Dans Le Progrès de Lyon du 4 février 2017, Nicolas Ballet fait son enquête et consacre un dossier sous le titre de : ‟Islam : des cathos se frottent au «tabou des conversions».
Outre un certain nombre d’inexactitudes et d’erreurs dans ses articles, notre Tintin grand reporter régional fait dans le sensationnel diffus sur deux pages.
Il présente d’abord les groupes d’associations et d’intervenants au forum comme étant des «associations prosélytes» et de catholiques qui ressusciteraient Dieu sous «une forme plus conquérante». Ce qui n’est pas le cas. Ensuite, ces associations n’œuvrent pas vraiment «à convertir les musulmans au catholicisme» mais plutôt à répondre aux questionnements de musulmans intéressés au christianisme. L’essentiel est d’accueillir, d’accompagner par des amitiés bienveillantes et d’apporter le soutien logistique aux ex-musulmans précarisés. Ceux-ci sont le plus souvent (et non «parfois») rejetés et isolés, persécutés, tabassés, voire menacés de mort par leur communauté islamique d’origine et le chantage musclé et voyou des fondamentalistes islamistes. Dans la foulée, il y a aussi les protestants, les évangéliques et les baptistes que le journaliste oublie, voire même des conversions au judaïsme et au bouddhisme. Enfin, à lire les commentaires d’autres opposants, on se pose plusieurs questions légitimes sur cette partialité et le côté racoleur et bâclé des indignations tragi-comiques.
De l’amnésie historique à la schizophrénie culturelle
D’abord, dans un entretien avec Kamel Kabtane, recteur de la grande mosquée de Lyon, on est perplexes une fois de plus de cette schizophrénie culturelle et religieuse du recteur qui nous a habitués aux distorsions historiques, aux déclarations à l’emporte-pièce et aux omissions intentionnelles qui procèdent au final du réflexe pavlovien islamique de défense, celui de la taqiya.
Le journaliste met le programme du Forum sous les yeux du recteur et lui demande ce qu’il en pense : «Pas du bien ! ». Normal pour un islamique dont la religion ordonne la conversion systématique à sens unique et l’injonction coranique de supprimer les apostats. Il s’exclame : «Avec ce Forum, on a l’impression de se retrouver d’un coup au temps des Croisades.» Les dés pipés sont jetés !
Au risque de me répéter (on se lasse de ces redondances islamiques qui reviennent à tous les coups, avec l’impression du plat réchauffé !), les Croisades (1096-1291) ne furent jamais des conquêtes jihadistes impérialistes dans le sens islamique. Depuis les origines de l’islam, il s’agissait pour les musulmans de soumettre par la violence et la terreur guerrière jihadiste de nouvelles terres à la foi de Mahomet, les fameuses «foutouhât» (pluriel de fath : «ouverture», sous-entendre «de toutes les terres mécréantes et infidèles à l’islam»), pratiquées des siècles durant par les armées belliqueuses des califes conquérants, bien avant les Croisés.
Kamel Kabtane passe sous silence que les Croisés se sont rendu en Terre-Sainte non pas pour convertir (comme ce fut le cas de ses ancêtres islamisés par la force), ni dans le but de conquérir des terres pour la chrétienté. Il s’agissait de faire cesser le pillage et les massacres à répétition des pèlerins au tombeau du Christ par les Turcs Seldjoukides qui égorgeaient les chrétiens comme des moutons (1071 : siège et prise de Jérusalem victoire des Seldjoukides sur les Arabes Fatimides). Pour rafraîchir la mémoire défaillante de Kamel Kabtane, Martin Aurell professeur d’histoire médiévale à l’université de Poitiers, et membre de l’Institut universitaire de France, a écrit, référence incontournable, un article sur les Croisades, pour Aleteia. Il serait salutaire qu’enfin l’«islam de France» cesse de nous mentir et de se mentir.
Précisons à notre recteur amnésique de l’histoire que les conquêtes islamiques ont commencé avec Mahomet, puis les premiers califes (632, la mort du prophète, à 661), puis le califat des Omeyyades (661-750), et enfin celui des Abbassides (750-1258) et ainsi de suite… Plus de quatre siècles et demi avant les Croisades durant lesquels l’islam suprématiste et conquérant a mis au nom d’Allah et de ses conquêtes mahométanes tout l’Orient, toute l’Afrique du Nord et toute la Méditerranée à feu et à sang, menaçant de surcroît tout le sud de l’Europe et les routes commerciales maritimes : pillages, esclavage par dizaines de milliers d’Européens (et même après les Croisades : On en parle ? Quand les Maghrébins capturaient les Européens pour fournir des esclaves aux Turcs), piraterie sur les flottes commerciales européennes, occupation des îles de la Méditerranée, conquête de l’Espagne (Andalousie), bataille de Poitiers, Tours, etc., et j’en passe (voir : Expansion de l’islam).
Les Croisades furent donc enfin –après plus de quatre siècles et demi d’exactions islamiques furieuses– une expédition militaire défensive entreprise à la demande du pape Urbain II et d’Alexis Comnène, empereur de Byzance, devant les multiples dangers aux portes de l’Europe et la dégradation des conditions du pèlerinage chrétien en terre devenue musulmane –et qui ne l’étaient pas auparavant. Il fallait également sauver le commerce dans le bassin méditerranéen de l’emprise impérialiste de l’islam assoiffé de foutouhât et de butins.
Monsieur Kabtane, c’est l’hôpital qui se moque de la Charité en évoquant les Croisades au sujet d’un simple Forum d’accueil bienveillant des ex-musulmans. Le loup des foutouhât islamiques n’était pas un agneau sans défense, victime du croisé : la prédation féroce de l’islam sévissait et durait depuis plus de quatre siècles et demi soumettant sous son joug des peuples entiers avant que les Croisés ne se décident enfin de réagir face aux dangers à leurs portes.
Déstabilisation ou dénigrement de l’islam ?
Ensuite, le très médiatique et controversé prêtre lyonnais Christian Delorme, délégué épiscopal au dialogue interreligieux islamo-chrétien, s’insurge dans une première déclaration dans Le Progrès : «ce Forum instrumentalise des convertis [au catholicisme] pour mener une irresponsable campagne de déstabilisation de l’islam». Malheureuse déclaration imprudente rectifiée le lendemain (voir Lyon Métropole | Islam : précision importante de Christian Delorme) : «ce Forum instrumentalise des convertis pour mener une irresponsable campagne de dénigrement de l’islam». Comme d’habitude, pour faire mouche on nage entre deux eaux troubles, et des ambiguïtés sémantiques on fait feu de tout bois. Peine perdue ! Car, les citoyens français qu’ils soient croyants de toute religion non-musulmane, sans religion, agnostiques ou athées ouvrent de plus en plus les yeux sur la vérité. «La vérité vous rendra libres» a dit Saint Jean (8 h 32).
Ce prêtre ignore, semble-t-il, comme une certaine catégorie de ses confrères islamo-compatibles, que les convertis au christianisme, surtout protestant et évangélique (et non seulement au catholicisme) ne sont nullement «instrumentalisés». Ils ont délibérément quitté l’islam pour des raisons évidentes qu’il serait superflu ici de détailler, largement explicitées dans Dreuz.Info et en masse ailleurs mais que ses confrères en islam atteints de cécité, de surdité et d’amnésie, surtout historique, refusent de voir et d’entendre.
Et Christian Delorme d’enfoncer le clou : «Mais on ne peut fonder un projet pastoral sur le dénigrement de l’islam». Selon lui, une partie des intervenants «se manifestent depuis longtemps comme des adversaires résolus du dialogue islamo-chrétien tel que nous le vivons dans notre métropole de Lyon» (Anne-Bénédicte Hoffner dans La Croix, du 07/02/2017).
Une campagne catholique française de «déstabilisation» ou de «dénigrement» de l’islam, c’est kif-kif. L’islam provoque de lui-même le refus de l’islam !, et ce phénomène sociétal inédit –n’en déplaise au curé Christian Delorme et son confrère Kamel Kabtane qui le perdent de vue– prend une ampleur sans précédent en Orient : une vague grandissante de rejet de l’islam, d’athéisme et d’apostasie par millions (L’Égypte est-elle en train de devenir le sarcophage de l’Islam ?), voire des conversions dans de nombreux pays arabes musulmans, et même en Iran : «Les conversions semblent inquiéter le régime islamique».
Et de quel dialogue de dupes parle-t-il ? Du monologue catholique complaisant et de l’hypocrisie réciproque ? D’une diplomatie de bonimenteurs dans les salons mondains et des courtoisies déférentes autour d’un thé à la menthe accompagné de gâteaux orientaux pour faire passe les grosses couleuvres ?
Messieurs, l’irresponsabilité c’est de persister dans cette schizophrénie culturelle et religieuse, quasi pathologique, multipliée par une «paranoïa sadique orientale» (Gilles-William Goldnadel, dans : Les agressions contre les chrétiens ont explosé : où sont les indignés ? par Gilles William Goldnadel), et de s’entêter dans les partialités aveuglantes et aveuglées perdant de vue qu’en Orient l’islam de ce XXIe siècle est en crise profonde au risque majeur d’une effective déstabilisation.
Et en France, l’islam en est encore aux revendications communautaristes archaïques, aux manœuvres perfides et aux dénis ?
Conversions au christianisme ou cheval de Troie islamique ?
Enfin, Azzedine Gaci, recteur de la mosquée Othmane à Villeurbanne, suite aux déclarations du recteur Kamel Kabtane (dans Le Progrès de Lyon du 4 février 2017), s’insurge à son tour et fait lui aussi dans la surenchère : «Qu’aurait-on dit si une association musulmane avait organisé un forum pour former des musulmans à l’annonce du Coran aux chrétiens ? (Anne-Bénédicte Hoffner dans La Croix, du 07/02/2017)», sous-entendant à tort qu’il s’agirait de former des chrétiens à l’annonce pastorale de l’Évangile aux musulmans.
Il est clair que la tactique de l’attaque comme défense est la meilleure des stratégies de ces sympathisants de l’UOIF, quitte à noyer le poisson déjà moribond. Détourner les regards du plus grave et des pratiques d’endoctrinement dangereusement prosélytes de l’«islam de France» dans l’Hexagone ?
L’arroseur arrosé : nos imams feignent d’ignorer que des milliers d’élèves sont endoctrinés par l’UOIF, et qu’une plongée édifiante dans la France des écoles islamiques suffit à lever le voile et les démasquer : il existe bel et bien un socle théologique musulman très inquiétant pour une pastorale d’islamisation de la France et même de tromper ses chrétiens déjà abusés (islamisme radical : ces écoles qui inquiètent la République). Ajoutons, les actes anti-chrétiens en hausse constante depuis 2008, tandis que ceux anti-musulmans sont en baisse constante afin que l’islam de France, UOIF et CCIF en tête (et qui soutiennent le contraire en trafiquant les données), cessent de pleurnicher sur ladite «islamophobie» (dans le sens de racisme ; euphémisme impropre) de la société française. Après tout, le prêtre agressé à Avignon : «Si ça avait été un imam ?», on aurait eu droit à des émeutes, des violences, du vandalisme barbare dans tout l’Hexagone et une surenchère victimaire islamique.
Deux poids, deux mesures ! Les recteurs des mosquées de Lyon et de Villeurbanne devraient commencer par la décence du silence et de balayer devant la porte de l’«islam de France» au lieu de l’habituelle inversion perverse des situations, se positionner en victime dans une surenchère grotesque.
Mais cette fébrilité inquiète de nos recteurs est plutôt le symptôme d’un islam en perte accrue de confiance en soi, de doute et de désarroi. D’une part, face à la déferlante de violence jihadiste insoutenable de cette réalité millénaire qui revient aux mémoires musulmanes amnésiques, et face aux injonctions coraniques fort belliqueuses et problématiques les mettant en porte-à-faux, les musulmans de France sont dans le grand embarras. D’autre part, avec cette lame de fond d’apostasie et de conversions qui nous arrive d’Orient, les musulmans de France commencent à être fort déstabilisés. Et contrairement à ce que l’on avance (notamment sous la plume de Nicolas Ballet et son ‟Zoom» dans Le Progrès de Lyon), il n’y a pas plus de convertis à l’islam qu’au christianisme. Le contraire serait plus exact. Car, en plus, on ne prend pas en considération dans les statistiques, recensements et autres études sociologiques du phénomène religieux ces dizaines de milliers de Français d’origines maghrébines et orientales parfaitement intégrés, sécularisés, agnostiques et athées, voire convertis au christianisme ou sans religion.
Les racines du mal…
Le vrai problème de l’islam –militant et politique– de France (et du monde arabe) se résume au fait que l’interprétation obsolète et dépassée de la religion islamique est en conflit avec la modernité depuis près d’un siècle (lire : l’intellectuel égyptien Khaled Montaser : L’extrémisme islamique ne découle ni de la pauvreté ni de l’ignorance ; nos interprétations religieuses sont en conflit avec la modernité). Le monde arabe a raté sa révolution intellectuelle et culturelle durant cette époque de la Nahda («le pouvoir et la force»), celle de la fin du XIXe-débuts du XXe siècle. En fin de compte, ce «réveil» (intellectuel à l’islam) accouche durant la seconde moitié du XXe siècle, d’une part, au fondamentalisme néo-salafiste et, d’autre part, le monde arabe s’en est remis à la doctrine jihadiste et universaliste de la confrérie des Frères musulmans (la Oumma versus le nationalisme), tous les deux adeptes du chantage et de la terreur menaçante, fi sâbil Allah, «dans la voie d’Allah», tous les deux importés et très actifs en Occident et en France (UOIF).
Nos trois mousquetaires lyonnais indignés perdent de vue qu’au même moment ce 4 février au Palais des Congrès de Paris, l’Union des Organisations islamiques de France (UOIF) d’obédience et de doctrine frériste (organisation des Frères musulmans considérée comme terroriste et bannie dans de nombreux pays, y compris arabes, Égypte en tête), a tenu un colloque infiniment plus dangereux que ce Forum chrétien inoffensif et à la limite ‟angélique» par son optimisme naïf. Le thème de ce colloque islamiste est : «L’islam en France : de l’adaptation à la réforme». Tout un programme de conquête (fath), et Tareq Oubrou à ce colloque annuel de l’UOIF annonce les prémices d’une Charia européenne. Là, ni sieur Delorme, ni ses acolytes dans le ‟monologue» christiano-islamique crient au loup entré dans la bergerie.
Silence abyssal sur cette mouvance idéologique de l’islam politique qui prospère allègrement dans toute la France et même à Lyon berceau du christianisme en Gaule, capitale de la chrétienté, désormais portant haut l’étendard du ‟monologue» à tout prix avec un islam de plus en plus inquiétant. Citoyens passez votre chemin, il n’y a rien à voir !
Et le curé Delorme de s’interroger plutôt sur la méthode proposée dans le Forum (duquel il était absent) ? À mille lieues des réalités du terrain du vrai islam, il nous sort un de ses clichés rancis : «Si je ne respecte pas l’autre dans son histoire, dans ses solidarités, dans son patrimoine de foi ; si je m’inscris dans un rapport de force : vérité chrétienne contre doctrine musulmane (ou l’inverse : vérité musulmane contre doctrine chrétienne), où tout cela peut-il conduire, sinon à des spirales de violence, à la destruction du vivre ensemble dans nos quartiers ?»
Qu’on demande à des non-musulmans originaires d’Orient (quelles que soient leurs attaches : Juifs séfarades originaires du Maghreb, chrétiens, yézidis, bahaïs, nazaréens, zoroastriens, etc.) ce qu’ils pensent du respect de «l’autre dans son histoire» et «dans son patrimoine de foi» ? Ils auront des réponses dures et fort embarrassantes en ce qui concerne l’islam, notamment sur l’altérité bafouée et annihilée depuis des siècles.
«Vivre ensemble» dans la dissemblance ?
L’utopie française et occidentale du «vivre ensemble», dont beaucoup de traditions non-musulmanes se l’approprient sans difficulté, est systématiquement vécue ailleurs en islam sous le joug de la dhimmitude liberticide, inégalitaire, humiliante, hostile et haineuse depuis quatorze siècles. Ce drame risque de gagner la France un jour, si… n’est-ce pas, Christian Delorme ?
En tous les cas, moi personnellement en Orient musulman, hélas je n’ai pas vu ni connu ce mirage du «vivre ensemble» dans la liberté, l’égalité et la fraternité, ces trois merveilleuses notions qui font défaut au message coranique pour tout non-musulman !
À ce sujet, toujours à Lyon, le dossier miné des statues de Tibhirine, avait suscité une vive polémique (dans Le Progrès du 28 juin 2016). À l’origine, le diocèse de Lyon avait acquis sept statues de pierre blanche représentant les sept moines trappistes de Tibhirine, enlevés le 26 mars 1996, assassinés et décapités, leurs têtes sans corps retrouvées deux mois plus tard, le 30 mai. L’emplacement choisi par la mairie de Lyon (le maire Gérard Collomb avait engagé l’instruction pour l’installation) se situait au cœur d’un quartier à forte densité maghrébine musulmane (La Guillotière, Lyon 7e ; et quartier originaire des moines). Le consulat d’Algérie aussitôt, en fath maghrébin, a fait part de sa farouche opposition. Et par «une manœuvre de repli vers le domaine privé de l’Église», les statues trouvèrent enfin refuge dans la cour de la Maison Saint-Irénée, Lyon 5e, où siège le nouvel archevêché.
On se demande en vertu de quel droit un diplomate étranger, dont le gouvernement n’observe nullement la réciprocité ni culturelle ni religieuse, impose ses volontés au cœur d’une ville dont on oublie qu’elle est le berceau du christianisme en Gaule (dès le 2e siècle).
Mais ce n’est pas tout ! En fin de son article, Nicolas Ballet met en garde : «le consulat général d’Algérie à Lyon veille. Le prosélytisme kabyle [associations franciliennes catholiques Notre-Dame de Kabylie et Mère-Qabel] étant la bête noire de l’État algérien, il ne serait pas illogique de le voir refuser des visas à des pèlerins ou prêtres catholiques du Rhône, en représailles.» Tandis que Kamel Kabtane, recteur de la grande mosquée de Lyon, se précipite par anticipation auprès du Préfet du Rhône pour lui dire sa «grande inquiétude à propos de ce Forum» avant son déroulement (et afin de tenter de le faire annuler ?).
Le «rapport de force» est bien là, Christian Delorme, asymétrique et inégalitaire !
En conclusion
L’islam algérien et marocain fait sa loi en France. Il abuse du chantage et des menaces au nom du «vivre ensemble» vicié par un bras de fer aux fins d’une islamisation méthodique rampante et sournoise. En attendant l’allégeance de la France à ces deux pays sous les yeux baissés d’une Église en voie d’intégrer la dhimmitude islamique ? Pourtant, cette soumission moralement et psychiquement esclavagiste a anéanti les non-musulmans d’Orient.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © François Sweydan pour Dreuz.info.
Références bibliographiques :
Bat Ye’or (préface Jacques Ellul), Les Chrétientés d’Orient : Entre jihad et dhimmitude VIIe-XXe siècle*. Jean-Cyrille Godefroy, Paris, 2006.
Georges Bensoussan (collectif, sous la dir. ; Préface Elisabeth Badinter), Une France soumise – Les voix du refus*. Albin Michel, 2017.
Laurent Dandrieu,Église et immigration : le grand malaise*. Plon, Presse de la Renaissance, Paris, 2017.
Anne-Bénédicte Hoffner, ‟À Lyon, un forum pour «évangéliser» les musulmans et des questions». La Croix, 07/02/2017.
Pascal Raines, Quel dialogue possible avec l’islam du Coran ? Point de vue d’un catholique. Disponible auprès de l’éditeur Lulu.com, 2016. Accessible aussi chez Amazon.
Joachim Veliocas, Mosquées radicales : Ce qu’on y dit, ce qu’on y lit*. DMM (Dominique Martin Morin Éditions)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire