Nous n'y échapperons pas, les Français, les Belges, les Allemands, les Danois, les Australiens, les Québécois et bien d'autres, sommes à la veille de dire Adieu aux sentiments de paix et de sécurité si chers à nos cœurs. Notre confiance et notre insouciance de naguère feront place graduellement à l'angoisse, nous aurons de plus en plus le sentiment d'être en danger et nous finirons par réaliser que nous sommes plongés dans une guerre sans l'avoir voulu. Ceux qui l'ont déclarée, ceux qui nous ont pris pour ennemis mortels, n'ont d'autre reproche à nous faire que celui d'exister: nous sommes menacés de mort non pour ce que nous avons fait mais pour ce que nous sommes.
Les forces de l'ordre ne peuvent faire autrement que réduire le nombre d'attentats et de victimes; ils ne pourront pas réduire le risque à néant.
Encore s'agit-il pour eux d'une guerre de faible intensité où l'ennemi compense la faiblesse de ses effectifs et de ses moyens par la surprise et l'audace. Mais l'endoctrinement massif à la haine ne tardera pas à lancer contre nous un nombre sans cesse plus grand de jeunes aspirants au «martyr», comment dans ces conditions les forces de l'ordre pourront-elles éviter d'être débordées ou tenues en échec?
Qui est ici à blâmer? Les politiciens, ceux qui ont mis en place et appliqué les politiques d'immigration, les hommes de loi, les défenseurs des droits, les médias, les intellectuels, ou bien ceux qui les ont cru et leur ont fait confiance?
Par quels moyens pourrons-nous mettre fin à cette guerre sans renoncer à nous-mêmes et sans nous soumettre à l'agresseur?
Pouvons-nous encore faire confiance à ceux qui nous ont mis dans ce pétrin, ceux qui par négligence et suffisance ont compromis notre sécurité et l'avenir de nos enfants?
D'où vient que ceux qui ont ouvert grand la porte à l'extrémisme et qui refusent de le combattre, s'avisent encore de nous diriger, non seulement dans le champ politique mais encore plus sur le plan des idées? Comment se fait-il que dans les circonstances ils n'expriment aucune honte et aucun remord?
Nous sommes sans nous en rendre compte confrontés à la haine, une haine latente comme une maladie en incubation. Elle est instillée jour après jour dans l'esprit des gens et particulièrement des jeunes. Haine de la liberté, du libre arbitre, du doute, de l'analyse objective des faits, de la science, de la littérature, de la poésie, de la musique, de la peinture, de la sculpture, du cinéma, de la critique, du rire, de l'humour, de la dérision, de la caricature, de la mode, de la beauté, de la féminité, de la sexualité, du plaisir, de la joie de vivre, de l'amour.
Les forces de l'ordre ne peuvent faire autrement que réduire le nombre d'attentats et de victimes; ils ne pourront pas réduire le risque à néant.
Encore s'agit-il pour eux d'une guerre de faible intensité où l'ennemi compense la faiblesse de ses effectifs et de ses moyens par la surprise et l'audace. Mais l'endoctrinement massif à la haine ne tardera pas à lancer contre nous un nombre sans cesse plus grand de jeunes aspirants au «martyr», comment dans ces conditions les forces de l'ordre pourront-elles éviter d'être débordées ou tenues en échec?
Qui est ici à blâmer? Les politiciens, ceux qui ont mis en place et appliqué les politiques d'immigration, les hommes de loi, les défenseurs des droits, les médias, les intellectuels, ou bien ceux qui les ont cru et leur ont fait confiance?
Par quels moyens pourrons-nous mettre fin à cette guerre sans renoncer à nous-mêmes et sans nous soumettre à l'agresseur?
Pouvons-nous encore faire confiance à ceux qui nous ont mis dans ce pétrin, ceux qui par négligence et suffisance ont compromis notre sécurité et l'avenir de nos enfants?
D'où vient que ceux qui ont ouvert grand la porte à l'extrémisme et qui refusent de le combattre, s'avisent encore de nous diriger, non seulement dans le champ politique mais encore plus sur le plan des idées? Comment se fait-il que dans les circonstances ils n'expriment aucune honte et aucun remord?
Nous sommes sans nous en rendre compte confrontés à la haine, une haine latente comme une maladie en incubation. Elle est instillée jour après jour dans l'esprit des gens et particulièrement des jeunes. Haine de la liberté, du libre arbitre, du doute, de l'analyse objective des faits, de la science, de la littérature, de la poésie, de la musique, de la peinture, de la sculpture, du cinéma, de la critique, du rire, de l'humour, de la dérision, de la caricature, de la mode, de la beauté, de la féminité, de la sexualité, du plaisir, de la joie de vivre, de l'amour.
On tente de nous convaincre que l'intégrisme islamique ce n'est pas bien grave, l'intégrisme islamique n'est pas dangereux, l'intégrisme islamique existe dans un vacuum:
· Oui on peut être un musulman intégriste et vivre en harmonie avec la société !
· Oui on peut haïr et maudire l'occident tout en étant un «bon citoyen»!
· Oui on peut sans remord profiter de l'occident et de ses largesses tout en méprisant ouvertement le peuple !
· Oui on peut promouvoir la charia et le suprématisme islamique tout en se réclamant de la charte des droits et des libertés!
· Oui on peut haïr les occidentaux et en même temps travailler avec eux en étroite collaboration!
· Oui on peut «respecter» les femmes occidentales tout en les traitant de putains non-payées!
· Oui on peut s'endoctriner, et endoctriner ses enfants à la haine tout en se réclamant de la liberté religieuse!
· Oui on peut prier Allah pour qu'il rende veuves les occidentales et orphelins les petits occidentaux, et que toutes sortes de calamités s'abattent sur l' occident, tout en exigeant des accommodements et des privilèges!
· Oui on peut se réjouir des atrocités de l'État Islamique tout en affirmant haut et fort que l'islam est une religion de paix de tolérance et d'amour!
· Oui on peut vouloir soumettre l'occident à l'islam et à la charia sans passer pour un subversif!
· Oui on peut être hypocrite et de mauvaise foi tout en méritant respect et considération!
Tout cela n'a rien à voir avec la violence islamique et le jihad. Faut surtout pas faire d'amalgame!
Nos élites ont non seulement déserté le champ de bataille idéologique, ils ont traité d'islamophobes et de racistes tous ceux qui ont eu le cran de s'y engager; le courage des uns est insupportable à la lâcheté des autres. Faute d'avoir combattu l'idéologie des islamistes ils sont obligés à présent de gérer leur violence.Ils font mine de la combattre mais ils cherchent à tout prix des accommodements, car nourrir la bête et la caresser dans le sens du poil est de nature à l'apaiser, du moins jusqu'aux prochaines élections.
Dans ce combat contre l'intégrisme islamique nos gouvernants ont tout d'un handicap et rien d'un atout, ils ont déserté d'emblée le champ de bataille et a accepté avec aplomb et fermeté la défaite. Pour eux l'intégrisme islamique fait désormais partie du « tissu de l'occident », il ne reste aux occidentaux qu'à l'accepter et s'accommoder de ses nuisances.
La trahison de leurs élites a fait du tort aux occidentaux, à quoi leur sert de confier leur propre défense à des lâches? Que peuvent-ils faire pour préserver la paix, leur mode de vie et sauver leurs valeurs? Que peuvent-t-ils faire sinon sanctionner moralement les élites qui les ont trahis, et prendre en main leur propre destin?
Ce que nous devons faire: nous impliquer personnellement et en grand nombre dans les partis politiques, y susciter les débats d'idées, influencer autant que faire se peut leurs programmes et le choix des chefs, dénoncer et contrer la désinformation véhiculée par certains médias , intervenir régulièrement dans les forums de discussions, voter massivement pour le parti et les candidats résolus à lutter contre l'intégrisme, en somme contribuer à briser la tendance et à faire tourner le vent.
Plus que jamais notre destin est entre nos mains, nous avons le choix de laisser les lâches nous trahir, ou assumer résolument nos responsabilités de citoyens.
Adaptation d'un texte d'Hélios d'Alexandrie
http://www.postedeveille.ca/2015/02/les-integristes-les-elites-et-le-peuple-du-quebec.html
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