Synthèse très complète publiée sur Apostat Kabyle AK sauvegardée sur Révolte
Si nous continuons machinalement à traiter l'islam comme s'il s'agissait simplement d'une religion comme les autres, si nous continuons à ignorer les différences fondamentales entre la Charia et les principes qui régissent le monde dit libre et si nous persistons à considérer que ces systèmes sont compatibles alors qu'ils sont totalement antinomiques, l'islam djihadiste continuera à prospérer et à se propager et cette progression se fera aux dépends de nos libertés ou même de nos vies.
Par ailleurs, on peut me reprocher une vision pessimiste, voire totalement noire, de l'avenir. Mais à qui la faute, si ce n'est aux trois catégories de personnes qui sont le sujet de cet article?
Le coran impose la guerre sainte à tous les musulmans. L'État islamique leur avait rappelé à tous l'impératif devoir de djihad (guerre sainte): "Chaque musulman qui est bien conscient de l'histoire de l'islam sait que la guerre sainte contre les infidèles est une partie intégrante [indéfectible] de l'islam". Il ne fait que reprendre les injonctions coraniques et ce qui est enseigné dans toutes les mosquées et madaris [écoles coraniques] du monde.
Les musulmans n'ont pas de système hiérarchique défini et n'ont pas de représentant légal unique. Malgré cela, chaque émir, chaque cheikh, chaque imam peut se prévaloir de ce titre dès l'instant où il considère qu'il en a les capacités et les connaissances suffisantes. Paradoxalement, même les grandes Universités tel qu'al Azhar, qui sont pourtant autant de représentants officiels de l'islam, disent qu'elles ne sont pas habilitées à faire le travail d'interprétation, tout juste sont-elles qualifiées pour émettre quelques fatwas (comme n'importe quel émir autoproclamé des banlieues occidentales). Ce qui n'est pas faux, puisque leur rôle consiste principalement à enseigner ce qui constitue la sunna, sans rien y ajouter ni retrancher, et non pas de légiférer.
Conséquence:
- Les musulmans nous disent après chaque massacre, après chaque attentat djihadiste, que ces horreurs n'ont rien à voir avec l'islam et personne ou presque ne vient leur apporter la contradiction, bien au contraire.
- Il n'y a personne à qui s'adresser pour clarifier une situation ou pour émettre un avis sur un problème quelconque lié de près ou de loin à l'islam.
- Encore moins donner un signal aux apprentis djihadistes, pour leur signifier qu'ils ne sont pas sur la bonne voie.
- Les musulmans n'adoptent pas une attitude franche vis-à-vis du djihadisme et ne ressentent pas le besoin de déclarer, solennellement ou non, que leurs intentions envers les non-musulmans sont pacifiques et qu'ils se démarquent du terrorisme.
- Cette attitude complaisante envers les tueurs ne leur est reprochée par quasiment personne, surtout pas par les élites.
Les terroristes ont la sympathie de la plupart des musulmans et peuvent compter sur une attitude bienveillante et complice de leur part. On le constate après chaque attentat, que ce soit par les messages à travers les réseaux sociaux, par des minutes de silences perturbées (ce fut le cas dans plusieurs établissements scolaires au lendemain des attentats de Paris de janvier et de novembre 2015) ou par les scènes de liesse spontanées. Même l'islamophile ministre belge de l'Intérieur Jan Jambon a dû en convenir:
"Une partie significative de la communauté musulmane a dansé à l'occasion des attentats".
Ces scènes ne sont pas des cas isolés mais se reproduisent systématiquement, après chaque attentat, ce qui reflètent bien un certain état d'esprit. Le dernier exemple est celui des Palestiniens qui ont spontanément fêté l'attentat du 19 avril à Jérusalem contre un bus. De nombreux officiels palestiniens se sont ouvertement félicité de cet attentat, d'autres palestiniens ont distribué des bonbons dans les rues, ce qui est leur manière d'exprimer une joie profonde. Et dire que la communauté internationale exige d'Israël qu'il fasse la paix avec ce genre d'individus! Ces faits sont bien évidemment minorés, voire occultés quand c'est possible, par les médias traditionnels.
En dehors des déclarations larmoyantes teintées de taquiya (le mensonge utile, la dissimulation), les musulmans refusent très majoritairement de condamner le terrorisme. Ils prennent même une attitude contraire, très révélatrice de la réalité de l'islam et de l'homogénéité de la Oumma, la Communauté des Croyants: loin de condamner les assassins d'innocents, ils leurs trouvent des justifications et certains vont même jusqu'à en faire des héros. Il est vrai qu'il ne peut pas en être autrement, puisque ce sont les textes islamiques qui exhortent à ces crimes horribles, en premier le coran et ses 164 versets dédiés au djihad guerrier et au "qital fi sabil Allah" [combat dans la voie d'Allah].
Il est établi que les terroristes bénéficient du soutien de la population musulmane, tant sur le plan idéologique que sur le plan matériel et le support logistique. Une population au sujet de laquelle on nous dit "Pas d'amalgame", alors qu'elle est très majoritairement pro-djihad, toutes les enquêtes nous l'ont démontré.
Dernièrement, "certains habitants" (tout le monde aura compris de qui il s'agit) du quartier de Molenbeek ont jeté des projectiles sur les policiers venus arrêter le terroriste Abdeslam [nom prédestiné, puisqu'il veut dire "Serviteur-de-l'Islam"], un des auteurs des attentats de novembre 2015 à Paris. Une grêle de bouteilles, de pierres et détritus, jetés depuis les fenêtres par les habitants "ordinaires", c'est-à-dire des musulmans modérés tout ce qu'il y a d'orthodoxe, indignés par l'arrestation de leur Héros [1]. Le code du silence qui avait prévalu sur sa cachette et la violence envers les policiers venus l'arrêter ne sont pas surprenants pour qui se donne la peine d'étudier et de comprendre le dogme musulman.
Le constat a été établi depuis longtemps: les zones de non-droit (no-go-zones) ne sont rien d'autres que des refuges pour djihadistes. De là sortiront le moment venu les futurs Khaled Kelkal, Merah, Mehdi Nemmouche, Coulibaly, el-Bakraoui, Kouachi, Abdeslam et autres Najim Laachraoui. Les djihadistes réussissent dans leur activité de mort et de terreur parce qu'ils sont protégés dans leurs cités-émirats des banlieues, véritables territoires autonomes. Ils y sont à l'abri, puisque les représentants de l'État n'osent plus y pénétrer et que la loi qui prédomine est plus la Charia que le Droit républicain. Ils se déplacent au sein d'une communauté notoirement favorable au djihad et hostile à l'Occident. Les musulmans dans ces communautés ne sont pas majoritairement des terroristes, mais ils prennent fait et cause pour les djihadistes. Ceux parmi eux qui seraient opposés au djihad ont trop peur des représailles si jamais ils osaient avertir les autorités sur les activités suspectes des futurs assassins. Le recrutement et l'élaboration des attaques terroristes peut ainsi se programmer en toute tranquillité. La chaîne Fox News avait dénombré 571 de ces minis-califats en France et personne ne pourrait dire combien de complots s'y préparent ou vont s'y planifier
Très logiquement, ces musulmans tout ce qu'il y a d'orthodoxes sont bien plus fidèles au djihadisme, à Allah et à son prophète, qu'au pays où ils sont nés ou qui leur a donné refuge, juste parce que c'est un pays de kouffar (mécréants). Ce qui est tout ce qu'il y a de plus normal pour eux: le djihad contre les mécréants est la première des obligations morales des musulmans, c'est la première des clés qui ouvrent le paradis d'Allah.
Pour revenir au djihadisme bruxellois, une info qui n'a pas été divulguée par les médias traditionnels (une de plus): le Conseil des Théologiens de Belgique a refusé de réciter une prière dédiée aux victimes "pas toutes musulmanes". Rien de plus logique: l'islam interdit formellement qu'on prie pour un non-musulman [2], l'interdiction vient d'Allah lui-même:
Le musulman qui passe outre ce commandement ira rejoindre les mécréants en enfer.
Beaucoup de gens connaissent des musulmans sympathiques et serviables. Ces personnes sont ainsi enclines à penser que l'islam ne peut pas tolérer le terrorisme, car les musulmans qu'ils connaissent sont tellement agréables, attentionnés et incapables de faire le moindre mal. Ces gens connaissent peut-être assez bien leurs voisins musulmans, mais ils ne connaissent pas grand chose de l'islam. Ils ne savent pas que c'est Mahomet lui-même qui a enseigné à ses compagnons que la doctrine centrale de l'islam est le djihad qui consiste à convertir, à asservir ou à tuer tous les mécréants, que parmi ces mécréants figurent aussi les autres gens du Livre: chrétiens et juifs.
Beaucoup de gens ne savent pas que leurs voisins musulmans eux-mêmes, s'ils se disent modérés, sont soit sincères, mais dans ce cas ils ignorent presque tout de leur dogme, soit des menteurs qui appliquent la taqiya. Beaucoup de gens ne savent pas que leurs voisins musulmans ne choisissent pas quelles parties ou quelle autre de l'islam il faut pratiquer, ou que l'islam peu se pratiquer en ignorant une partie des commandements coraniques. Ils ne savent pas que même si tous les musulmans du monde décidaient de ne plus pratiquer une certaine partie de l'islam, l'islam ne changerait pas pour autant, mais que ce serait eux qui deviendraient des mécréants.
Ils ne savent pas que Mahomet a imposé deux obligations impérieuses à chaque musulman, qui sont de suivre les paroles d'Allah (le coran) et les enseignements que lui-même a laissé (les hadith). Ils ne savent pas que le dogme islam ne peut pas changer, car le coran est pour tous les musulmans le livre complet, parfait, immuable et éternel, puisqu'il est "la dernière parole révélée". Cette affirmation vient de Mahomet lui-même et elle a été reprise à l'unanimité par les savants musulmans. Aucun musulman ne dira le contraire, pas même votre très gentil voisin [3].
Il y a unanimité parmi toutes les hautes personnalités musulmanes pour souligner le caractère intangible et irréformable du coran [4]. Juste deux exemples:
1) Yusuf al-Qaradawi, qu'il n'est pas besoin de présenter, a été on ne peut plus clair dans sa déclaration concernant la possibilité d'une réforme de l'islam: "La charia ne peut pas être modifiée pour se conformer à l'évolution des valeurs et des normes humaines. Au contraire, elle est la norme absolue à laquelle toutes les valeurs et comportements humains doivent se conformer".
2) Le président turc Recep Erdogan a, quant à lui, rejeté à plusieurs reprises les tentatives des dirigeants Occidentaux de présenter son pays comme un exemple de "l'islam modéré" en affirmant qu'un "tel concept est laid et offensant, il n'y a pas d' islam modéré car l'islam est l'islam".
On le constate donc aisément: pour le milliard et demi de musulmans orthodoxes, il n'y a qu'un seul et unique islam et il n'est pas réformable. Le cheikh Muhammad Abdullah Nasr, actuel dirigeant de la très prestigieuse Université al Azhar du Caire et expert de renom en Droit islamique, ne dit pas autre chose en déclarant en Novembre 2015 que son illustre institution, d'où sortent les plus grands ulémas (savants musulmans), refuse de dénoncer l'État islamique comme non-islamique:
"L'État islamique est un sous-produit des programmes d'al Azhar. Al Azhar ne peut pas se dénoncer comme non-islamique".
Il approuve donc implicitement toutes les horreurs commises par l'État islamique. En quoi il a parfaitement raison, puisque le seul acte anti-islamique qu'ont commis les sanguinaires adeptes d'Abou Bakr al-Baghdadi est d'avoir brûlé vif des otages, ce que Mahomet avait interdit, car "Personne ne peut punir par le feu si ce n’est Allah le Seigneur du feu" (hadith d'Abdullah ibn Massud).
Il n'y a que les naïfs Occidentaux pour croire à l'imposture qu'est le concept d'islam modéré. Ce point de vue est confirmé par un uléma, le cheikh Adel al-Kilbani, ancien imam de la Grande Mosquée de la Mecque. Le 22 janvier 2016, il a déclaré à l'antenne de MBC-TV de Dubaï:
"L'État islamique et l’Arabie saoudite suivent le même courant de pensée [...] Ils tirent leurs idées de ce qui est écrit dans nos propres livres, de nos principes-mêmes [...] L'État islamique et l’Arabie saoudite partagent la même opinion sur l’apostasie: ceux qui quittent l’islam doivent être exécutés".
Il a ajouté à propos de l'exécution des journalistes américains James Foley et Steven Sotloff que "leur sang a été versé de manière conforme à la charia". Ils ont été tués professionnellement, conformément au coran et à la loi islamique: c'est la sanction morale, normale et légitime prévue par l'islam et applicable aux mécréants. C'est la version sunnite des Droits de l'homme. Les musulmans se contrefichent des Droits de l'homme, ils ont les Droits de l'islam: la très orthodoxe Charte de l'Organisation de la Coopération Islamique.
Petit rappel à propos de l'Arabie saoudite, "gardienne du dogme" pour le milliard et demi de musulmans orthodoxes et qui est le pays qui a procédé à plus de décapitations que l'État islamique: elle a discrètement pris les commandes d'une instance stratégique du Conseil des Droits de l'homme de l'ONU.
On le voit donc très clairement: pas de possibilité de réforme. Pourtant, jusqu'au début du 11ème siècle, des ulémas avaient essayé de réformer l'islam et d'offrir une interprétation un peu plus moderne pour l'époque, ce qui a donné naissance à plusieurs courants, comme le mutazilisme. Ce mouvement réformateur fut dénommé l'ijtihad, c'était "l'effort personnel de réflexion", effort entrepris par les ulémas pour donner une autre interprétation du coran. Mais en 1019, al-Qadir, calife abbasside de Bagdad, a fait lire solennellement dans toutes les mosquées du monde sunnite un décret appelé "Risala al-qadiriya (l’Épître d'al-Qadir) qui condamne entre autres la doctrine du "coran créé" et interdit toute exégèse qui dévierait de l'orthodoxie. Selon l'expression utilisée par les musulmans, cet acte "ferme les portes de l'ijtihad" et depuis cette date, le taqlid (l'imitation) s'est imposé aux musulmans orthodoxes, au détriment de l'innovation et de l'esprit critique. La taqlid a mis fin à la pensée philosophique que les réformateurs avaient essayé d'introduire dans le dogme.
Naturellement, dans le climat de taqiya ambiante, les ulémas d'aujourd'hui disent qu'il est absolument faux de penser que les portes de l'ijtihad sont fermées. Mais, quand on creuse un peu, on découvre qu'il s'agit encore une fois d'un grossier mensonge par omission, puisqu'en disant cela, ils ne parlent pas des portes de l'ijtihad majeur, appelé ijtihad al-mutlaq al-mustaqill ("effort absolu et indépendant") et qui sont, elles, bien verrouillées. Mais des trois autres formes d'ijtihad (qui sont: 1° ijtihad al-mutlaq al-muntassab, 2° ijtihad fi al-madh'hab, 3° istinbat fi ba'dh al-massaïl faqat), pour lesquels il y a accord pour dire que leurs portes ne sont pas fermées à l'interprétation. Ces trois portes, si elles sont ouvertes, ont néanmoins été équipées d'un très bon système de filtration: accessibles aux seules personnes, ulémas ou cheikhs, "qui en possèdent les compétences". Autrement dit, qui possèdent et maîtrisent parfaitement les connaissances académiques orthodoxes. Ce qui est logique, mais qui est un motif pour les savants de l'islam pour ne pas prendre de risques en cherchant à s'engouffrer dans une exégèse aventureuse qui pourrait ne leur amener que des ennuis, tout ulémas qu'ils sont. Prudence est mère de sûreté.
Ouf! La démarche philosophique des mutazilites, qui eux-mêmes se sont inspirés des Grecs en adoptant leur approche rationnelle et leur logique, est bien morte. Allah et son prophète ont eu chaud, mais l'islam orthodoxe reste l'islam orthodoxe.
S'il reste encore des doutes après ce que j'ai exposé sur l'impossibilité de réformer l'islam, le coran les dissipe sans conteste:
Comme il faut répéter les choses pour bien les ancrer dans les subconscients, bien d'autres versets viennent appuyer cette immuabilité coranique, en voici un petit échantillon:
Ailleurs, Allah impose son totalitarisme arbitraire:
Nul besoin de préciser que la peine encourue par celui qui nie le coran ou en change la moindre parole du moindre verset est la mort:
"Il a été rapporté d'ibn Abbas que le messager d'Allah a dit: Celui qui nie un verset du coran, il est permis de le frapper au cou" [euphémisme utilisé dans le coran et dans la littérature islamique pour désigner la décapitation] (Sunan ibn Majah).
Voila ce que les non-musulmans devraient savoir sur l'islam et sur les musulmans, et aussi de leurs gentils voisins. L'étude et la compréhension de l'islam pourraient être leur planche de salut.
Autre problème: beaucoup de gens pensent que le djihad est seulement un "effort sur soi" ou un "combat intérieur afin de s'améliorer". Parce qu'on s'est évertué durant des décennies à le leur faire croire, pour mieux les endormir. Alors que le djihad est avant tout la lutte obligatoire que doivent entreprendre les musulmans, tous les musulmans, pour établir la charia, la loi islamique (lire mon dernier post Le djihad pour dominer le monde). C'est une lutte civilisationnelle entre l'islam et le reste de l'humanité, pour que s'accomplisse les versets 8:39 et 2:193 du coran:
Ceux qui connaissent l'islam le savent: il n'y a rien de plus faux que l'affirmation selon laquelle les djihadistes représenteraient une toute petite minorité d'extrémistes qui "souillent la réputation d'une foi musulmane basée sur le pacifisme, l'amour et la tolérance". En réalité, les actes de djihad ont leur racines dans l'islam orthodoxe: dans le coran, mais aussi dans toute la littérature qui s'y rattache, que ce soit les "Sirat an-Nabawiya" (les biographies du prophète) que les "hadith" (livres où sont consignés tous ses faits et gestes et qui servent d'exemple aux croyants) ou les "tafsir" (exégèses). Les djihadistes et leurs actes sanglants ne sont que la conséquence inévitable d'une foi qui est consacrée à la haine à grande échelle et dont les adeptes ont des opinions que les Occidentaux, à juste titre, trouvent tout simplement révoltantes.
Tous les musulmans ne sont pas d'ignobles terroristes, bien sûr, mais tous sont obligés d'obéir aux règles édictées par le coran, pour ne pas finir dans le feu de l'enfer. Obligés d'obéir, ou faire semblant d'obéir. Pas d'autre alternative car autrement, ils sont considérés comme apostats, donc punissables de mort.
Rien de plus faux donc que la formule mille fois rabâchée d'islam "amour-paix-tolérance". Sinon, comment expliquer que le prénom Oussama soit devenu un des prénoms les plus fréquents du monde arabo-musulman après que ben Laden se soit rendu célèbre par ses actions immondes? L'Occident a banni le prénom Adolf mais dans le même temps, les prénoms les plus communs chez les musulmans sont Mohammed et ses autres graphies et Oussama. Tout un symbole.
Rien de plus faux que la formule "amour-paix-tolérance". Anne-Marie Delcambre, en grande experte qu'elle est, a bien raison de déclarer qu'il n'y a qu'un seul islam:
"Au risque de choquer, il faut avoir le courage de dire que l'intégrisme n'est pas la maladie de l'islam. Il est l'intégralité de l'islam. Il en est la lecture littérale, globale et totale de ses textes fondateurs. L'islam des intégristes, des islamistes, c'est tout simplement l'islam juridique qui colle à la norme".
Ce qui est justifié par le comportement des musulmans eux-mêmes: tous les pays à majorité musulmane sont régis par des dictatures claniques, militaires ou religieuse. Des pays dont les Constitutions sont plus ou moins calquées sur la Charia, où l'opposition politique n'existe pas, des pays sans droits individuels, sans liberté, où les minorités et les femmes sont discriminées, où la justice est partiale et inique. La vérité est que les musulmans qui sont pacifiques ne sont pas pacifiques grâce à l'islam, mais en dépit de l'islam.
Les réactions des musulmans aux sondages nous renseignent de manière éloquente sur les intentions véritables de l'islam, en voici juste un petit échantillon:
- 83% des musulmans palestiniens approuvent les attaques djihadistes contre les Occidentaux et 66% d'entre eux soutiennent les agressions contre les civils israéliens.
- Pour le Pew Research Center, 99% des Afghans, 98% des Palestiniens et 91% des Irakiens soutiennent la charia comme seule loi de leur pays. Parmi les pays qu'on dit volontiers modérés, ils sont 86% au Niger, 83% au Maroc et 82% à Djibouti à penser la même chose.
- 78 % des musulmans britanniques disent qu'il faut punir les éditeurs de caricatures de Mahomet et 68 % d'entre eux disent qu'il faut poursuivre quiconque insulte l'islam. Et savez-vous ce qu'est insulter l'islam? C'est par exemple de dire que Mahomet est un pédophile.
- 80 % des jeunes musulmans néerlandais trouvent normale la guerre sainte contre les mécréants et soutiennent l'État islamique.
- 81 % des musulmans qui ont répondu à un sondage al-Jazeera en 2015 soutiennent l'État islamique. - Toujours selon le Pew Research Center, ils sont 100% au Liban, 97% en Israël, 94% en Jordanie, etc, à avoir une opinion favorable de l'État islamique.
Les enseignants qui travaillent dans les quartiers à forte proportion musulmane de Molenbeek et de Schaerbeek à Bruxelles ont rapporté que "90% de leurs étudiants musulmans âgés entre 17 et 18 ans ont qualifié de héros les djihadistes des attentats de Paris et de Bruxelles".
Voila de quoi faire voler en éclat le joli mythe du musulman modéré. L'islam modéré est comme l'Arlésienne de Daudet: personne ne l'a jamais vu! Surtout pas les minorités ethniques et religieuses des 57 pays membres de la très musulmane et très orthodoxe OCI, l'Organisation de la Coopération Islamique.
Si la modération islamique est un oxymore et un leurre agité pour duper les pigeons, la haine est par contre le sentiment le plus présent dans ce dogme, que ce soit dans le coran ou dans le reste de la littérature islamique. Pour comprendre comment s'articule l'édifice musulman de la haine, il faut l'imaginer comme l'a décrit le magazine américain de droite National Review: comme une pyramide. Une bigoterie exacerbée à sa base, suivie de marches qui conduisent graduellement au sommet, "jusqu'au radicalisme le plus extrême", c'est-à-dire jusqu'au djihad. Djihad dont une des formes consiste à se faire sauter la panse au milieu d'une foule de mécréants la plus compacte possible. Car si Allah a interdit le suicide, se tuer en emportant avec soi des mécréants est un acte de noble djihad, même s'il ne trouve pas de fondement dans le coran. Tant mieux pour l'islam si parmi les victimes se trouvent des femmes et des enfants, d'autant que l'impact auprès des populations n'en sera que plus fort: Allah n'a-t-il pas dit dans plusieurs versets qu'il faut instaurer la terreur dans le cœur des mécréants [5]?
Pour le coran, la base de la pyramide, c'est la haine. C'est le sentiment le plus largement répandu dans le monde islamique, un sentiment qui culmine avec l'antisémitisme et l'anti-christianisme. Le responsable de cette haine est encore une fois ce qui constitue le socle de ce dogme: le "Saint coran", livre achevé à qui il ne manque rien, livre intouchable et irréformable. Plusieurs de ses versets qualifient les juifs de singes et les chrétiens de porcs. Pas étonnant si ce sentiment de haine atteint des chiffres effarants chez les musulmans. En 2014, l'organisme américain Anti Defamation League a publié les résultats d'un sondage portant sur 53.100 personnes dans 102 pays différents. Les plus forts taux d'antisémitisme ont bien sûr été atteint dans les pays musulmans, et ceux qu'on a l'habitude de taxer de modérés arrivent parmi les mieux classés: Tunisie 86%, Maroc 80% et Turquie 79%. Pas étonnant que dans ces deux derniers pays, Mein Kampf soit devenu un best-seller, juste derrière le coran. Tandis que l'Europe de l'Ouest atteint 24%, un score honteux dû principalement à "qui vous savez", même si, bien sûr, on n'a pas de chiffres officiels, rectitude politique oblige.
Cette haine est aussi entretenue et exacerbée par le sentiment victimaire qu'ont développé les musulmans lorsqu'ils se sont retrouvés sous la domination des mécréants chrétiens et de leurs empires coloniaux. Dans la seconde moitié du XXème siècle, la rancœur envers les mécréants dominateurs s'est ajoutée à cette haine et a fait resurgir le concept de djihad mondial qui avait été plus ou moins mis de côté durant la période qui a succédé à la décadence des empires musulmans et à la période coloniale qui s'en ait ensuivi. Le cheikh Abdallah Youssouf Moustafa Azzam, éminent uléma diplômé lui aussi de la prestigieuse Université d'al-Azhar, joua un rôle de premier plan dans la montée et le renouveau du djihadisme mondial. Surnommé "l'imam du djihad", il a bien résumé le sentiment musulman dans son livre "Défense des Terres Musulmanes" [6]:
"Les musulmans ont été humiliés aux mains des régimes impurs et des puissances coloniales [...]. L'islam subira la défaite ultime si les musulmans ne prennent pas le djihad comme une obligation personnelle. La seule façon pour l'islam d'être sauvé est d'instaurer le califat mondial pour la gloire d'Allah".
Il fait référence chez beaucoup de musulmans pour avoir écrit également ce qui suit:
"Si les musulmans appliquaient les commandements d'Allah et établissaient les lois de la Charia concernant la Marche Générale [la mobilisation générale de l'ensemble de la Oumma] juste pour une semaine en Palestine, la Palestine serait complètement purifiée des juifs".
Mahomet inspire ses adeptes et les pousse à la haine des autres même dans leurs rêves! Ainsi, la terroriste Shatila Abu Iyadh a déclaré après sa tentative d'assassinat au couteau sur une Israélienne: "Mahomet m'est apparu en rêve et m'a incité à tuer des juifs".
Mahomet les pousse également à un racisme primaire qui, je pense, ne doit exister dans aucune autre religion, ou du moins pas dans le paroxysme qu'il atteint avec l'islam. La cause de ce racisme peut être résumée ainsi:
- Les musulmans pensent que l'islam est la seule religion révélée, que la thora et la bible sont les versions antérieures du coran et que tous les devanciers de Mahomet, depuis Adam jusqu'à Jésus, sont musulmans et non juifs ou chrétiens.
- Ils disent être les seuls à être agréés par Allah maître de l'Univers, les seuls promis au paradis: "Et quiconque désire une religion autre que l'islam, ne sera point agrée, et il sera, dans l'au‐delà, parmi les perdants" (coran 3:85).
- Allah les a conditionné à croire qu'ils sont les meilleurs sur terre et qu'ils sont supérieurs à tous les autres groupes ethniques, religieux, culturels et sociaux: "Vous êtes la meilleure communauté qu'on ait fait surgir pour les hommes vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah (coran 3:110).
- Enfin, ils pensent être les seuls à détenir la vérité car ils sont les dépositaires de la dernière révélation.
Forts de ces convictions et parce que l'islam vit de ses certitudes sans jamais se remettre en cause, les musulmans ont développé un sentiment qui leur fait croire très sérieusement qu'ils sont supérieurs à tous les autres humains. C'est ce qui explique que les musulmans du monde entier ont été littéralement indignés par l'attitude de cette jeune fille syrienne qui s'est agenouillée devant le pape: ils ont perçu ce geste comme signe de faiblesse, d'infériorité et de soumission, ce qui est inadmissible et inconcevable en islam et constitue une véritable humiliation pour toute la Oumma. Car c'est la remise en cause de la supériorité des musulmans sur les non-musulmans quels qu'ils soient et quel que soit leur rang.
En conclusion à ce chapitre, on peut affirmer que partout où l'islam se trouve, la violence, l'insécurité et les tensions civiles suivent. Il n'y a aucun endroit sur Terre où une population significative de musulmans est présente sans que cela ne soit accompagné d'une détérioration du climat social et d'une montée de la violence. Ce principe s'applique aussi bien aux pays à majorité musulmane qu'aux no-go-zones qu'on a laissé s'installer par laxisme et par extrême lâcheté en Occident. Ce phénomène s'explique par le coran lui-même. Cette violence est un des éléments-clés de l'islam, un élément qui est contenu dans l'obligation coranique de faire le djihad contre les mécréants. Pas moins de 164 versets du coran appellent au djihad, au combat. Deux autres versets (sourate 8 verset 39 et sourate 2 verset 193) exigent des musulmans qu'ils ne cessent le djihad qu'une fois toute humanité soumise.
On peut également affirmer sans risques que les attaques terroristes dans le monde ne sont pas le fait des chrétiens, des juifs, des bouddhistes, des animistes ou des athées, ni même des groupes dissidents musulmans comme les ahmadis ou les alaouites: la plupart des attaques terroristes dans le monde sont faites par des musulmans orthodoxes. On peut même ajouter: de musulmans qui connaissent bien leur dogme. Ce qui implique qu'il y a bien un problème avec l'islam, et que ce problème, il faudra qu'un jour on le mette sur le tapis. Et puisque l'islam prétend qu'il n'a pas de représentant officiel "fédéral" (pas même les dirigeants saoudiens, pourtant "gardiens du dogme") à qui on pourrait demander de prendre ses responsabilités, il ne reste qu'une solution: reconsidérer l'islam en tant que religion. Mais le monde n'est pas prêt à adopter cette position courageuse, qui contribuerait aussi à libérer des millions de musulmans du joug qui les asservit depuis bientôt 15 siècles.
Je n'ai pas traité spécifiquement le sujet dans ce blog, mais si vous êtes bien informé sur l'islam, vous avez dû entendre l'expression "djihad civilisationnel". On peu le résumer ainsi: "Processus par lequel les musulmans cherchent à dominer les pays d'accueil par l'immigration et l'exploitation des valeurs occidentales de tolérance, de liberté religieuse et de liberté d'expression". Ce qui correspond parfaitement à ce à quoi on assiste aujourd'hui. L'Occident a déjà sur son sol des dizaines de millions de musulmans, immigrés, enfants et petits-enfants d'immigrés et Occidentaux convertis, et pour la plupart d'entre eux, leur insertion ou leur intégration est du domaine de l'utopie.
Avec les centaines de milliers de nouveaux arrivants, le problème ne fera que s'accentuer. Les no-go-zones, qui fonctionnent déjà comme des minis émirats ingérables (la Police des pays concernés a fini par l'admettre), vont se multiplier et devenir encore plus ingérables, pour finir par s'imposer complètement et imposer leur culture. Surtout que les élites leurs cèdent des pans entiers d'institutions qui étaient avant du domaine de l'État. Ce n'est pas du délire de ma part, les très officiels tribunaux de la charia de Sa Gracieuse Majesté Élisabeth II sont là pour en attester. Ou celui non encore officiel installé dans le quartier Borgerhout d'Anvers, en Belgique. Créé en toute illégalité à l'initiative de l'organisation djihadiste Sharia4Belgium, ce "tribunal" applique la charia et juge en lieu et place du code civil belge ou de la réglementation européenne pour résoudre les conflits familiaux: mariage, divorce, garde des enfants, héritage... Qu'on se rassure: bien qu'officiellement illégale, cette association de malfaiteurs-djihadistes n'est pas du tout inquiétée par la justice belge, ses membres ne sont pas en prison, ni le "tribunal" fermé. Mieux: l’échevine anversoise de la diversité, Mme Monica De Coninck, ouvre la porte à l'importation de la charia dans son pays et à son application effective, car elle estime que "l’initiative n’est pas une mauvaise chose si elle se limite à de la médiation". Les tribunaux de la charia en remplacement du Droit communautaire européen, voilà un exemple fort de "djihad civilisationnel".
Pendant ce temps, en Allemagne, la police et le gouvernement du land Rhénanie-du-Nord-Westphalie avaient tenté de couvrir la vague de viols collectifs qu'a connu Cologne le jour du nouvel an. Selon un journal local "une note interne a été envoyée à la police par le ministère allemand de l'intérieur, ordonnant aux policiers de ne pas mentionner le mot «viol» dans leurs rapports".
Le Ministre fédéral allemand de la Justice Heiko Maas a, quant à lui, trouvé la solution: il propose d'interdire tous les panneaux d'affichage sexy, de manière à ne pas inciter les musulmans à commettre des viols. Pourquoi ne pas installer des BMC, des bordels militaires de campagne, dans les camps de réfugiés, avec des poules bien blondasses: il paraît que les musulmans en raffolent! Du temps des premiers califes de l'islam, les blondes se vendaient deux fois plus cher au marché aux esclaves.
Par leur complaisance envers l'islam, leur couardise, leur aveuglement et leur laxisme, les élites occidentales - politiques, militaires, policières, enseignantes, judiciaires, culturelles, médiatiques, ecclésiastiques, etc - se trouvent être la cause profonde du terrorisme musulman qui sévit en Occident. Elles ont bloqué toute réflexion sur l’islam et refusent obstinément de l'examiner sous ses différents angles (cultuel, politique, doctrinal, moral, social, sociétal, judiciaire, etc) et encore moins d'en faire l'objet d'une enquête intellectuelle sérieuse, impartiale et honnête. Elles ont encouragé l'expansion de l'islam dans leurs pays respectifs, au nom du multiculturalisme qui devait prétendument être une source d'enrichissement. Elles ont aseptisé le discours, instauré une dictature des mots et de la pensée, imposé la novlangue dont le principe est: quand les mots et les idées dérangent, il faut changer les mots et les idées. Elles ont inventé le concept du politiquement correct, une forme d'intimidation qui s'exerce insidieusement sur tous.
L'église montre l'exemple de la complaisance. Une complaisance excessive qui frise la complicité de crime et la non-assistance à peuples en danger: au lieu de protéger les chrétiens qui sont opprimés et assassinés partout dans le monde musulman [7], elle préfère envoyer les siens au sacrifice, comme du temps de Rome, quand les premiers chrétiens étaient jetés aux lions, acceptant ce massacre odieusement inutile parce que ce serait contraire à ses principes de pardon et de bonté universelle: "Aimez-vous les uns les autres et aimez vos ennemis", mais surtout pour ne pas mécontenter les musulmans dont on sait, depuis le Discours de Ratisbonne de Benoît XVI en 2006 et même avant, qu'ils sont extrêmement sensibles, une sensibilité à fleur de peau devenue légendaire. Une sensibilité qui a embrasé l'ensemble du monde musulman, depuis le Pakistan à l'Est jusqu'à la Mauritanie à l'Ouest. Juste parce que Benoît XVI avait prononcé une phrase célèbre et véridique d'un empereur byzantin qui a dit en son temps:
"Montre-moi ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu ne trouveras que des choses mauvaises et inhumaines, comme son ordre de diffuser au moyen de l'épée la foi qu'il professait".
L'église chrétienne est toujours à la recherche du dialogue inter-religieux. Mais, avec l'islam, dans le meilleur des cas, il s'agit beaucoup plus d'un monologue. Ou d'une pitoyable mascarade, comme en juin 2014, quand l'imam invité à la prière pour la paix dans les jardins du Vatican, avait récité le verset qui demande à Allah d'accorder aux musulmans "la victoire sur les peuples mécréants". Mais qui sont donc les peuples mécréants, sinon vous tous, chrétiens? Entres autres. Et surtout, est-ce que le message de paix de l'islam se résume à ces appels répétés aux crimes de masse?
"Ne faiblissez donc pas et n'appelez pas à la paix alors que vous êtes les plus hauts, qu'Allah est avec vous" tel est le message du coran, tel que délivré au verset 35 de la bien-nommée sourate Muhammad. Ne jamais chercher de paradoxes en islam, il y en a une telle quantité qu'on ne peut les recenser et la religion de paix qui n'appelle pas à la paix n'en est qu'un parmi les autres.
Il est vrai que, pour le coran, la seule paix universelle possible est celle qui surviendra après que l'ensemble de l'humanité aura été soumise ou convertie. Et que Jérusalem sera devenue la capitale du Califat mondial, ainsi que l'a inscrit l'Organisation de la Coopération Islamique dans sa Charte, comme une sorte de vœu qui viendrait couronner l'islam triomphant, après sa victoire finale sur le monde. Allah l'a prédit, pour le reste, ce n'est qu'une histoire de temps.
Le pape actuel ne déroge pas à la ligne suivie par ses prédécesseurs. Il fait le sourd face aux cris de désespoir des yazidis, qui subissent un véritable génocide. Lors de son déplacement sur l'île de Lesbos, il les a à peine vus, il a à peine entraperçu leurs appels de détresse.
Si nous continuons machinalement à traiter l'islam comme s'il s'agissait simplement d'une religion comme les autres, si nous continuons à ignorer les différences fondamentales entre la Charia et les principes qui régissent le monde dit libre et si nous persistons à considérer que ces systèmes sont compatibles alors qu'ils sont totalement antinomiques, l'islam djihadiste continuera à prospérer et à se propager et cette progression se fera aux dépends de nos libertés ou même de nos vies.
Avant-propos
Je met en ligne ce très - très long post un peu comme pour résumer mon sentiment actuel face à la montée de ce qu'on appelle "islamisme" ou "extrémisme" et qui n'est que le véritable islam, celui des origines. L'islam inaltéré et totalement pur des Salaf Salih, celui des "Pieux Prédécesseurs". L'islam de Mahomet, de ses Compagnons et des deux générations qui leur ont succédé.Par ailleurs, on peut me reprocher une vision pessimiste, voire totalement noire, de l'avenir. Mais à qui la faute, si ce n'est aux trois catégories de personnes qui sont le sujet de cet article?
1 Les musulmans
"Toute guerre, quand elle arrive, ou avant qu'elle n'arrive, est représentée non pas comme une guerre, mais comme un acte de légitime défense" (George Orwell).Le coran impose la guerre sainte à tous les musulmans. L'État islamique leur avait rappelé à tous l'impératif devoir de djihad (guerre sainte): "Chaque musulman qui est bien conscient de l'histoire de l'islam sait que la guerre sainte contre les infidèles est une partie intégrante [indéfectible] de l'islam". Il ne fait que reprendre les injonctions coraniques et ce qui est enseigné dans toutes les mosquées et madaris [écoles coraniques] du monde.
Les musulmans n'ont pas de système hiérarchique défini et n'ont pas de représentant légal unique. Malgré cela, chaque émir, chaque cheikh, chaque imam peut se prévaloir de ce titre dès l'instant où il considère qu'il en a les capacités et les connaissances suffisantes. Paradoxalement, même les grandes Universités tel qu'al Azhar, qui sont pourtant autant de représentants officiels de l'islam, disent qu'elles ne sont pas habilitées à faire le travail d'interprétation, tout juste sont-elles qualifiées pour émettre quelques fatwas (comme n'importe quel émir autoproclamé des banlieues occidentales). Ce qui n'est pas faux, puisque leur rôle consiste principalement à enseigner ce qui constitue la sunna, sans rien y ajouter ni retrancher, et non pas de légiférer.
Conséquence:
- Les musulmans nous disent après chaque massacre, après chaque attentat djihadiste, que ces horreurs n'ont rien à voir avec l'islam et personne ou presque ne vient leur apporter la contradiction, bien au contraire.
- Il n'y a personne à qui s'adresser pour clarifier une situation ou pour émettre un avis sur un problème quelconque lié de près ou de loin à l'islam.
- Encore moins donner un signal aux apprentis djihadistes, pour leur signifier qu'ils ne sont pas sur la bonne voie.
- Les musulmans n'adoptent pas une attitude franche vis-à-vis du djihadisme et ne ressentent pas le besoin de déclarer, solennellement ou non, que leurs intentions envers les non-musulmans sont pacifiques et qu'ils se démarquent du terrorisme.
- Cette attitude complaisante envers les tueurs ne leur est reprochée par quasiment personne, surtout pas par les élites.
Les terroristes ont la sympathie de la plupart des musulmans et peuvent compter sur une attitude bienveillante et complice de leur part. On le constate après chaque attentat, que ce soit par les messages à travers les réseaux sociaux, par des minutes de silences perturbées (ce fut le cas dans plusieurs établissements scolaires au lendemain des attentats de Paris de janvier et de novembre 2015) ou par les scènes de liesse spontanées. Même l'islamophile ministre belge de l'Intérieur Jan Jambon a dû en convenir:
"Une partie significative de la communauté musulmane a dansé à l'occasion des attentats".
Ces scènes ne sont pas des cas isolés mais se reproduisent systématiquement, après chaque attentat, ce qui reflètent bien un certain état d'esprit. Le dernier exemple est celui des Palestiniens qui ont spontanément fêté l'attentat du 19 avril à Jérusalem contre un bus. De nombreux officiels palestiniens se sont ouvertement félicité de cet attentat, d'autres palestiniens ont distribué des bonbons dans les rues, ce qui est leur manière d'exprimer une joie profonde. Et dire que la communauté internationale exige d'Israël qu'il fasse la paix avec ce genre d'individus! Ces faits sont bien évidemment minorés, voire occultés quand c'est possible, par les médias traditionnels.
En dehors des déclarations larmoyantes teintées de taquiya (le mensonge utile, la dissimulation), les musulmans refusent très majoritairement de condamner le terrorisme. Ils prennent même une attitude contraire, très révélatrice de la réalité de l'islam et de l'homogénéité de la Oumma, la Communauté des Croyants: loin de condamner les assassins d'innocents, ils leurs trouvent des justifications et certains vont même jusqu'à en faire des héros. Il est vrai qu'il ne peut pas en être autrement, puisque ce sont les textes islamiques qui exhortent à ces crimes horribles, en premier le coran et ses 164 versets dédiés au djihad guerrier et au "qital fi sabil Allah" [combat dans la voie d'Allah].
Il est établi que les terroristes bénéficient du soutien de la population musulmane, tant sur le plan idéologique que sur le plan matériel et le support logistique. Une population au sujet de laquelle on nous dit "Pas d'amalgame", alors qu'elle est très majoritairement pro-djihad, toutes les enquêtes nous l'ont démontré.
Dernièrement, "certains habitants" (tout le monde aura compris de qui il s'agit) du quartier de Molenbeek ont jeté des projectiles sur les policiers venus arrêter le terroriste Abdeslam [nom prédestiné, puisqu'il veut dire "Serviteur-de-l'Islam"], un des auteurs des attentats de novembre 2015 à Paris. Une grêle de bouteilles, de pierres et détritus, jetés depuis les fenêtres par les habitants "ordinaires", c'est-à-dire des musulmans modérés tout ce qu'il y a d'orthodoxe, indignés par l'arrestation de leur Héros [1]. Le code du silence qui avait prévalu sur sa cachette et la violence envers les policiers venus l'arrêter ne sont pas surprenants pour qui se donne la peine d'étudier et de comprendre le dogme musulman.
Le constat a été établi depuis longtemps: les zones de non-droit (no-go-zones) ne sont rien d'autres que des refuges pour djihadistes. De là sortiront le moment venu les futurs Khaled Kelkal, Merah, Mehdi Nemmouche, Coulibaly, el-Bakraoui, Kouachi, Abdeslam et autres Najim Laachraoui. Les djihadistes réussissent dans leur activité de mort et de terreur parce qu'ils sont protégés dans leurs cités-émirats des banlieues, véritables territoires autonomes. Ils y sont à l'abri, puisque les représentants de l'État n'osent plus y pénétrer et que la loi qui prédomine est plus la Charia que le Droit républicain. Ils se déplacent au sein d'une communauté notoirement favorable au djihad et hostile à l'Occident. Les musulmans dans ces communautés ne sont pas majoritairement des terroristes, mais ils prennent fait et cause pour les djihadistes. Ceux parmi eux qui seraient opposés au djihad ont trop peur des représailles si jamais ils osaient avertir les autorités sur les activités suspectes des futurs assassins. Le recrutement et l'élaboration des attaques terroristes peut ainsi se programmer en toute tranquillité. La chaîne Fox News avait dénombré 571 de ces minis-califats en France et personne ne pourrait dire combien de complots s'y préparent ou vont s'y planifier
Très logiquement, ces musulmans tout ce qu'il y a d'orthodoxes sont bien plus fidèles au djihadisme, à Allah et à son prophète, qu'au pays où ils sont nés ou qui leur a donné refuge, juste parce que c'est un pays de kouffar (mécréants). Ce qui est tout ce qu'il y a de plus normal pour eux: le djihad contre les mécréants est la première des obligations morales des musulmans, c'est la première des clés qui ouvrent le paradis d'Allah.
Pour revenir au djihadisme bruxellois, une info qui n'a pas été divulguée par les médias traditionnels (une de plus): le Conseil des Théologiens de Belgique a refusé de réciter une prière dédiée aux victimes "pas toutes musulmanes". Rien de plus logique: l'islam interdit formellement qu'on prie pour un non-musulman [2], l'interdiction vient d'Allah lui-même:
- "Il n'appartient pas au prophète et aux croyants d'implorer le pardon en faveur des associateurs, fussent-ils des parents alors qu'il leur est apparu clairement que ce sont les gens de l'Enfer" (coran, 9:113).
Le musulman qui passe outre ce commandement ira rejoindre les mécréants en enfer.
Beaucoup de gens connaissent des musulmans sympathiques et serviables. Ces personnes sont ainsi enclines à penser que l'islam ne peut pas tolérer le terrorisme, car les musulmans qu'ils connaissent sont tellement agréables, attentionnés et incapables de faire le moindre mal. Ces gens connaissent peut-être assez bien leurs voisins musulmans, mais ils ne connaissent pas grand chose de l'islam. Ils ne savent pas que c'est Mahomet lui-même qui a enseigné à ses compagnons que la doctrine centrale de l'islam est le djihad qui consiste à convertir, à asservir ou à tuer tous les mécréants, que parmi ces mécréants figurent aussi les autres gens du Livre: chrétiens et juifs.
Beaucoup de gens ne savent pas que leurs voisins musulmans eux-mêmes, s'ils se disent modérés, sont soit sincères, mais dans ce cas ils ignorent presque tout de leur dogme, soit des menteurs qui appliquent la taqiya. Beaucoup de gens ne savent pas que leurs voisins musulmans ne choisissent pas quelles parties ou quelle autre de l'islam il faut pratiquer, ou que l'islam peu se pratiquer en ignorant une partie des commandements coraniques. Ils ne savent pas que même si tous les musulmans du monde décidaient de ne plus pratiquer une certaine partie de l'islam, l'islam ne changerait pas pour autant, mais que ce serait eux qui deviendraient des mécréants.
- "Croyez-vous donc en une partie du Livre et rejetez-vous le reste? Ceux d'entre vous qui agissent de la sorte ne méritent que l'ignominie dans cette vie, et au jour de la Résurrection ils serons refoulés au plus dur châtiment, et Allah n'est pas inattentif à ce que vous faites" (coran 2:85).
Ils ne savent pas que Mahomet a imposé deux obligations impérieuses à chaque musulman, qui sont de suivre les paroles d'Allah (le coran) et les enseignements que lui-même a laissé (les hadith). Ils ne savent pas que le dogme islam ne peut pas changer, car le coran est pour tous les musulmans le livre complet, parfait, immuable et éternel, puisqu'il est "la dernière parole révélée". Cette affirmation vient de Mahomet lui-même et elle a été reprise à l'unanimité par les savants musulmans. Aucun musulman ne dira le contraire, pas même votre très gentil voisin [3].
Il y a unanimité parmi toutes les hautes personnalités musulmanes pour souligner le caractère intangible et irréformable du coran [4]. Juste deux exemples:
1) Yusuf al-Qaradawi, qu'il n'est pas besoin de présenter, a été on ne peut plus clair dans sa déclaration concernant la possibilité d'une réforme de l'islam: "La charia ne peut pas être modifiée pour se conformer à l'évolution des valeurs et des normes humaines. Au contraire, elle est la norme absolue à laquelle toutes les valeurs et comportements humains doivent se conformer".
2) Le président turc Recep Erdogan a, quant à lui, rejeté à plusieurs reprises les tentatives des dirigeants Occidentaux de présenter son pays comme un exemple de "l'islam modéré" en affirmant qu'un "tel concept est laid et offensant, il n'y a pas d' islam modéré car l'islam est l'islam".
On le constate donc aisément: pour le milliard et demi de musulmans orthodoxes, il n'y a qu'un seul et unique islam et il n'est pas réformable. Le cheikh Muhammad Abdullah Nasr, actuel dirigeant de la très prestigieuse Université al Azhar du Caire et expert de renom en Droit islamique, ne dit pas autre chose en déclarant en Novembre 2015 que son illustre institution, d'où sortent les plus grands ulémas (savants musulmans), refuse de dénoncer l'État islamique comme non-islamique:
"L'État islamique est un sous-produit des programmes d'al Azhar. Al Azhar ne peut pas se dénoncer comme non-islamique".
Il approuve donc implicitement toutes les horreurs commises par l'État islamique. En quoi il a parfaitement raison, puisque le seul acte anti-islamique qu'ont commis les sanguinaires adeptes d'Abou Bakr al-Baghdadi est d'avoir brûlé vif des otages, ce que Mahomet avait interdit, car "Personne ne peut punir par le feu si ce n’est Allah le Seigneur du feu" (hadith d'Abdullah ibn Massud).
Il n'y a que les naïfs Occidentaux pour croire à l'imposture qu'est le concept d'islam modéré. Ce point de vue est confirmé par un uléma, le cheikh Adel al-Kilbani, ancien imam de la Grande Mosquée de la Mecque. Le 22 janvier 2016, il a déclaré à l'antenne de MBC-TV de Dubaï:
"L'État islamique et l’Arabie saoudite suivent le même courant de pensée [...] Ils tirent leurs idées de ce qui est écrit dans nos propres livres, de nos principes-mêmes [...] L'État islamique et l’Arabie saoudite partagent la même opinion sur l’apostasie: ceux qui quittent l’islam doivent être exécutés".
Il a ajouté à propos de l'exécution des journalistes américains James Foley et Steven Sotloff que "leur sang a été versé de manière conforme à la charia". Ils ont été tués professionnellement, conformément au coran et à la loi islamique: c'est la sanction morale, normale et légitime prévue par l'islam et applicable aux mécréants. C'est la version sunnite des Droits de l'homme. Les musulmans se contrefichent des Droits de l'homme, ils ont les Droits de l'islam: la très orthodoxe Charte de l'Organisation de la Coopération Islamique.
Petit rappel à propos de l'Arabie saoudite, "gardienne du dogme" pour le milliard et demi de musulmans orthodoxes et qui est le pays qui a procédé à plus de décapitations que l'État islamique: elle a discrètement pris les commandes d'une instance stratégique du Conseil des Droits de l'homme de l'ONU.
On le voit donc très clairement: pas de possibilité de réforme. Pourtant, jusqu'au début du 11ème siècle, des ulémas avaient essayé de réformer l'islam et d'offrir une interprétation un peu plus moderne pour l'époque, ce qui a donné naissance à plusieurs courants, comme le mutazilisme. Ce mouvement réformateur fut dénommé l'ijtihad, c'était "l'effort personnel de réflexion", effort entrepris par les ulémas pour donner une autre interprétation du coran. Mais en 1019, al-Qadir, calife abbasside de Bagdad, a fait lire solennellement dans toutes les mosquées du monde sunnite un décret appelé "Risala al-qadiriya (l’Épître d'al-Qadir) qui condamne entre autres la doctrine du "coran créé" et interdit toute exégèse qui dévierait de l'orthodoxie. Selon l'expression utilisée par les musulmans, cet acte "ferme les portes de l'ijtihad" et depuis cette date, le taqlid (l'imitation) s'est imposé aux musulmans orthodoxes, au détriment de l'innovation et de l'esprit critique. La taqlid a mis fin à la pensée philosophique que les réformateurs avaient essayé d'introduire dans le dogme.
Naturellement, dans le climat de taqiya ambiante, les ulémas d'aujourd'hui disent qu'il est absolument faux de penser que les portes de l'ijtihad sont fermées. Mais, quand on creuse un peu, on découvre qu'il s'agit encore une fois d'un grossier mensonge par omission, puisqu'en disant cela, ils ne parlent pas des portes de l'ijtihad majeur, appelé ijtihad al-mutlaq al-mustaqill ("effort absolu et indépendant") et qui sont, elles, bien verrouillées. Mais des trois autres formes d'ijtihad (qui sont: 1° ijtihad al-mutlaq al-muntassab, 2° ijtihad fi al-madh'hab, 3° istinbat fi ba'dh al-massaïl faqat), pour lesquels il y a accord pour dire que leurs portes ne sont pas fermées à l'interprétation. Ces trois portes, si elles sont ouvertes, ont néanmoins été équipées d'un très bon système de filtration: accessibles aux seules personnes, ulémas ou cheikhs, "qui en possèdent les compétences". Autrement dit, qui possèdent et maîtrisent parfaitement les connaissances académiques orthodoxes. Ce qui est logique, mais qui est un motif pour les savants de l'islam pour ne pas prendre de risques en cherchant à s'engouffrer dans une exégèse aventureuse qui pourrait ne leur amener que des ennuis, tout ulémas qu'ils sont. Prudence est mère de sûreté.
Ouf! La démarche philosophique des mutazilites, qui eux-mêmes se sont inspirés des Grecs en adoptant leur approche rationnelle et leur logique, est bien morte. Allah et son prophète ont eu chaud, mais l'islam orthodoxe reste l'islam orthodoxe.
S'il reste encore des doutes après ce que j'ai exposé sur l'impossibilité de réformer l'islam, le coran les dissipe sans conteste:
- "Et la parole de ton seigneur s'est accomplie en toute vérité et équité. Nul ne peut modifier ses paroles" (coran 6:115).
Comme il faut répéter les choses pour bien les ancrer dans les subconscients, bien d'autres versets viennent appuyer cette immuabilité coranique, en voici un petit échantillon:
- " [...] Aujourd'hui, J'ai parachevé pour vous votre religion, et accompli sur vous mon bienfait. Et J'agrée l'islam comme religion pour vous. [...]" (coran 5:3).
- "Et nul ne peut changer les paroles d'Allah, et il t'est déjà parvenu une partie de l'histoire des Envoyés" (coran 6:34).
- "Il n'y aura pas de changement aux paroles d'Allah. Voilà l'énorme succès!" (coran 10:64).
- "Et récite ce qui t'a été révélé du Livre de ton seigneur. Nul ne peut changer ses paroles. Et tu ne trouveras, en dehors de lui, aucun refuge" (coran 18:27).
- "Chez moi, la parole ne change pas; et je n'opprime nullement les serviteurs" (coran 50:29).
Ailleurs, Allah impose son totalitarisme arbitraire:
- "Il n'appartient pas à un croyant ou à une croyante, une fois qu'Allah et son messager ont décidé d'une chose, d'avoir encore le choix dans leur façon d'agir" (coran 33:36).
Nul besoin de préciser que la peine encourue par celui qui nie le coran ou en change la moindre parole du moindre verset est la mort:
"Il a été rapporté d'ibn Abbas que le messager d'Allah a dit: Celui qui nie un verset du coran, il est permis de le frapper au cou" [euphémisme utilisé dans le coran et dans la littérature islamique pour désigner la décapitation] (Sunan ibn Majah).
Voila ce que les non-musulmans devraient savoir sur l'islam et sur les musulmans, et aussi de leurs gentils voisins. L'étude et la compréhension de l'islam pourraient être leur planche de salut.
Autre problème: beaucoup de gens pensent que le djihad est seulement un "effort sur soi" ou un "combat intérieur afin de s'améliorer". Parce qu'on s'est évertué durant des décennies à le leur faire croire, pour mieux les endormir. Alors que le djihad est avant tout la lutte obligatoire que doivent entreprendre les musulmans, tous les musulmans, pour établir la charia, la loi islamique (lire mon dernier post Le djihad pour dominer le monde). C'est une lutte civilisationnelle entre l'islam et le reste de l'humanité, pour que s'accomplisse les versets 8:39 et 2:193 du coran:
- "Et combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'association et que la religion soit entièrement à Allah seul".
Ceux qui connaissent l'islam le savent: il n'y a rien de plus faux que l'affirmation selon laquelle les djihadistes représenteraient une toute petite minorité d'extrémistes qui "souillent la réputation d'une foi musulmane basée sur le pacifisme, l'amour et la tolérance". En réalité, les actes de djihad ont leur racines dans l'islam orthodoxe: dans le coran, mais aussi dans toute la littérature qui s'y rattache, que ce soit les "Sirat an-Nabawiya" (les biographies du prophète) que les "hadith" (livres où sont consignés tous ses faits et gestes et qui servent d'exemple aux croyants) ou les "tafsir" (exégèses). Les djihadistes et leurs actes sanglants ne sont que la conséquence inévitable d'une foi qui est consacrée à la haine à grande échelle et dont les adeptes ont des opinions que les Occidentaux, à juste titre, trouvent tout simplement révoltantes.
Tous les musulmans ne sont pas d'ignobles terroristes, bien sûr, mais tous sont obligés d'obéir aux règles édictées par le coran, pour ne pas finir dans le feu de l'enfer. Obligés d'obéir, ou faire semblant d'obéir. Pas d'autre alternative car autrement, ils sont considérés comme apostats, donc punissables de mort.
Rien de plus faux donc que la formule mille fois rabâchée d'islam "amour-paix-tolérance". Sinon, comment expliquer que le prénom Oussama soit devenu un des prénoms les plus fréquents du monde arabo-musulman après que ben Laden se soit rendu célèbre par ses actions immondes? L'Occident a banni le prénom Adolf mais dans le même temps, les prénoms les plus communs chez les musulmans sont Mohammed et ses autres graphies et Oussama. Tout un symbole.
Rien de plus faux que la formule "amour-paix-tolérance". Anne-Marie Delcambre, en grande experte qu'elle est, a bien raison de déclarer qu'il n'y a qu'un seul islam:
"Au risque de choquer, il faut avoir le courage de dire que l'intégrisme n'est pas la maladie de l'islam. Il est l'intégralité de l'islam. Il en est la lecture littérale, globale et totale de ses textes fondateurs. L'islam des intégristes, des islamistes, c'est tout simplement l'islam juridique qui colle à la norme".
Ce qui est justifié par le comportement des musulmans eux-mêmes: tous les pays à majorité musulmane sont régis par des dictatures claniques, militaires ou religieuse. Des pays dont les Constitutions sont plus ou moins calquées sur la Charia, où l'opposition politique n'existe pas, des pays sans droits individuels, sans liberté, où les minorités et les femmes sont discriminées, où la justice est partiale et inique. La vérité est que les musulmans qui sont pacifiques ne sont pas pacifiques grâce à l'islam, mais en dépit de l'islam.
Les réactions des musulmans aux sondages nous renseignent de manière éloquente sur les intentions véritables de l'islam, en voici juste un petit échantillon:
- 83% des musulmans palestiniens approuvent les attaques djihadistes contre les Occidentaux et 66% d'entre eux soutiennent les agressions contre les civils israéliens.
- Pour le Pew Research Center, 99% des Afghans, 98% des Palestiniens et 91% des Irakiens soutiennent la charia comme seule loi de leur pays. Parmi les pays qu'on dit volontiers modérés, ils sont 86% au Niger, 83% au Maroc et 82% à Djibouti à penser la même chose.
- 78 % des musulmans britanniques disent qu'il faut punir les éditeurs de caricatures de Mahomet et 68 % d'entre eux disent qu'il faut poursuivre quiconque insulte l'islam. Et savez-vous ce qu'est insulter l'islam? C'est par exemple de dire que Mahomet est un pédophile.
- 80 % des jeunes musulmans néerlandais trouvent normale la guerre sainte contre les mécréants et soutiennent l'État islamique.
- 81 % des musulmans qui ont répondu à un sondage al-Jazeera en 2015 soutiennent l'État islamique. - Toujours selon le Pew Research Center, ils sont 100% au Liban, 97% en Israël, 94% en Jordanie, etc, à avoir une opinion favorable de l'État islamique.
Les enseignants qui travaillent dans les quartiers à forte proportion musulmane de Molenbeek et de Schaerbeek à Bruxelles ont rapporté que "90% de leurs étudiants musulmans âgés entre 17 et 18 ans ont qualifié de héros les djihadistes des attentats de Paris et de Bruxelles".
Voila de quoi faire voler en éclat le joli mythe du musulman modéré. L'islam modéré est comme l'Arlésienne de Daudet: personne ne l'a jamais vu! Surtout pas les minorités ethniques et religieuses des 57 pays membres de la très musulmane et très orthodoxe OCI, l'Organisation de la Coopération Islamique.
Si la modération islamique est un oxymore et un leurre agité pour duper les pigeons, la haine est par contre le sentiment le plus présent dans ce dogme, que ce soit dans le coran ou dans le reste de la littérature islamique. Pour comprendre comment s'articule l'édifice musulman de la haine, il faut l'imaginer comme l'a décrit le magazine américain de droite National Review: comme une pyramide. Une bigoterie exacerbée à sa base, suivie de marches qui conduisent graduellement au sommet, "jusqu'au radicalisme le plus extrême", c'est-à-dire jusqu'au djihad. Djihad dont une des formes consiste à se faire sauter la panse au milieu d'une foule de mécréants la plus compacte possible. Car si Allah a interdit le suicide, se tuer en emportant avec soi des mécréants est un acte de noble djihad, même s'il ne trouve pas de fondement dans le coran. Tant mieux pour l'islam si parmi les victimes se trouvent des femmes et des enfants, d'autant que l'impact auprès des populations n'en sera que plus fort: Allah n'a-t-il pas dit dans plusieurs versets qu'il faut instaurer la terreur dans le cœur des mécréants [5]?
Pour le coran, la base de la pyramide, c'est la haine. C'est le sentiment le plus largement répandu dans le monde islamique, un sentiment qui culmine avec l'antisémitisme et l'anti-christianisme. Le responsable de cette haine est encore une fois ce qui constitue le socle de ce dogme: le "Saint coran", livre achevé à qui il ne manque rien, livre intouchable et irréformable. Plusieurs de ses versets qualifient les juifs de singes et les chrétiens de porcs. Pas étonnant si ce sentiment de haine atteint des chiffres effarants chez les musulmans. En 2014, l'organisme américain Anti Defamation League a publié les résultats d'un sondage portant sur 53.100 personnes dans 102 pays différents. Les plus forts taux d'antisémitisme ont bien sûr été atteint dans les pays musulmans, et ceux qu'on a l'habitude de taxer de modérés arrivent parmi les mieux classés: Tunisie 86%, Maroc 80% et Turquie 79%. Pas étonnant que dans ces deux derniers pays, Mein Kampf soit devenu un best-seller, juste derrière le coran. Tandis que l'Europe de l'Ouest atteint 24%, un score honteux dû principalement à "qui vous savez", même si, bien sûr, on n'a pas de chiffres officiels, rectitude politique oblige.
Cette haine est aussi entretenue et exacerbée par le sentiment victimaire qu'ont développé les musulmans lorsqu'ils se sont retrouvés sous la domination des mécréants chrétiens et de leurs empires coloniaux. Dans la seconde moitié du XXème siècle, la rancœur envers les mécréants dominateurs s'est ajoutée à cette haine et a fait resurgir le concept de djihad mondial qui avait été plus ou moins mis de côté durant la période qui a succédé à la décadence des empires musulmans et à la période coloniale qui s'en ait ensuivi. Le cheikh Abdallah Youssouf Moustafa Azzam, éminent uléma diplômé lui aussi de la prestigieuse Université d'al-Azhar, joua un rôle de premier plan dans la montée et le renouveau du djihadisme mondial. Surnommé "l'imam du djihad", il a bien résumé le sentiment musulman dans son livre "Défense des Terres Musulmanes" [6]:
"Les musulmans ont été humiliés aux mains des régimes impurs et des puissances coloniales [...]. L'islam subira la défaite ultime si les musulmans ne prennent pas le djihad comme une obligation personnelle. La seule façon pour l'islam d'être sauvé est d'instaurer le califat mondial pour la gloire d'Allah".
Il fait référence chez beaucoup de musulmans pour avoir écrit également ce qui suit:
"Si les musulmans appliquaient les commandements d'Allah et établissaient les lois de la Charia concernant la Marche Générale [la mobilisation générale de l'ensemble de la Oumma] juste pour une semaine en Palestine, la Palestine serait complètement purifiée des juifs".
Mahomet inspire ses adeptes et les pousse à la haine des autres même dans leurs rêves! Ainsi, la terroriste Shatila Abu Iyadh a déclaré après sa tentative d'assassinat au couteau sur une Israélienne: "Mahomet m'est apparu en rêve et m'a incité à tuer des juifs".
Mahomet les pousse également à un racisme primaire qui, je pense, ne doit exister dans aucune autre religion, ou du moins pas dans le paroxysme qu'il atteint avec l'islam. La cause de ce racisme peut être résumée ainsi:
- Les musulmans pensent que l'islam est la seule religion révélée, que la thora et la bible sont les versions antérieures du coran et que tous les devanciers de Mahomet, depuis Adam jusqu'à Jésus, sont musulmans et non juifs ou chrétiens.
- Ils disent être les seuls à être agréés par Allah maître de l'Univers, les seuls promis au paradis: "Et quiconque désire une religion autre que l'islam, ne sera point agrée, et il sera, dans l'au‐delà, parmi les perdants" (coran 3:85).
- Allah les a conditionné à croire qu'ils sont les meilleurs sur terre et qu'ils sont supérieurs à tous les autres groupes ethniques, religieux, culturels et sociaux: "Vous êtes la meilleure communauté qu'on ait fait surgir pour les hommes vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah (coran 3:110).
- Enfin, ils pensent être les seuls à détenir la vérité car ils sont les dépositaires de la dernière révélation.
Forts de ces convictions et parce que l'islam vit de ses certitudes sans jamais se remettre en cause, les musulmans ont développé un sentiment qui leur fait croire très sérieusement qu'ils sont supérieurs à tous les autres humains. C'est ce qui explique que les musulmans du monde entier ont été littéralement indignés par l'attitude de cette jeune fille syrienne qui s'est agenouillée devant le pape: ils ont perçu ce geste comme signe de faiblesse, d'infériorité et de soumission, ce qui est inadmissible et inconcevable en islam et constitue une véritable humiliation pour toute la Oumma. Car c'est la remise en cause de la supériorité des musulmans sur les non-musulmans quels qu'ils soient et quel que soit leur rang.
En conclusion à ce chapitre, on peut affirmer que partout où l'islam se trouve, la violence, l'insécurité et les tensions civiles suivent. Il n'y a aucun endroit sur Terre où une population significative de musulmans est présente sans que cela ne soit accompagné d'une détérioration du climat social et d'une montée de la violence. Ce principe s'applique aussi bien aux pays à majorité musulmane qu'aux no-go-zones qu'on a laissé s'installer par laxisme et par extrême lâcheté en Occident. Ce phénomène s'explique par le coran lui-même. Cette violence est un des éléments-clés de l'islam, un élément qui est contenu dans l'obligation coranique de faire le djihad contre les mécréants. Pas moins de 164 versets du coran appellent au djihad, au combat. Deux autres versets (sourate 8 verset 39 et sourate 2 verset 193) exigent des musulmans qu'ils ne cessent le djihad qu'une fois toute humanité soumise.
On peut également affirmer sans risques que les attaques terroristes dans le monde ne sont pas le fait des chrétiens, des juifs, des bouddhistes, des animistes ou des athées, ni même des groupes dissidents musulmans comme les ahmadis ou les alaouites: la plupart des attaques terroristes dans le monde sont faites par des musulmans orthodoxes. On peut même ajouter: de musulmans qui connaissent bien leur dogme. Ce qui implique qu'il y a bien un problème avec l'islam, et que ce problème, il faudra qu'un jour on le mette sur le tapis. Et puisque l'islam prétend qu'il n'a pas de représentant officiel "fédéral" (pas même les dirigeants saoudiens, pourtant "gardiens du dogme") à qui on pourrait demander de prendre ses responsabilités, il ne reste qu'une solution: reconsidérer l'islam en tant que religion. Mais le monde n'est pas prêt à adopter cette position courageuse, qui contribuerait aussi à libérer des millions de musulmans du joug qui les asservit depuis bientôt 15 siècles.
2 Les élites occidentales (ou: comment l'Occident importe sa propre destruction)
"Le langage politique est conçu pour rendre le mensonge crédible, le meurtre respectable et donner l'apparence de la solidité à ce qui n'est que pure vent" (George Orwell).Je n'ai pas traité spécifiquement le sujet dans ce blog, mais si vous êtes bien informé sur l'islam, vous avez dû entendre l'expression "djihad civilisationnel". On peu le résumer ainsi: "Processus par lequel les musulmans cherchent à dominer les pays d'accueil par l'immigration et l'exploitation des valeurs occidentales de tolérance, de liberté religieuse et de liberté d'expression". Ce qui correspond parfaitement à ce à quoi on assiste aujourd'hui. L'Occident a déjà sur son sol des dizaines de millions de musulmans, immigrés, enfants et petits-enfants d'immigrés et Occidentaux convertis, et pour la plupart d'entre eux, leur insertion ou leur intégration est du domaine de l'utopie.
Avec les centaines de milliers de nouveaux arrivants, le problème ne fera que s'accentuer. Les no-go-zones, qui fonctionnent déjà comme des minis émirats ingérables (la Police des pays concernés a fini par l'admettre), vont se multiplier et devenir encore plus ingérables, pour finir par s'imposer complètement et imposer leur culture. Surtout que les élites leurs cèdent des pans entiers d'institutions qui étaient avant du domaine de l'État. Ce n'est pas du délire de ma part, les très officiels tribunaux de la charia de Sa Gracieuse Majesté Élisabeth II sont là pour en attester. Ou celui non encore officiel installé dans le quartier Borgerhout d'Anvers, en Belgique. Créé en toute illégalité à l'initiative de l'organisation djihadiste Sharia4Belgium, ce "tribunal" applique la charia et juge en lieu et place du code civil belge ou de la réglementation européenne pour résoudre les conflits familiaux: mariage, divorce, garde des enfants, héritage... Qu'on se rassure: bien qu'officiellement illégale, cette association de malfaiteurs-djihadistes n'est pas du tout inquiétée par la justice belge, ses membres ne sont pas en prison, ni le "tribunal" fermé. Mieux: l’échevine anversoise de la diversité, Mme Monica De Coninck, ouvre la porte à l'importation de la charia dans son pays et à son application effective, car elle estime que "l’initiative n’est pas une mauvaise chose si elle se limite à de la médiation". Les tribunaux de la charia en remplacement du Droit communautaire européen, voilà un exemple fort de "djihad civilisationnel".
Pendant ce temps, en Allemagne, la police et le gouvernement du land Rhénanie-du-Nord-Westphalie avaient tenté de couvrir la vague de viols collectifs qu'a connu Cologne le jour du nouvel an. Selon un journal local "une note interne a été envoyée à la police par le ministère allemand de l'intérieur, ordonnant aux policiers de ne pas mentionner le mot «viol» dans leurs rapports".
Le Ministre fédéral allemand de la Justice Heiko Maas a, quant à lui, trouvé la solution: il propose d'interdire tous les panneaux d'affichage sexy, de manière à ne pas inciter les musulmans à commettre des viols. Pourquoi ne pas installer des BMC, des bordels militaires de campagne, dans les camps de réfugiés, avec des poules bien blondasses: il paraît que les musulmans en raffolent! Du temps des premiers califes de l'islam, les blondes se vendaient deux fois plus cher au marché aux esclaves.
Par leur complaisance envers l'islam, leur couardise, leur aveuglement et leur laxisme, les élites occidentales - politiques, militaires, policières, enseignantes, judiciaires, culturelles, médiatiques, ecclésiastiques, etc - se trouvent être la cause profonde du terrorisme musulman qui sévit en Occident. Elles ont bloqué toute réflexion sur l’islam et refusent obstinément de l'examiner sous ses différents angles (cultuel, politique, doctrinal, moral, social, sociétal, judiciaire, etc) et encore moins d'en faire l'objet d'une enquête intellectuelle sérieuse, impartiale et honnête. Elles ont encouragé l'expansion de l'islam dans leurs pays respectifs, au nom du multiculturalisme qui devait prétendument être une source d'enrichissement. Elles ont aseptisé le discours, instauré une dictature des mots et de la pensée, imposé la novlangue dont le principe est: quand les mots et les idées dérangent, il faut changer les mots et les idées. Elles ont inventé le concept du politiquement correct, une forme d'intimidation qui s'exerce insidieusement sur tous.
L'église montre l'exemple de la complaisance. Une complaisance excessive qui frise la complicité de crime et la non-assistance à peuples en danger: au lieu de protéger les chrétiens qui sont opprimés et assassinés partout dans le monde musulman [7], elle préfère envoyer les siens au sacrifice, comme du temps de Rome, quand les premiers chrétiens étaient jetés aux lions, acceptant ce massacre odieusement inutile parce que ce serait contraire à ses principes de pardon et de bonté universelle: "Aimez-vous les uns les autres et aimez vos ennemis", mais surtout pour ne pas mécontenter les musulmans dont on sait, depuis le Discours de Ratisbonne de Benoît XVI en 2006 et même avant, qu'ils sont extrêmement sensibles, une sensibilité à fleur de peau devenue légendaire. Une sensibilité qui a embrasé l'ensemble du monde musulman, depuis le Pakistan à l'Est jusqu'à la Mauritanie à l'Ouest. Juste parce que Benoît XVI avait prononcé une phrase célèbre et véridique d'un empereur byzantin qui a dit en son temps:
"Montre-moi ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu ne trouveras que des choses mauvaises et inhumaines, comme son ordre de diffuser au moyen de l'épée la foi qu'il professait".
L'église chrétienne est toujours à la recherche du dialogue inter-religieux. Mais, avec l'islam, dans le meilleur des cas, il s'agit beaucoup plus d'un monologue. Ou d'une pitoyable mascarade, comme en juin 2014, quand l'imam invité à la prière pour la paix dans les jardins du Vatican, avait récité le verset qui demande à Allah d'accorder aux musulmans "la victoire sur les peuples mécréants". Mais qui sont donc les peuples mécréants, sinon vous tous, chrétiens? Entres autres. Et surtout, est-ce que le message de paix de l'islam se résume à ces appels répétés aux crimes de masse?
"Ne faiblissez donc pas et n'appelez pas à la paix alors que vous êtes les plus hauts, qu'Allah est avec vous" tel est le message du coran, tel que délivré au verset 35 de la bien-nommée sourate Muhammad. Ne jamais chercher de paradoxes en islam, il y en a une telle quantité qu'on ne peut les recenser et la religion de paix qui n'appelle pas à la paix n'en est qu'un parmi les autres.
Il est vrai que, pour le coran, la seule paix universelle possible est celle qui surviendra après que l'ensemble de l'humanité aura été soumise ou convertie. Et que Jérusalem sera devenue la capitale du Califat mondial, ainsi que l'a inscrit l'Organisation de la Coopération Islamique dans sa Charte, comme une sorte de vœu qui viendrait couronner l'islam triomphant, après sa victoire finale sur le monde. Allah l'a prédit, pour le reste, ce n'est qu'une histoire de temps.
Le pape actuel ne déroge pas à la ligne suivie par ses prédécesseurs. Il fait le sourd face aux cris de désespoir des yazidis, qui subissent un véritable génocide. Lors de son déplacement sur l'île de Lesbos, il les a à peine vus, il a à peine entraperçu leurs appels de détresse.
Il a été incapable de persuader les diocèses catholiques européens à prendre des familles de réfugiés chrétiens. Ses prises de position résolument pro-musulmanes ainsi que son attitude collaborationniste sont criminelles, elle signifient à terme le suicide de l'Occident. Ne comptez surtout pas sur son courage: la ligne de conduite qu'il s'est fixé est, comme ses prédécesseurs: profil bas face à l'islam.
Chrétiens, apprenez le politiquement correct et continuez à tendre l'autre joue.
Le politiquement correct va finir par tuer la liberté de parole. Celui qui ose transgresser la règle et adopte le franc-parler est mis au ban de la société. C'est le cas du journaliste Éric Zemmour et de l'ancienne ministre Jeannette Bougrab, fille de harki et qui connait bien l'islam. Ils sont aujourd'hui infréquentables. Tout juste si on ne les traite pas de mauvais Français. Un autre journaliste, Philippe Tesson, a vu tous les bien-pensants lui tomber dessus juste pour avoir dit une lapalissade:
"D'où vient le problème dans les atteintes à la laïcité? C’est pas les musulmans qui amènent la merde en France, aujourd'hui?"
Parce qu'en Occident, il est admis de faire l'apologie du djihad et d'enseigner dans les mosquées qu'on peut tuer les juifs, ou que les humains ne sont pas égaux. Ce qui est intolérable, c'est, comme l'a fait Caroline Fourest, d'évoquer "ces familles qui, au nom de leurs convictions religieuses, retirent leurs enfants des cours d’Histoire quand on enseigne la Shoah", ou tout simplement de dire, comme Alain Finkielkraut, que "l'antisémitisme musulman est majoritaire".
Les élites ont imposé leur éthique dualiste qui accorde toutes les valeurs morales à un camp et qui déprécie systématiquement l'autre camp. Dans leur cas, le Bon est forcément toujours le musulman et le Mauvais est inévitablement l'anti-musulman, toujours qualifié de fasciste, de néo-nazi et de raciste. Alors qu'en matière de dualité, l'islam est champion incontesté, puisqu'il a coupé le monde en deux.
- Dualité entre l'homme et la femme, sujet qu'il n'est plus besoin de détailler.
- Dualité entre le maître et son esclave [8]: "Allah propose en parabole un esclave appartenant [à son maître], dépourvu de tout pouvoir, et un homme à qui Nous avons accordé de Notre part une bonne attribution dont il dépense en secret et en public. [Ces deux hommes] sont-ils égaux? Louange à Allah! Mais la plupart d'entre eux ne savent pas" (coran, 16:75).
- Dualité entre les musulmans et les non-musulmans: "Dis : «Sont-ils égaux, ceux qui savent et ceux qui ne savent pas?» Seuls les doués d'intelligence se rappellent" (coran, 39:9).
- Dualité entre les musulmans et "les autres gens du Livre": "Vous êtes la meilleure communauté qu'on ait fait surgir pour les hommes vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d'entre eux sont des pervers" (coran, 3:110).
- Dualité entre ceux qui font le djihad et ceux qui restent tranquillement à la maison: "Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux - sauf ceux qui ont quelques infirmité - et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d'Allah [...]." (coran, 4:95) [9].
Les élites ont verrouillé toute critique touchant à l'islam. Comme rien ne fonctionne mieux que la démagogie qui consiste à traiter son adversaire de raciste, elles ont inventé de faux arguments pour museler les peuples, comparant les "anti-islam" à de répugnants xénophobes, tout en drapant l'islam de vertus qu'il n'a pas et que même les plus modérés des musulmans ne lui reconnaissent pas, sauf s'ils sont adeptes de la taqiya. Plus sournois: les mêmes élites viennent nous parler du coran comme s'il l'avaient étudié dans le détail, nous assénant la formule "Une certaine lecture du coran". Parce que, pour eux, il y a deux manières d'interpréter le coran: celle du gentil modéré et celle du méchant terroriste. Comme s'il pouvait y avoir plusieurs lectures d'un livre dont le moindre signe diacritique a été disséqué dans les plus petits détails par les plus grands ulémas, à travers les 14 siècles d'existence de l'islam. Belle manière de nous prendre pour des imbéciles totalement ignares qui ne comprennent pas ce qu'ils lisent.
Régulièrement, c'est-à-dire après chaque bain de sang, les élites viennent nous sortir leur sempiternelle litanie: "L'État islamique [ou, selon les circonstances: Boko-Haram, al-Qaïda, Ansar al-Charia, al-Shabbab, etc], ne représente pas l'islam". Des élites qui ont paralysé le débat par un discours angélique dans lequel les musulmans passent pour des victimes du système, victimes en Occident de l'exclusion sociale et économique, victimes aussi des méchants extrémistes qui n'ont rien compris à la belle religion. Quand elles le peuvent, les élites vont jusqu'à couvrir les actes délictueux, illégaux ou même criminels des musulmans, pour qui ces actes ne sont que l'application des paroles de leur dieu Allah (le coran) ou l'imitation des activités de leur prophète (les hadith). Elles ont justifié toutes les dérives et les demandes exagérées des musulmans en diffusant l'idée que ces derniers ont été opprimés et ont subi de la part des "blancs" le colonialisme [10] puis la marginalisation, la stigmatisation, l'exclusion et la discrimination. Exercice d'autoflagellation que pratiquent même les élites des pays qui n'ont pas de passé colonialiste, comme la Suède et la Norvège. Mais aussi, aveuglement et lâcheté qui consistent ainsi à ramener le djihadisme à un simple problème d'intégration: si les terroristes tuent et égorgent, c'est de la faute de l'Occident, c'est parce que l'Occident n'a pas su intégrer ses musulmans, c'est à cause de la misère sociale, etc.
Raisonnement trop simpliste: on ne peut pas obliger les gens à s'intégrer malgré eux. Tout comme on ne peut pas instaurer la démocratie aux gens malgré eux. Ce que les Américains ont naïvement pensé pouvoir faire en Afghanistan et en Irak. On a vu le résultat final, tout comme on a vu ce qu'a donné les grandiloquents printemps arabes qui promettaient tant, tant en Syrie qu'en Égypte, en Libye et en Tunisie.
Beaucoup trop de complaisance vis-à-vis de l'islam et beaucoup trop de concessions qui lui sont faites, toujours sans aucune contrepartie, malgré les "accommodements raisonnables" chers aux dirigeants canadiens, accommodements qui ne profitent qu'à la communauté islamique. Pour revenir à l'arrestation d'Abdeslam, comment expliquer que les personnes qui l'ont caché et protégé n'ont pas été inculpées? Pourquoi les officiers qui l'ont interrogé ne lui ont posé aucune question sur les réseaux avec lesquels il a travaillé? Il est un peu trop facile de venir dire après coup, comme l'a fait le ministre belge de l'Intérieur, que derrière le terrorisme se trouve "un cancer beaucoup plus difficile à traiter", en accusant implicitement l'islam sans le citer et d'ajouter que, comme je l'ai mentionné plus haut, "beaucoup de musulmans ont dansé après les attentats". Est-ce cette belle déclaration apparemment lucide va enfin changer quelque chose en Belgique? Il aurait fallu poser la question au ministre, mais on peut douter de sa volonté à s'attaquer aux vrais problèmes que pose l'islam dans son pays.
Jusqu'à maintenant, complaisance et concessions n'ont abouti à rien, sinon à multiplier les attaques djihadistes. Les élites en sont réduites à venir pleurnicher devant les micros et caméras après chaque attentat, déclarer péremptoirement que "Cela n'a rien à voir avec l'islam", sempiternel son de cloche qui revient après chaque bain de sang. Pour finalement se cacher derrière d'autres arguments foireux et irrecevables comme "Le terrorisme n'a ni couleur, ni religion, ni patrie". L'islam a, quant à lui, sa couleur officielle: le vert de la conquête, mais de tous temps, les djihadistes lui en ont ajouté une: le rouge-sang.
Exemple extrême de renoncement: en Grande-Bretagne, quand la police perquisitionne une maison musulmane, on mettait des chaussons aux chiens renifleurs pour ne pas offenser certains, parce que leur prophète a dit en son temps que ces animaux sont impurs. Ce qui n'a pas été considéré comme une mesure suffisante pour calmer la susceptibilité de ces amis des bêtes. En effet, devant ce problème d'une exceptionnelle gravité, on a vite dépêché un rapporteur qui a conclu que la police devra désormais utiliser des appareils à rayons X au lieu de ces animaux abjects et dégoûtants.
Autres exemples:
- en Suisse, des élèves musulmans ont obtenu l'autorisation de ne pas serrer les mains des femmes car c'est contraire à la charia. On cherche à noyer le poisson pour atténuer la signification de ce geste en disant que ce n'est pas justifié par le coran mais seulement par des hadiths (tradition laissée par Mahomet). Et et alors? C'est justifié quand même ou non? L'islam interdit-il ou non à la femme d'avoir un contact physique quelconque avec un homme qui n'est pas son mahram (je vous laisse travailler un peu: à vous de chercher sa signification...)?
- Encore en Suisse: on attend que la compagnie aérienne Swissair retire la croix de son emblème, ce serait un geste de politesse envers ses riches clients les Émirs. Demande a été faite par les musulmans.
- en France, le club de foot PSG (propriété de Qatar Sports Investments) a retiré le berceau qui figurait dans son logo, symbole de la ville de Saint-Germain-en-Laye, "berceau des rois de France".
- en Espagne, le célèbre club Réal Madrid a supprimé la croix surmontant la couronne de son logo, pour "ne pas froisser son sponsor émirati".
- aux Etats-Unis, des musulmans exigent qu'on ne fasse plus sonner les cloches des églises.
Dernier exemple, encore aux USA: à Washington DC, d'autres musulmans ont porté plainte contre l'Université Catholique de la ville pour qu'elle retire les Croix de son Établissement car elles constituent pour les étudiants musulmans une atteinte aux Droits de l'Homme, elles "offensent leurs croyances" et perturbent leurs prières. A signaler qu'il s'agit d'une Université ... catholique. Dans un pays qui n'est pas encore à majorité musulmane. Imaginez toutes les possibilités quand l'islam sera majoritaire à Washington. Et ailleurs en Occident...
Le problème n'est donc pas tant les musulmans. Le problème est que les élites n'ont pas fini d'apaiser les musulmans, si prompts à se révolter quand on touche à leur dogme mais bizarrement sourds quand les leurs commettent des atrocités, ni de leur faire des concessions. C'est pour l'instant la seule réponse qu'ils ont trouvé face aux exigences démesurées de l'islam et l'islam n'a fait que profiter pour s'engouffrer dans la brèche ainsi ouverte. Et comme ces mêmes élites ont bradé le patrimoine de leurs pays aux émirs, ces derniers ne se gênent pas à utiliser le chantage sous toute ses formes pour agrandir la brèche, qui devient un gouffre. À l'exemple du chantage exercé par les Saoudiens qui menacent les États-Unis de vendre des centaines de milliards de dollars d'actifs américains qu'ils détiennent si le Congrès adopte un projet de loi présentant le gouvernement saoudien comme responsable devant les tribunaux américains pour son rôle dans les attaques du 11 septembre 2001. Bien entendu, l'administration Hussein Obama s'est aplatie devant ces exigences et a fait pression sur le Congrès pour bloquer le passage de ce projet de loi.
Outre qu'elle générera plus de violence, plus de viols et plus d'assassinats, la récente et massive migration musulmane vers l'Occident aura probablement comme conséquence d'augmenter ces exigences. Demander toujours plus: si on ne l'obtient pas tout de suite, ce sera pour plus tard, ou dans quelques années, le temps que la population locale s'habitue. Ce qui s'est produit pour le voile islamique. D'année en année, on a constaté le changement à vue qui s'est opéré chez les musulmanes: dans les années 1970, rien ne les distinguait des Occidentales, la plupart du temps elles étaient tête nue ou les cheveux couverts d'un simple foulard, certaines portaient la mini-jupe, sans être agressées ni inquiétées par personne. Aujourd'hui, la mode a changé, elles se sont conformées majoritairement aux règles d'Allah et ne font pas dépasser le moindre cheveu de leur tête. Car les cheveux font partie de la awra, c'est-à-dire de "tout ce qui doit être caché" pour ne pas éveiller chez l'homme le désir sexuel. Car le musulman a cela de particulier: une simple frange de cheveux suffit à l'exciter. En conséquence, quand une femme se fait violer, c'est de sa faute à elle: elle a montré ses cheveux! On a vu de nombreux cas de viols de ce type tant dans le monde musulman qu'en Occident.
Aujourd'hui, seules quelques femmes font encore de la résistance au voile islamique.
À terme, l'Occident va probablement être confronté à une multitude de conflits. Des avertissements ont été publiés, prévenant les gouvernements que l'État islamique et al-Qaïda/al-Nusra ont infiltré le flot de migrants qui inonde actuellement l'Europe avec des éléments aguerris, préalablement formés au djihad, à la déstabilisation, à la terreur et à la guérilla [11]. Ces commandos vont venir renforcer et initier les jeunes des no-go-zones, déjà bien équipés en armes de guerre achetées en contrebande. On sait déjà que l'État islamique travaille à l'élaboration d'une bombe nucléaire sale qu'il compte utiliser en Europe. Dès 2013, l'agence For Official Use Only (FOUO, en français "Pour Usage Officiel Seulement") du Sous-secrétariat à la Défense des États-Unis pour le renseignement, avait évoqué cette possibilité dans un de ses rapports concernant cette menace:
"Nous savons qu'il n'y aurait pas besoin d'une équipe de physiciens nucléaires ou même d'un réseau criminel particulièrement sophistiqué pour transformer la matière première en une arme mortelle".
Chrétiens, apprenez le politiquement correct et continuez à tendre l'autre joue.
Le politiquement correct va finir par tuer la liberté de parole. Celui qui ose transgresser la règle et adopte le franc-parler est mis au ban de la société. C'est le cas du journaliste Éric Zemmour et de l'ancienne ministre Jeannette Bougrab, fille de harki et qui connait bien l'islam. Ils sont aujourd'hui infréquentables. Tout juste si on ne les traite pas de mauvais Français. Un autre journaliste, Philippe Tesson, a vu tous les bien-pensants lui tomber dessus juste pour avoir dit une lapalissade:
"D'où vient le problème dans les atteintes à la laïcité? C’est pas les musulmans qui amènent la merde en France, aujourd'hui?"
Parce qu'en Occident, il est admis de faire l'apologie du djihad et d'enseigner dans les mosquées qu'on peut tuer les juifs, ou que les humains ne sont pas égaux. Ce qui est intolérable, c'est, comme l'a fait Caroline Fourest, d'évoquer "ces familles qui, au nom de leurs convictions religieuses, retirent leurs enfants des cours d’Histoire quand on enseigne la Shoah", ou tout simplement de dire, comme Alain Finkielkraut, que "l'antisémitisme musulman est majoritaire".
Les élites ont imposé leur éthique dualiste qui accorde toutes les valeurs morales à un camp et qui déprécie systématiquement l'autre camp. Dans leur cas, le Bon est forcément toujours le musulman et le Mauvais est inévitablement l'anti-musulman, toujours qualifié de fasciste, de néo-nazi et de raciste. Alors qu'en matière de dualité, l'islam est champion incontesté, puisqu'il a coupé le monde en deux.
- Dualité entre l'homme et la femme, sujet qu'il n'est plus besoin de détailler.
- Dualité entre le maître et son esclave [8]: "Allah propose en parabole un esclave appartenant [à son maître], dépourvu de tout pouvoir, et un homme à qui Nous avons accordé de Notre part une bonne attribution dont il dépense en secret et en public. [Ces deux hommes] sont-ils égaux? Louange à Allah! Mais la plupart d'entre eux ne savent pas" (coran, 16:75).
- Dualité entre les musulmans et les non-musulmans: "Dis : «Sont-ils égaux, ceux qui savent et ceux qui ne savent pas?» Seuls les doués d'intelligence se rappellent" (coran, 39:9).
- Dualité entre les musulmans et "les autres gens du Livre": "Vous êtes la meilleure communauté qu'on ait fait surgir pour les hommes vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d'entre eux sont des pervers" (coran, 3:110).
- Dualité entre ceux qui font le djihad et ceux qui restent tranquillement à la maison: "Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux - sauf ceux qui ont quelques infirmité - et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d'Allah [...]." (coran, 4:95) [9].
Les élites ont verrouillé toute critique touchant à l'islam. Comme rien ne fonctionne mieux que la démagogie qui consiste à traiter son adversaire de raciste, elles ont inventé de faux arguments pour museler les peuples, comparant les "anti-islam" à de répugnants xénophobes, tout en drapant l'islam de vertus qu'il n'a pas et que même les plus modérés des musulmans ne lui reconnaissent pas, sauf s'ils sont adeptes de la taqiya. Plus sournois: les mêmes élites viennent nous parler du coran comme s'il l'avaient étudié dans le détail, nous assénant la formule "Une certaine lecture du coran". Parce que, pour eux, il y a deux manières d'interpréter le coran: celle du gentil modéré et celle du méchant terroriste. Comme s'il pouvait y avoir plusieurs lectures d'un livre dont le moindre signe diacritique a été disséqué dans les plus petits détails par les plus grands ulémas, à travers les 14 siècles d'existence de l'islam. Belle manière de nous prendre pour des imbéciles totalement ignares qui ne comprennent pas ce qu'ils lisent.
Régulièrement, c'est-à-dire après chaque bain de sang, les élites viennent nous sortir leur sempiternelle litanie: "L'État islamique [ou, selon les circonstances: Boko-Haram, al-Qaïda, Ansar al-Charia, al-Shabbab, etc], ne représente pas l'islam". Des élites qui ont paralysé le débat par un discours angélique dans lequel les musulmans passent pour des victimes du système, victimes en Occident de l'exclusion sociale et économique, victimes aussi des méchants extrémistes qui n'ont rien compris à la belle religion. Quand elles le peuvent, les élites vont jusqu'à couvrir les actes délictueux, illégaux ou même criminels des musulmans, pour qui ces actes ne sont que l'application des paroles de leur dieu Allah (le coran) ou l'imitation des activités de leur prophète (les hadith). Elles ont justifié toutes les dérives et les demandes exagérées des musulmans en diffusant l'idée que ces derniers ont été opprimés et ont subi de la part des "blancs" le colonialisme [10] puis la marginalisation, la stigmatisation, l'exclusion et la discrimination. Exercice d'autoflagellation que pratiquent même les élites des pays qui n'ont pas de passé colonialiste, comme la Suède et la Norvège. Mais aussi, aveuglement et lâcheté qui consistent ainsi à ramener le djihadisme à un simple problème d'intégration: si les terroristes tuent et égorgent, c'est de la faute de l'Occident, c'est parce que l'Occident n'a pas su intégrer ses musulmans, c'est à cause de la misère sociale, etc.
Raisonnement trop simpliste: on ne peut pas obliger les gens à s'intégrer malgré eux. Tout comme on ne peut pas instaurer la démocratie aux gens malgré eux. Ce que les Américains ont naïvement pensé pouvoir faire en Afghanistan et en Irak. On a vu le résultat final, tout comme on a vu ce qu'a donné les grandiloquents printemps arabes qui promettaient tant, tant en Syrie qu'en Égypte, en Libye et en Tunisie.
Beaucoup trop de complaisance vis-à-vis de l'islam et beaucoup trop de concessions qui lui sont faites, toujours sans aucune contrepartie, malgré les "accommodements raisonnables" chers aux dirigeants canadiens, accommodements qui ne profitent qu'à la communauté islamique. Pour revenir à l'arrestation d'Abdeslam, comment expliquer que les personnes qui l'ont caché et protégé n'ont pas été inculpées? Pourquoi les officiers qui l'ont interrogé ne lui ont posé aucune question sur les réseaux avec lesquels il a travaillé? Il est un peu trop facile de venir dire après coup, comme l'a fait le ministre belge de l'Intérieur, que derrière le terrorisme se trouve "un cancer beaucoup plus difficile à traiter", en accusant implicitement l'islam sans le citer et d'ajouter que, comme je l'ai mentionné plus haut, "beaucoup de musulmans ont dansé après les attentats". Est-ce cette belle déclaration apparemment lucide va enfin changer quelque chose en Belgique? Il aurait fallu poser la question au ministre, mais on peut douter de sa volonté à s'attaquer aux vrais problèmes que pose l'islam dans son pays.
Jusqu'à maintenant, complaisance et concessions n'ont abouti à rien, sinon à multiplier les attaques djihadistes. Les élites en sont réduites à venir pleurnicher devant les micros et caméras après chaque attentat, déclarer péremptoirement que "Cela n'a rien à voir avec l'islam", sempiternel son de cloche qui revient après chaque bain de sang. Pour finalement se cacher derrière d'autres arguments foireux et irrecevables comme "Le terrorisme n'a ni couleur, ni religion, ni patrie". L'islam a, quant à lui, sa couleur officielle: le vert de la conquête, mais de tous temps, les djihadistes lui en ont ajouté une: le rouge-sang.
Exemple extrême de renoncement: en Grande-Bretagne, quand la police perquisitionne une maison musulmane, on mettait des chaussons aux chiens renifleurs pour ne pas offenser certains, parce que leur prophète a dit en son temps que ces animaux sont impurs. Ce qui n'a pas été considéré comme une mesure suffisante pour calmer la susceptibilité de ces amis des bêtes. En effet, devant ce problème d'une exceptionnelle gravité, on a vite dépêché un rapporteur qui a conclu que la police devra désormais utiliser des appareils à rayons X au lieu de ces animaux abjects et dégoûtants.
Autres exemples:
- en Suisse, des élèves musulmans ont obtenu l'autorisation de ne pas serrer les mains des femmes car c'est contraire à la charia. On cherche à noyer le poisson pour atténuer la signification de ce geste en disant que ce n'est pas justifié par le coran mais seulement par des hadiths (tradition laissée par Mahomet). Et et alors? C'est justifié quand même ou non? L'islam interdit-il ou non à la femme d'avoir un contact physique quelconque avec un homme qui n'est pas son mahram (je vous laisse travailler un peu: à vous de chercher sa signification...)?
- Encore en Suisse: on attend que la compagnie aérienne Swissair retire la croix de son emblème, ce serait un geste de politesse envers ses riches clients les Émirs. Demande a été faite par les musulmans.
- en France, le club de foot PSG (propriété de Qatar Sports Investments) a retiré le berceau qui figurait dans son logo, symbole de la ville de Saint-Germain-en-Laye, "berceau des rois de France".
- en Espagne, le célèbre club Réal Madrid a supprimé la croix surmontant la couronne de son logo, pour "ne pas froisser son sponsor émirati".
- aux Etats-Unis, des musulmans exigent qu'on ne fasse plus sonner les cloches des églises.
Dernier exemple, encore aux USA: à Washington DC, d'autres musulmans ont porté plainte contre l'Université Catholique de la ville pour qu'elle retire les Croix de son Établissement car elles constituent pour les étudiants musulmans une atteinte aux Droits de l'Homme, elles "offensent leurs croyances" et perturbent leurs prières. A signaler qu'il s'agit d'une Université ... catholique. Dans un pays qui n'est pas encore à majorité musulmane. Imaginez toutes les possibilités quand l'islam sera majoritaire à Washington. Et ailleurs en Occident...
Le problème n'est donc pas tant les musulmans. Le problème est que les élites n'ont pas fini d'apaiser les musulmans, si prompts à se révolter quand on touche à leur dogme mais bizarrement sourds quand les leurs commettent des atrocités, ni de leur faire des concessions. C'est pour l'instant la seule réponse qu'ils ont trouvé face aux exigences démesurées de l'islam et l'islam n'a fait que profiter pour s'engouffrer dans la brèche ainsi ouverte. Et comme ces mêmes élites ont bradé le patrimoine de leurs pays aux émirs, ces derniers ne se gênent pas à utiliser le chantage sous toute ses formes pour agrandir la brèche, qui devient un gouffre. À l'exemple du chantage exercé par les Saoudiens qui menacent les États-Unis de vendre des centaines de milliards de dollars d'actifs américains qu'ils détiennent si le Congrès adopte un projet de loi présentant le gouvernement saoudien comme responsable devant les tribunaux américains pour son rôle dans les attaques du 11 septembre 2001. Bien entendu, l'administration Hussein Obama s'est aplatie devant ces exigences et a fait pression sur le Congrès pour bloquer le passage de ce projet de loi.
Outre qu'elle générera plus de violence, plus de viols et plus d'assassinats, la récente et massive migration musulmane vers l'Occident aura probablement comme conséquence d'augmenter ces exigences. Demander toujours plus: si on ne l'obtient pas tout de suite, ce sera pour plus tard, ou dans quelques années, le temps que la population locale s'habitue. Ce qui s'est produit pour le voile islamique. D'année en année, on a constaté le changement à vue qui s'est opéré chez les musulmanes: dans les années 1970, rien ne les distinguait des Occidentales, la plupart du temps elles étaient tête nue ou les cheveux couverts d'un simple foulard, certaines portaient la mini-jupe, sans être agressées ni inquiétées par personne. Aujourd'hui, la mode a changé, elles se sont conformées majoritairement aux règles d'Allah et ne font pas dépasser le moindre cheveu de leur tête. Car les cheveux font partie de la awra, c'est-à-dire de "tout ce qui doit être caché" pour ne pas éveiller chez l'homme le désir sexuel. Car le musulman a cela de particulier: une simple frange de cheveux suffit à l'exciter. En conséquence, quand une femme se fait violer, c'est de sa faute à elle: elle a montré ses cheveux! On a vu de nombreux cas de viols de ce type tant dans le monde musulman qu'en Occident.
Aujourd'hui, seules quelques femmes font encore de la résistance au voile islamique.
À terme, l'Occident va probablement être confronté à une multitude de conflits. Des avertissements ont été publiés, prévenant les gouvernements que l'État islamique et al-Qaïda/al-Nusra ont infiltré le flot de migrants qui inonde actuellement l'Europe avec des éléments aguerris, préalablement formés au djihad, à la déstabilisation, à la terreur et à la guérilla [11]. Ces commandos vont venir renforcer et initier les jeunes des no-go-zones, déjà bien équipés en armes de guerre achetées en contrebande. On sait déjà que l'État islamique travaille à l'élaboration d'une bombe nucléaire sale qu'il compte utiliser en Europe. Dès 2013, l'agence For Official Use Only (FOUO, en français "Pour Usage Officiel Seulement") du Sous-secrétariat à la Défense des États-Unis pour le renseignement, avait évoqué cette possibilité dans un de ses rapports concernant cette menace:
"Nous savons qu'il n'y aurait pas besoin d'une équipe de physiciens nucléaires ou même d'un réseau criminel particulièrement sophistiqué pour transformer la matière première en une arme mortelle".
Par aveuglement, lâcheté et complicité, aussi par volonté de plaire aux émirs du pétrole, les élites accueillent des centaines de milliers de réfugiés musulmans, tout en sachant que la plupart d'entre eux sont ce qu'ils dénomment des "radicaux", terme creux qui veut simplement dire "musulmans orthodoxes", donc des gens qui vont potentiellement augmenter les risques d'attentats.
De tous temps, les réfugiés de guerre fuient leurs pays avec femmes, enfants et vieillards. Aujourd'hui, on assiste à une Hijra (émigration) d'invasion qui touche toute l'Europe, mais aussi les États-Unis et le Canada: des hommes en âge de combattre arrivent de toutes part, se faisant passer pour des réfugiés de guerre. C'est le général américain Philip Breedlove, haut commandant de l'OTAN en Europe, qui le dit:
"Le groupe terroriste État islamique est répandu comme un cancer parmi les réfugiés".
Un afflux de migrants comme on n'avait jamais vu auparavant: les hommes dans la force de l'âge représentent une proportion inouïe de ces réfugiés: 75%. Pratiquement pas de vieux et seulement 13% d'enfants et 12% de femmes. Le but de cette manœuvre? Renforcer le gros des troupes d'Allah dans les no-go-zones et en créer d'autres?
On commence déjà à en entrevoir le résultat à travers la multiplication des attaques, violences de toutes sortes et viols collectifs, phénomènes de société qualifiés de simples "faits divers" ou même tout bonnement dissimulés par les médias, la police et les élus, sauf lorsque ces faits prennent une telle ampleur qu'on ne peut plus les cacher. Ce qui a été le cas des viols collectifs ayant touché plusieurs villes d'Allemagne, mais aussi d'autres pays d'Europe comme la Finlande, la Suède (où la police a fini par avouer avoir dissimulé plusieurs plaintes), l'Autriche et probablement ailleurs.
La multiplication de ces actes criminels est inévitable. Ce n'est pas être raciste, ou fanatique, ou néo-nazi que de l'affirmer. Tout simplement parce que l'islam encourage ces actes et ne les considère pas comme des crimes quand ils sont commis contre les mécréants. Tout simplement parce que Mahomet, que les musulmans considèrent comme "l'Être le plus parfait de la Création", donc le modèle absolu qu'on doit imiter, l'avait en son temps pratiqué et encouragé.
Les élites ne peuvent pas ignorer les apports "culturels" qu'amènent avec eux les vagues de nouveaux arrivants musulmans. Ils apportent leur point de vue sur le mariage, sur la sexualité et l'homosexualité: une écrasante majorité de musulmans estime que les femmes doivent obéir à leurs maris en toutes circonstances, que les crimes dits d'honneur sont justifiés pour les rapports sexuels extra-conjugaux; une grande majorité de musulmans dit que l'homosexualité doit être punie de mort.
Sur la démocratie: une grande majorité de musulmans pense que la charia est plus importante que les législations civiles. Sur la condition féminine: une grande majorité de musulmans pense que l'homme est supérieur à la femme et qu'il peut la battre si elle désobéit. Ils amènent aussi avec eux leur profonde haine des juifs, leur mépris pour les chrétiens (à cause de la Sainte Trinité), leur farouche opposition au droit des minorités, à la liberté, de parole, de pensée et d'expression(une simple caricature suffit à provoquer des émeutes incontrôlables), à la liberté de culte (c'est pour cette raison que les rares mariages mixtes sont systématiquement précédés de la conversion à l'islam), etc.
Autre apport enrichissant pour le pays d'accueil que l'Occident devra bien intégrer dans sa juridiction et dans son patrimoine: le fiqh, mot qui veut dire "jurisprudence islamique qui découle de la compréhension du message de l'islam sur le plan juridique", ainsi que les hudud, mot traduisible par "peines légales prescrites par le coran ou la sunna" et qui parlent de le femme qui hérite la moitié de ce qu'hérite l'homme, qui parlent de répudiation (talaq) et non de divorce, mais qui parle aussi de coups de fouets, de lapidation, de crucifixion et de décapitation. L'application de ces principes en Occident, une fois que les élites se seront définitivement couchées devant l'islam, fera qu'on devra couper la main des voleurs. Une technique bien rodée existe déjà en Arabie saoudite, l'Occident pourra dans un premier temps importer ce savoir-faire, en attendant de former ses propres bourreaux. Cette peine n'a pas été établie à la légère: elle trouve son fondement dans le très saint coran du très puissant et très sage Allah:
La punition n'est pas exclusivement réservée aux voleurs. Les mécréants ennemis d'Allah aussi y auront droit:
On sait que le coran a tout prévu pour réglementer la vie des hommes dans tous les domaines, que ce soit à titre individuel ou collectif. Avec le même humanisme et la même délicatesse que la sanction qu'on inflige au voleur.
La question qui se pose: dans quelle mesure peut-on raisonnablement attendre des nouveaux arrivants qu'ils s'adaptent (même pas s'intégrer, encore moins s'assimiler) dans la société occidentale, sachant en plus que trois générations de leurs coreligionnaires déjà sur place, pour la plupart nés en Occident, ne l'ont toujours pas fait? L'intégration, c'est le nouvel arrivant qui veille à se conformer aux règles qu'il a trouvé sur place, c'est ce que font la plupart des migrants. Pas les musulmans, pour qui c'est la société d'accueil et sa culture qui doivent abdiquer et s'adapter dans un premier temps, pour ensuite céder la place aux coutumes islamiques, c'est-à-dire à la Charia. Et à terme, disparaître totalement. Les Kabyles en savent quelque chose, cela fait 14 siècles qu'ils sont sous occupation islamique et leur culture a bien failli disparaître pour toujours.
De tous temps, les réfugiés de guerre fuient leurs pays avec femmes, enfants et vieillards. Aujourd'hui, on assiste à une Hijra (émigration) d'invasion qui touche toute l'Europe, mais aussi les États-Unis et le Canada: des hommes en âge de combattre arrivent de toutes part, se faisant passer pour des réfugiés de guerre. C'est le général américain Philip Breedlove, haut commandant de l'OTAN en Europe, qui le dit:
"Le groupe terroriste État islamique est répandu comme un cancer parmi les réfugiés".
Un afflux de migrants comme on n'avait jamais vu auparavant: les hommes dans la force de l'âge représentent une proportion inouïe de ces réfugiés: 75%. Pratiquement pas de vieux et seulement 13% d'enfants et 12% de femmes. Le but de cette manœuvre? Renforcer le gros des troupes d'Allah dans les no-go-zones et en créer d'autres?
On commence déjà à en entrevoir le résultat à travers la multiplication des attaques, violences de toutes sortes et viols collectifs, phénomènes de société qualifiés de simples "faits divers" ou même tout bonnement dissimulés par les médias, la police et les élus, sauf lorsque ces faits prennent une telle ampleur qu'on ne peut plus les cacher. Ce qui a été le cas des viols collectifs ayant touché plusieurs villes d'Allemagne, mais aussi d'autres pays d'Europe comme la Finlande, la Suède (où la police a fini par avouer avoir dissimulé plusieurs plaintes), l'Autriche et probablement ailleurs.
La multiplication de ces actes criminels est inévitable. Ce n'est pas être raciste, ou fanatique, ou néo-nazi que de l'affirmer. Tout simplement parce que l'islam encourage ces actes et ne les considère pas comme des crimes quand ils sont commis contre les mécréants. Tout simplement parce que Mahomet, que les musulmans considèrent comme "l'Être le plus parfait de la Création", donc le modèle absolu qu'on doit imiter, l'avait en son temps pratiqué et encouragé.
Les élites ne peuvent pas ignorer les apports "culturels" qu'amènent avec eux les vagues de nouveaux arrivants musulmans. Ils apportent leur point de vue sur le mariage, sur la sexualité et l'homosexualité: une écrasante majorité de musulmans estime que les femmes doivent obéir à leurs maris en toutes circonstances, que les crimes dits d'honneur sont justifiés pour les rapports sexuels extra-conjugaux; une grande majorité de musulmans dit que l'homosexualité doit être punie de mort.
Sur la démocratie: une grande majorité de musulmans pense que la charia est plus importante que les législations civiles. Sur la condition féminine: une grande majorité de musulmans pense que l'homme est supérieur à la femme et qu'il peut la battre si elle désobéit. Ils amènent aussi avec eux leur profonde haine des juifs, leur mépris pour les chrétiens (à cause de la Sainte Trinité), leur farouche opposition au droit des minorités, à la liberté, de parole, de pensée et d'expression(une simple caricature suffit à provoquer des émeutes incontrôlables), à la liberté de culte (c'est pour cette raison que les rares mariages mixtes sont systématiquement précédés de la conversion à l'islam), etc.
Autre apport enrichissant pour le pays d'accueil que l'Occident devra bien intégrer dans sa juridiction et dans son patrimoine: le fiqh, mot qui veut dire "jurisprudence islamique qui découle de la compréhension du message de l'islam sur le plan juridique", ainsi que les hudud, mot traduisible par "peines légales prescrites par le coran ou la sunna" et qui parlent de le femme qui hérite la moitié de ce qu'hérite l'homme, qui parlent de répudiation (talaq) et non de divorce, mais qui parle aussi de coups de fouets, de lapidation, de crucifixion et de décapitation. L'application de ces principes en Occident, une fois que les élites se seront définitivement couchées devant l'islam, fera qu'on devra couper la main des voleurs. Une technique bien rodée existe déjà en Arabie saoudite, l'Occident pourra dans un premier temps importer ce savoir-faire, en attendant de former ses propres bourreaux. Cette peine n'a pas été établie à la légère: elle trouve son fondement dans le très saint coran du très puissant et très sage Allah:
- "Le voleur et la voleuse, à tous deux coupez la main, en punition de ce qu' ils se sont acquis, et comme châtiment de la part d' Allah. Allah est puissant et sage" (sourate 5 verset 38).
La punition n'est pas exclusivement réservée aux voleurs. Les mécréants ennemis d'Allah aussi y auront droit:
- "La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et son messager, et qui s'efforcent de semer la corruption sur la terre, c'est qu'ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu'ils soient expulsés du pays" (sourate 5 verset 38).
On sait que le coran a tout prévu pour réglementer la vie des hommes dans tous les domaines, que ce soit à titre individuel ou collectif. Avec le même humanisme et la même délicatesse que la sanction qu'on inflige au voleur.
La question qui se pose: dans quelle mesure peut-on raisonnablement attendre des nouveaux arrivants qu'ils s'adaptent (même pas s'intégrer, encore moins s'assimiler) dans la société occidentale, sachant en plus que trois générations de leurs coreligionnaires déjà sur place, pour la plupart nés en Occident, ne l'ont toujours pas fait? L'intégration, c'est le nouvel arrivant qui veille à se conformer aux règles qu'il a trouvé sur place, c'est ce que font la plupart des migrants. Pas les musulmans, pour qui c'est la société d'accueil et sa culture qui doivent abdiquer et s'adapter dans un premier temps, pour ensuite céder la place aux coutumes islamiques, c'est-à-dire à la Charia. Et à terme, disparaître totalement. Les Kabyles en savent quelque chose, cela fait 14 siècles qu'ils sont sous occupation islamique et leur culture a bien failli disparaître pour toujours.
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