L'Otan poursuivait dimanche ses frappes aériennes sur des cibles militaires à Tripoli, tandis que le régime tentait de reprendre l'offensive en lançant une contre-attaque sur le hameau de Goualich dans l'ouest, sans succès dans l'immédiat.
L'Otan a confirmé des frappes au cours desquelles ses appareils ont "touché deux centres de contrôle et de commandement, deux lanceurs de missiles sol-air et une arme anti-aérienne" à Tripoli.
Samedi, l'Otan avait déjà mené d'autres raids sur Tripoli, dont certains avaient visé les murs et les tours de garde de la résidence du dirigeant libyen, a indiqué dimanche un responsable de l'Alliance à Bruxelles. Les tours ont été spécifiquement visées car "elles protégeaient le centre de commandement et de contrôle" du site, a-t-il dit.
l'armée du colonel Kadhafi a tenté dimanche de reprendre le hameau de Goualich, à une centaine de km au sud de Tripoli.
L'Otan a confirmé des frappes au cours desquelles ses appareils ont "touché deux centres de contrôle et de commandement, deux lanceurs de missiles sol-air et une arme anti-aérienne" à Tripoli.
Samedi, l'Otan avait déjà mené d'autres raids sur Tripoli, dont certains avaient visé les murs et les tours de garde de la résidence du dirigeant libyen, a indiqué dimanche un responsable de l'Alliance à Bruxelles. Les tours ont été spécifiquement visées car "elles protégeaient le centre de commandement et de contrôle" du site, a-t-il dit.
l'armée du colonel Kadhafi a tenté dimanche de reprendre le hameau de Goualich, à une centaine de km au sud de Tripoli.
Le leader libyen a pour sa part qualifié de "complot colonial" les événements qui secouent son pays depuis la mi-février, dans un message audio diffusé dans la nuit sur la télévision d'Etat.
Il a aussi rejeté les accusations d'éliminations d'opposants et de meurtres de milliers de manifestants, lancées par des groupes de défense des droits de l'Homme.
Il a par ailleurs exprimé sa solidarité avec l'ex-président égyptien Hosni Moubarak, qui a abandonné le pouvoir en février sous la pression de la rue, affirmant que c'était un homme "pauvre, modeste" et qui "aime" son peuple.
L'Allemagne a annoncé de son côté dimanche qu'elle avait accordé une aide civile et humanitaire d'un montant de 100 millions d'euros à l'opposition libyenne regroupée dans le Conseil national de transition (CNT).
La Libye est déchirée par des combats entre pro et anti-Kadhafi après un soulèvement contre le dirigeant, au pouvoir depuis plus de quarante ans. Bizarre que cette info ne soit publiée que maintenant , pourquoi a-t-on attendu si longtemps pour aider les opposants?
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