Quel bilan doit-on dresser, celui de 2 ans de descente aux enfers des pays de l’hiver sibérien et du printemps islamiste, ou le bilan de 1400 ans d’occupation arabo-musulmane de ces mêmes pays ?
Avec la barbarie nazie qui gangrène la Tunisie et l’Egypte, ainsi que la plupart des pays musulmans, le seul constat que l’on puisse faire est que grâce à l’islamisme, on découvre le vrai visage de l’islam en grandeur nature. Plus de doute. Longtemps mythifié et aujourd’hui révélé. De l’islam de paix et de tolérance que ses partisans véhiculent, les islamistes ont tordu le cou, et toutes les idées fantaisistes sur l’islam ont levé le voile sur le vrai sens de l’islam : belliqueux, velléitaire, intolérant, fanatique, totalitaire, réactionnaire, ethnocentrique, impérial, expansionniste, nombriliste, ethnocide, négationniste, arrogant, hautin, suffisant, inculte, réactionnaire, obscurantiste, violent, tartufe, faux-dévot, schizophrène, paranoïaque, inhumaniste, désuet, mégalomaniaque, délirant, nazi, raciste, antisémite, ultra misogyne, liberticide, pédophile, esclavagiste, et immoral…
L’islamisme n’est pas seulement le visage hideux de l’islam, il est son sérum de vérité, son thiopental sodique, le penthotal.
A se demander si les anglais, relayés par leurs cousins américains, n’avaient pas administrés volontairement cette substance chimique dans le corps de l’islam pour que l’islam lui-même dévoile au monde sa propre vérité sur lui-même. Les WASP n’ont pas instrumentalisé l’islamisme, ils l’ont juste inoculé dans le sujet musulman, afin qu’il livre lui-même toutes les informations nécessaires sur son haut degré de nocivité, les limites de sa spiritualité, et lever ainsi tous les doutes sur son statut de religion.
Quand bien même aucune religion n’est une ode de paix et d’amour, l’islam plus que toutes les autres religions monothéistes est plus apparenté à un système politique, une idéologie totalitaire, qui tout en puisant ses racines dans l’aliénation et l’oppression des masses, se dote de mécanismes politiques répressifs et culpabilisant, teintés de mysticisme et de sacré pour renforcer son pouvoir absolu sur la vie des hommes, dans tous ses aspects, avec une ambition politique planétaire : faire de l’islam un nouveau gouvernement mondial régi par ses propres lis canoniques, la charia.
C’est pourquoi l’islam, qui est de nature essentialiste et confusionnaliste, ne peut se cantonner dans la seule sphère cultuelle, il se veut une praxis globale amalgamant le religieux avec le politique et le social.
Religion, Etat et monde.
A l’instar du nazisme, du fascisme et du bolchevisme, il veut créer un modèle de société où les hommes sont coulés dans le bronze de son idéologie, formatés, standardisés, sans pensées propres, ni raisonnements personnels, obéissants, dévoués, comme des atomes perdus dans une nébuleuse. Et comme le dit Bertrand Russel, Prix Nobel de Littérature en 1950 : « Parmi les religions, l’islam doit être comparé au bolchevisme plutôt qu’au christianisme ou au bouddhisme. Le christianisme et le bouddhisme sont avant tout des religions personnelles, avec des doctrines mystiques et un amour de contemplation. L’islam et le bolchevisme ont une finalité pratique, sociale, matérielle dont le but est d’étendre leur domination sur le monde. »
On ne peut pas continuer à nier les évidences et envelopper la vérité dans les linceuls du mensonge comme ceux dont ils couvrent le corps de leurs femmes ou les barbes hirsutes et vérolées qui mangent leur visage pour dissimuler leur âme noire et tourmentée. L’islam n’est pas une religion, il ne peut pas l’être tant qu’il est animé par des desseins hégémoniques périlleux pour la paix et la sécurité dans le monde.
L’islamisme, le sérum de vérité de l’islam, a au moins le mérite de faire tomber les masques, de prendre de contre-pied les thuriféraires de cet islam fabulé et encensé comme s’il était une nouvelle révolution humaine, un hymne à la paix universelle et à l’amour du genre humain, indépendamment de toutes les différences.
Valider l’équation islam égal islamisme
Plutôt que de dénoncer les dérives qui dénaturent et défigurent l’islam dont on accuse l’islamisme, et lui intenter des procès d’intention sans pour autant purger le corps de l’islam de ce pseudo mal qui le ronge et qui, en réalité, lui sert de masque pour dissimuler au regard du monde la dangerosité de l’idéologie musulmane, il est plus que temps de valider l’équation de l’islam égal islamisme et en finir avec toutes ces idées fantasmagoriques et légendées sur l’islam.
L’islamisme est le miroir dans lequel se reflète l’image de l’islam dans toutes ses formes et nuances, au moindre petit détail. Mais il est plus que ça. Il est son organe et sa substance, qui le fait passer du monde romancé et virtuel au monde réel. Il est son amplificateur de sons, de la fureur, et de la terreur qui couvent, et prolifèrent en son sein.
Les attentats terroristes, les éclats d’obus, les bruits assourdissants des bombes sont devenus la musique funeste du Requiem que les musulmans dits radicaux (en réalité les vrais musulmans, contrairement aux musulmans « modérés » qui sont des égarés), composent et mettent en musique depuis les attentats du 11 septembre 2001.
Ce qui avait été un mensonge, une tromperie sur la marchandise, un dol, un mythe jusqu’alors enfoui dans le subconscient culturel des musulmans et du politiquement correct occidental est enfin mis à nu et révélé au grand jour.
Nier tout cela, c’est faire le jeu, et se rendre complices des ennemis de l’humanité que sont les islamistes.
© Salem Ben Ammar pour www.Dreuz.info
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