On constate, au pied du mur (de la crise), que le PdL - droite/centre-droit Berlusconi - est d'une autre trempe que le PD - gauche/centre gauche- , alors que la presse bien pensante nous a inondé de son anti-berlusconisme pendant des années. Les sondages auprès de ses électeurs et les comportements sont clairs : la droite est en faveur de ce gouvernement, qui l'oblige à travailler avec la gauche pour relever le pays. La gauche, par contre, reste dans une bonne mesure, animée par son aversion viscérale du PdL. C'est juste que le Président Napolitano a dû leur rappeler vertement ce qu'était leur devoir absolu dans la situation actuelle, sans quoi... Les Italiens ont, une fois de plus, constaté l'inconsistance, l'instabilité et l'anachronisme de la gauche italienne. La droite est d'ailleurs largement repassée en-tête, dans les derniers sondages et pourrait, probablement, gouverner seule s'il fallait revoter.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire