Ceux qui appelaient de tous leurs vœux un terroriste américain blanc « pure laine »et de « droite » sont profondément déçus.
Les coupables sont musulmans, des tchétchènes, réfugiés politiques naturalisés américains, ironie du sort ou drôle de coïncidence, le plus jeune a obtenu sa citoyenneté américaine le 11 septembre 2012. Haine et duplicité à l'égard de la société d'accueil qui leur a généreusement (et bêtement) ouvert la porte et accordé tous les droits et toutes les libertés garantis par la constitution.
Les Américains adeptes de la haine de soi n'ont rien, mais vraiment rien à se mettre sous la dent: la « radicalisation »des terroristes n'est pas imputable à un quelconque rejet ou à une prétendue injustice de la société américaine. Boston est l'épicentre du progressisme américain de gauche, le plus jeune a fait ses classes dans une école publique prestigieuse qui se vante d'honorer la diversité et dont les étudiants sont originaires de soixante pays différents, le multiculturalisme y est à l'honneur. Le plus vieux était marié à une jeune américaine pure laine qui s'est convertie à l'islam et au port du hijab et qui lui a donné une fille. Et puis ce n'est plus GW Bush qui est aux commandes du pays mais Saint Obama dont le fameux discours du Caire à été tellement accueillant et élogieux à l'égard de l'islam et des musulmans.
Demain la gauche américaine se réveillera avec la gueule de bois, forcée d'admettre, qu'en ce qui concerne le terrorisme islamique, son échafaudage explicatif est branlant. Les terroristes de Boston, autant sinon plus que ceux de Londres, avaient de solides raisons d'être reconnaissants et loyaux envers leurs pays d'adoption. Une seule et unique chose explique leur trahison et leurs crimes: le fanatisme musulman. À Boston comme un peu partout sur la planète l'islam est la religion qui tue et mutile.
Le terrorisme musulman se nourrit du respect que l'Occident s'impose à l'égard de l'islam.
Les toulousains et les bostonnais pourront échanger leur expérience, car il existe des dénominateurs communs entre Mohamed Merah et les frères Tsarnaev. Terroristes de l'intérieur, fanatisés du moins en partie via internet, même souci à causer le plus grand nombre de victimes, absence totale d'hésitation face au carnage, témérité et violence remarquable face aux policiers, nihilisme qui dans les deux cas les a conduit à la mort. Le lavage de cerveau islamique est le même sur les deux rives de l'Atlantique.
Les frères Tsarnaev suscitent déjà l'admiration d'un grand nombre de musulmans, ils seront rapidement « canonisés » et leurs hauts faits d'armes seront cités en exemple. Qu'on y pense un instant, ils ont réussi à paralyser une grande ville américaine durant au moins deux jours et à monopoliser l'attention de plusieurs milliers de policiers tout en leur infligeant des pertes sérieuses. La publicité qu'ils se sont méritée fera d'eux des exemples à suivre. Les candidats au Jihad se feront plus nombreux, la machine à tuer de l'islam ne manquera pas de carburant.
L'oncle des deux terroristes, Ruslan Tsarniof, a eu le courage d'affronter les journalistes, au grand chagrin de la faune gauchiste il s'est montré reconnaissant envers l'Amérique et a parlé de l'opprobre désormais attaché à ses neveux et à leur forfait, il les a traités de perdants « losers ».Mais il a également fait preuve de déni, bien qu'il ait mérité pour ses propos la reconnaissance du public. En effet les terroristes ne se perçoivent pas comme des losers mais comme des suprématistes et des héros de l'islam, la victoire et la domination leur est accordée par Allah s'ils sont vainqueurs et un paradis-lupanar leur est destiné s'ils meurent au combat.
Les musulmans, même les plus sincères et les plus objectifs, ceux qui condamnent sans hésitation le terrorisme islamique, se refusent d'aller au fond des choses et reconnaître qu'il existe un problème sérieux avec l'islam; pas avec l'islamisme ou l'une de ses versions (wahhabite, salafiste, jihadiste, chiite) mais avec l'islam tout court ! Ce ne sont pas les islamistes assassins qui doivent être traités de « losers », mais plutôt l'islam lui-même en tant qu'idéologie religieuse en faillite.
L'enquête qui ne fait que commencer lèvera le voile sur les insuffisances du renseignement. Nous apprendrons sans doute qu'il existait des raisons sérieuses de s'inquiéter et que les clignotants rouges ont été ignorés pour cause de rectitude politique, exactement comme dans le cas du massacre de Fort Hood perpétré par le major-psychiatre Hassan qui s'autodésignait ouvertement « soldat d'Allah ».
On apprendra avec horreur que quatre jeunes personnes ont été tuées et des dizaines ont été mutilées ou blessées parce que la police de Boston et le FBI ne voulaient pas « stigmatiser les musulmans » ! En effet les corps policiers américains depuis l'avènement d'Obama sont soigneusement enseignés à ne pas tenir compte de la religion des suspects même quand ces derniers s'apprêtent à tuer au nom de l'islam. Leur niveau d'observance religieuse ne doit plus en principe servir comme signe précurseur, les longs voyages à l'étranger pour mieux s'instruire dans le champ de l'islam ne doivent plus susciter des questionnements, c'est ainsi que les mobiles des aspirants jihadistes ont été écartés de l'équation. En somme les policiers ont été privés de l'outil principal de lutte contre le terrorisme, soit la connaissance et la compréhension de l'idéologie qui motive les terroristes. On voit encore une fois, comment la rectitude politique et l'idéologie multiculturelle facilitent le travail des jihadistes.
Politiciens et médias mainstream s'évertuent à détourner les yeux du public de la simple vérité, à savoir qu'il n'y a pas de terroristes qui prennent plaisir au massacre sans motivation idéologique et qu'il ne sert à rien de lutter contre le terrorisme islamique si l'on s'interdit de mettre à nu et démonter l'idéologie qui le nourrit. Au centre du problème il y a l'islam, mais les élites politiques et médiatiques ont choisi consciemment de regarder à côté, elles acceptent en toute connaissance de cause de laisser perpétuer le problème parce que pour elles l'image et le statut de l'islam ont plus d'importance que la vie des victimes.
Le terrorisme musulman se nourrit du respect que l'Occident s'impose à l'égard de l'islam.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire