Recep Erdogan compte rétablir la peine de mort, au risque de se fâcher avec les instances européennes.
Rétablissement de la peine de mort, enregistrement de toutes les conversations entre des avocats et leurs clients suspects de terrorisme, limogeage de 10.000 fonctionnaires supplémentaires et fermeture d'une douzaine de médias pro-kurdes. C'est un tour de vis supplémentaire dans un pays vivant une répression déjà spectaculaire depuis le coup d'Etat raté du 15 juillet, qu'a imposé ce samedi, le président turc, Recep Tayyip Erdogan.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire