« Cela n’apportera rien à la Géorgie, qui est un État souverain et qui se développe bien, mais cela sera une source durable de tension entre nos deux pays », explique-t-il.
 Les autorités géorgiennes travaillent à intégrer l’OTAN, ce qui, selon un sondage de l’Institut républicain international, est soutenu par 61 % de la population. D’ailleurs, ces dernières années, l’OTAN et les États-Unis affirment qu’ils sont prêts à soutenir la Géorgie, mais ne sont pas pressés de la faire entrer dans le bloc.