Paul Korlov propose dans son livre 40 mesures sévères pour résoudre les problèmes que posent l’islam et ses activistes, et rappelle les bases de cette doctrine.
Paul Korlov, un pseudonyme, nous propose «40 mesures pour apaiser l’avenir» dans son livre «Islam, que faire ?*».
Avec elles, les contempteurs de l’islam se sentiraient peut-être apaisés, mais les musulmans seraient déchaînés. Elles montrent à quel point l’emprise et les méfaits de l’islam en France conduisent ses adversaires à suggérer des remèdes de plus en plus radicaux. A commencer –ou finir- par la «remigration» qui rassemble un nombre croissant de défenseurs. Autant dire une guerre civile, même si ses partisans assurent aimablement que tout se fera dans le respect, le calme, une douce mais ferme obligation.
Korlov n’échappe pas à cette tentation. Il estime nécessaire de «définir avec les pays d’origine les conditions financières et pratiques d’un retour massif aux pays de leur population». Mais c’est à l’intérieur surtout qu’il voit l’antidote.
L’interdiction de l’islam n’est pas au programme, mais certaines mesures s’en approchent grandement. Coran, Hadiths, biographie du prophète (sira) ne seraient autorisés que s’ils étaient précédés d’un avertissement à l’image de «Mein Kampf». «On ne changera rien aux textes sacrés, on n’en retranchera rien, on ne fera qu’y ajouter des commentaires et des mises en garde.»
les remèdes sont rudes parce que la maladie est grave
Les diffuseurs de cette idéologie politico-religieuse, les imams, devraient reconnaître l’incompatibilité de certains de leurs dogmes avec la loi française, et accepter d’y renoncer. Ils devraient aussi faire viser chaque sermon du vendredi avant qu’il ne soit prononcé.
Pour Korlov, les remèdes sont rudes parce que la maladie est grave: l’islam est une menace «infiniment plus grave que l’éphémère nazisme…» Un danger pour la permanence même de notre civilisation.
Sous le règne korlovien, il n’y aura plus de nouvelle mosquée, car chacune représente «un centre d’endoctrinement à la charia, donc au suprématisme et à la ségrégation religieuse». Et on proscrira les tenues musulmanes, l’apartheid alimentaire, funéraire, professionnel, matrimonial, les pressions à l’hôpital, dans le sport, etc. Les peines seront sévères pour sanctionner ce qu’on a défini comme illégal dans le dogme, et on renversera la pratique actuelle des lois Pleven, Gayssot, Taubira: les accusations de provocation publique à la discrimination et à la haine changeront de cibles.
Interdictions professionnelles
La pratique de l’islam sera cantonnée à la sphère privée, les écoles coraniques seront étroitement surveillées, l’enseignement de cette religion dans les écoles publiques exonéré de toute complaisance. Il faudra restreindre, voire interdire l’accès des «musulmans déclarés» à l’armée, à la police, à la fonction publique, voire au secteur privé, et envisager de pouvoir les licencier à la première revendication communautaire.
Il faudra aussi revoir les conditions d’attribution des aides sociales, modifier les conditions d’acquisition de la nationalité, expulser plus facilement. Et rétablir «le crime d’intelligence avec l’ennemi». Quant à l’immigration en provenance de pays musulmans, elle sera limitée au strict minimum.
Korlov cite aussi une mesure facile à introduire -pour moi la plus urgente – mais paradoxalement aussi improbable que les autres : «un débat franc et ouvert» sur l’islam, sur la vie de Mahomet. «L’islam radical doit être combattu sur le plan des idées avec toute la force des Lumières et de la pensée occidentale.»
Certaines propositions sont le fait de citoyens excédés et parfois désespérés à la vue des graves blessures qu’inflige une frange croissante de «croyants» aux démocraties, à la France en particulier. Mais comment comptent-ils les appliquer ? Lois d’exception ? Suppression de la charte des droits de l’homme, application sélective de cette charte aux non-musulmans exclusivement ? Korlov ne le révèle pas. Et pour tout dire, certaines de ses mesures qui ciblent tous les musulmans, pourraient transformer nos démocraties en nouvelles tyrannies. D’autant que l’auteur observe qu’une majorité des musulmans pratique un islam paisible, même si c’est par ignorance de ses textes. Avant les remèdes de cheval, il en est d’autres, qu’il cite et qui pourraient être absorbés dans une société lucide.
But ? Islamiser l’Europe
Korlov fait divers rappels historiques, dont l’application du jihad depuis Mohamed jusqu’aux Frères musulmans et à leurs disciples.
Il considère 1979 et la révolution iranienne comme le «début du troisième Jihad conquérant de l’histoire», le moment où l’islam entre en ébullition, où les musulmans accueillis en nombre en Europe se réapproprient, par le biais surtout des Frères musulmans, une religion figée depuis dix siècles. Le but ? «Il n’est pas secret : islamiser l’Europe, imposer la charia partout, aux musulmans et aux autres.»
toujours cette historique fumisterie : des musulmans qui dénoncent l’hostilité croissante qu’ils suscitent et qui réussissent à se faire passer eux-mêmes pour des victimes
L’auteur énumère les problèmes qu’a apporté l’islam : délinquance en tous genres, agressions, violence, mépris de la loi, tenues vestimentaires discriminantes, revendications incessantes dans l’entreprise, à l’école, à l’hôpital, etc. De nombreux exemples spécifiques font parfois penser que le point de non-retour est atteint.
Et face à ce gâchis, une incroyable -admirable ?- absence de rétorsions : des insultes ici ou là, quelques têtes de porc devant les mosquées, des tags, une salle de prière saccagée… Mais toujours cette historique fumisterie : des musulmans qui dénoncent l’hostilité croissante qu’ils suscitent et qui réussissent à se faire passer eux-mêmes pour des victimes.
Une partie dense résume avec une parfaite clarté ce qui choque les non-musulmans dans cette doctrine. Il présente «l’islam d’un point de vue infidèle (…) l’islam-dogme officiel, idéologie orthodoxe, l’islam de référence première et ultime». Il part des bases politiques du VIIe siècle coulées dans le béton au Xe, figées sur une vision puritaine et rigoriste. Cet islam enseigné aujourd’hui dans toutes les mosquées. Cette partie est une utile révision pour ceux qui connaissent cette doxa et une approche précieuse, bien structurée, pour les néophytes.
Le texte décrit les conséquences dans le quotidien de cette idéologie suprématiste, immorale, considérée par ses adeptes comme ce qui existe de meilleur pour l’humanité. Une doctrine qui méprise, injurie, encourage à la haine, à la violence, au meurtre, à la guerre totale. Et qui affaiblit nos valeurs par la tentative de faire criminaliser toute critique de l’islam.
«Plus de 60 % du Coran est consacré à la critique de l’Autre», affirme Korlov
Paul Korlov n’impute pas les maux qu’il décrit à une majorité pacifique qui pratique peu ou pas, qui ne connaît pas ses textes. Cette majorité serait d’ailleurs bien incapable de trouver dans le Coran ou la Sunna «une objection sérieuse» aux injonctions guerrières, à l’exigence de soumission, à l’impossibilité d’accepter l’Autre prônés par la doxa. «Plus de 60 % du Coran est consacré à la critique de l’Autre», affirme Korlov.
L’auteur décrit aussi les «symptômes psychiques de l’islam», son suprématisme, l’interdiction de le quitter ou même de remettre en question un élément de sa doxa. Il met en évidence l’étrange fierté de ces conquêtes sanglantes et fulgurantes qui seraient un bienfait pour l’humanité. Il en cite quelques caractéristiques :
- des dizaines de millions de morts,
- un interminable et féroce esclavage dont de dévastatrices castrations.
Au XXIe siècle, l’islam estime être encore sous la menace des Croisés
Il estime que le Maghreb, la Libye, l’Égypte et le Proche-Orient «ont été et sont encore colonisés depuis 13 siècles sans que personne ne s’en émeuve à part quelques kabyles». Et cette religion de 1,3 milliards d’adeptes est aussi celle de la paranoïa : «L’islam souffre d’un sentiment de persécution allant jusqu’à l’irrationalité et au délire». Au XXIe siècle, il estime être encore sous la menace des Croisés.
«Islam, que faire?: 40 mesures pour apaiser l’avenir*», accessible par Amazon.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Mireille Vallette
C’est comme le nazisme: si on ne l’élimine pas, c’est lui qui nous éliminera.
Je crois que nous sommes beaucoup a ne pas haïr les musulmans mais a détester le coran les oulémas les imams et toute la clique des pseudo religieux qui ne sont, en réalité, que des politiciens sectaires et totalitaires.
Quand on lutte contre l’islam, il est question de la survie de notre culture et de notre mode de vie, de nos lois, de nos principes et pour les croyants, de leur religion.
C’est comme le nazisme: si on ne l’élimine pas, c’est lui qui nous éliminera.
Je crois que nous sommes beaucoup a ne pas haïr les musulmans mais a détester le coran les oulémas les imams et toute la clique des pseudo religieux qui ne sont, en réalité, que des politiciens sectaires et totalitaires.
Quand on lutte contre l’islam, il est question de la survie de notre culture et de notre mode de vie, de nos lois, de nos principes et pour les croyants, de leur religion.
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