture dévoyée, médias truqués

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