Placé à l’isolement, Salah Abdeslam a quand même pu, selon nos informations, échanger quelques phrases avec un détenu il y a trois semaines. Les faits se sont produits vers 21 heures. Même si les deux hommes ne se voyaient pas, ils sont parvenus en parlant fort à communiquer depuis leurs cellules. Le membre du commandos des attentats du 13 novembre a demandé à l’autre prisonnier « t’as des nouvelles des surveillants d’Osny ? », faisant ainsi allusion à l’agression qui a eu lieu le 4 septembre dernier à la prison d’Osny et au cours de laquelle un des deux surveillants agressés a été gravement blessé. Salah Abdeslam a ajouté « personne ici ne me fera parler, je suis protégé par Allah. Moi je ne parle pas, j’agis ».
Combien coûte le système de surveillance qu’on lui a installé à ce chacal pour qu’il soit bien isolé….
En plus dans sa suite de luxe, il a la télé, une salle de muscu. Il a des retraités qui aimeraient bien « subir » ce régime.
Combien coûte le système de surveillance qu’on lui a installé à ce chacal pour qu’il soit bien isolé….
En plus dans sa suite de luxe, il a la télé, une salle de muscu. Il a des retraités qui aimeraient bien « subir » ce régime.
« Personne ici ne me fera parler, je suis protégé par Allah. Moi je ne parle pas, j’agis ».
Nos systèmes juridiques et carcéraux lui permettent de fanfaronner ! ……
À Alger, en 1957, il n’aurait pas tenu longtemps ce genre de propos ! …… il aurait rapidement craché sa Valda avant d’être recyclé en ‘’crevette Bigeard‘’ !
Nos faiblesses devant l’indicible barbarie nous conduisent à notre perte !
Et pourtant, … « Il est des moments où, pour se survivre, la république doit d’abord se renier ! » – Georges Clemenceau (en 1917).
« 12 balles dans la peau , et rien d’autre » et comme en Chine faire payer les balles à la famille.
© Gaïa
Source : BFMTV
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