Trois terroristes françaises d’origine musulmanes, arrêtées pour avoir rejoint Daech en Irak, attendent leur procès et elles risquent d’être exécutées. Ces trois femmes avaient été arrêtées et emprisonnées à Bagdad après que l’armée irakienne a pris, en juillet dernier, le contrôle de la ville de Mossoul.
L’une de ces femmes, musulmane voilée, âgée de 28 ans, s’est rendue en Irak et en Syrie en 2015 avec son mari qui a été tué depuis, et elle est actuellement emprisonnée avec sa fille.
Le système judiciaire irakien a déjà condamné à mort une femme allemande qui avait rejoint l’Etat islamique. En septembre, la justice irakienne a condamné pour la première fois un prisonnier russe islamiste radical. En décembre, un ressortissant belge a été exécuté après avoir été reconnu coupable d’actes terroristes.
Environ 43 femmes et hommes français sont actuellement dans des centres de détention ou des prisons en Syrie et en Irak.
Le rôle des femmes terroristes n’est pas limité au Jihad du sexe avec les combattants, elles sont recrutées pour l’éducation, la médecine, les premiers soins et la coordination entre les cellules terroristes et leurs capacités à influencer les gens.
En France la fascination pour Daech n’est pas rare chez les pieux musulmans de la communauté, qui sont volontiers hostiles à l’État d’Israël.
La génération Mohamed Merah qui tient le terroriste pour modèle comme d’autres admirent Ben Laden se retrouve chez les terroristes palestiniens, les tueurs du GIA, voire ceux du FLN. On ne peut qu’être frappé par la similitude des assassinats commis par Merah et ceux commis par les tueurs palestiniens d’Itamar ou ceux commis par les terroristes du FLN ou du GIA.
Il y a quelques jours, une manifestation de soutien à la palestinienne Ahed Tamimi, devenue un héros, et ses proches, s’est déroulée dans le centre de Paris.
L’une de ces femmes, musulmane voilée, âgée de 28 ans, s’est rendue en Irak et en Syrie en 2015 avec son mari qui a été tué depuis, et elle est actuellement emprisonnée avec sa fille.
Le système judiciaire irakien a déjà condamné à mort une femme allemande qui avait rejoint l’Etat islamique. En septembre, la justice irakienne a condamné pour la première fois un prisonnier russe islamiste radical. En décembre, un ressortissant belge a été exécuté après avoir été reconnu coupable d’actes terroristes.
Environ 43 femmes et hommes français sont actuellement dans des centres de détention ou des prisons en Syrie et en Irak.
Le rôle des femmes terroristes n’est pas limité au Jihad du sexe avec les combattants, elles sont recrutées pour l’éducation, la médecine, les premiers soins et la coordination entre les cellules terroristes et leurs capacités à influencer les gens.
En France la fascination pour Daech n’est pas rare chez les pieux musulmans de la communauté, qui sont volontiers hostiles à l’État d’Israël.
La génération Mohamed Merah qui tient le terroriste pour modèle comme d’autres admirent Ben Laden se retrouve chez les terroristes palestiniens, les tueurs du GIA, voire ceux du FLN. On ne peut qu’être frappé par la similitude des assassinats commis par Merah et ceux commis par les tueurs palestiniens d’Itamar ou ceux commis par les terroristes du FLN ou du GIA.
Il y a quelques jours, une manifestation de soutien à la palestinienne Ahed Tamimi, devenue un héros, et ses proches, s’est déroulée dans le centre de Paris.
Les jeunes musulmans français s’éloignent de plus en plus de l’esprit de la République pour se rapprocher des thèses du mouvement islamiste du Hamas. La France perd rapidement son emprise sur les jeunes musulmans, qui la voient de plus en plus comme antithétique à leurs valeurs musulmanes.
Même ceux qui ont fait des hautes études, les étudiants musulmans des universités en France, sans même parler des salafistes, considèrent la République comme une entité qui s’oppose à leurs valeurs islamiques rétrogrades.
© Ftouh Souhail
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