L’Organisation de la coopération islamique (OCI), a publié la dernière édition de son rapport annuel sur l’islamophobie, ce phénomène inquiétant qui rend la vie des musulmans en occident psychologiquement stressante, dans un environnement de plus en plus xénophobe.
Le sixième rapport de l’observatoire de l’OCI sur l’islamophobie, couvrant la période d’octobre 2012 à septembre 2013 est un document de 94 pages censé offrir un tableau complet de l’islamophobie dans nos sociétés occidentales.
L’OCI, dont le siège est en Arabie Saoudite, pays célèbre pour sa tolérance envers les non musulmans, en particulier les chrétiens et leurs symboles comme la bible, la croix et l’église, est financée par des douzaines de pays musulmans qui persécutent ouvertement et de façon systématique les minorités non musulmanes, à commencer par les chrétiennes et les juives.
L’objectif principal de l’OCI est de faire promulguer par les pays occidentaux une loi liberticide visant à pénaliser toute critique de l’islam, afin de lutter contre les stéréotypes négatifs diffusés sur l’islam, sources d’une islamophobie grandissante.
En réalité, l’OCI, avec la complicité de nos gouvernements, introduit peu à peu la charia en Occident
La finance islamique, si admirée par nos dirigeants, représente une autre façon d’imposer la charia en Occident, de manière plus subtile, mais tout aussi dangereuse.
Sous prétexte de lutter contre l’islamophobie qui n’est en rien un crime, mais l’expression d’une crainte envers une idéologie totalitaire, liberticide, tyrannique, et bafouant les droits humains les plus élémentaires, l’OCI veut tout simplement imposer au monde libre sa vision des droits de l’homme selon la charia, à commencer par l’interdiction de la liberté d’expression.
L’OCI prétend imposer aux non-musulmans les normes et pratiques de sa religion, soi-disant d’origine divine, donc parfaite et, de plus, interdite à toute critique comme si leur dieu était si faible et fragile qu’il puisse en pâtir. Dès lors, la moindre critique relève du crime de lèse-islam et devient de l’islamophobie. L’islam est l’idéologie qui a inspiré le nazisme, c’est une idéologie qui prône le pouvoir d’une communauté religieuse sur le reste de l’humanité et qui, de par sa nature suprémaciste et violente, n’hésite pas à l’imposer de force, quitte à recourir au génocide des minorités ayant le malheur de vivre en terre d’islam.
Dans ce contexte, le rapport annuel sur l’islamophobie fait partie de la stratégie de l’OCI pour prouver l’existence d’une culture de l’intolérance envers l’islam et les musulmans en occident et ainsi faire pression sur les gouvernements occidentaux afin qu’ils interdisent toutes formes d’islamophobie, ce concept nébuleux, inventé selon certains, par Khomeiny dans les années quatre-vingt et selon d’autres par les Frères musulmans dans les années nonante – et qu’importe.
Le rapport de l’OCI comprend cinq chapitres principaux et plusieurs annexes, détaillant les actes et paroles islamophobes visant à diffamer et à avilir les musulmans et leurs symboles sacrés, y compris les attaques contre les mosquées (en réalité des graffitis), les discours hostiles, les agressions physiques (rarissimes), principalement en raison de leurs traits culturels.
A noter que ce rapport hypocrite passe sous silence total la judéophobie et la christianophobie, qui, dans certains pays de l’OCI se traduisent non seulement par la stigmatisation verbale des non musulmans, mais par la persécution, la torture, le meurtre des juifs, des chrétiens et de tous les islamo-réfractaires, sans oublier les destructions d’églises, encouragées par leurs leaders spirituels.
Le fil conducteur qui lie l’ensemble du document, c’est l’affirmation répétée par l’OCI selon laquelle le principal coupable de l’institutionnalisation de l’islamophobie dans les pays occidentaux est la sacro-sainte liberté d’expression.
Cette liberté d’expression, l’une des valeurs fondamentales de nos démocraties, que les membres de l’OCI aimeraient voir rayée de la charte de nos libertés. Et ils ne sont pas apparemment les seuls : l’UE verrait aussi d’un bon œil la suppression de la liberté d’expression, comme à la belle époque du fascisme, du nazisme, du communisme. Le peuple écoute de moins en moins les élites faiseurs de la pensée unique, il ose remettre en question le politiquement correct, il doit donc être muselé.
Le fascisme islamique interdit la liberté d’expression à ses adeptes et cela explique peut-être en partie la fascination qu’exerce l’idéologie islamique sur nos gouvernements et les technocrates de l’UE.
Selon l’OCI, la liberté d’expression protège les responsables de l’islamophobie, qui cherchent à propager la crainte irrationnelle de l’islam et l’intolérance enver cette belle religion. Les auteurs islamophobes suscitent des tensions injustifiées, des troubles à l’ordre public en calomniant la foi islamique, via une campagne de désinformation grossière et de fausses déclarations, disent-ils, alors qu’il n’est pas possible de déformer les contenus explicites du coran et de la sunna.
Le chapitre 1 du rapport traite de l’islamophobie, de l’intolérance et de la discrimination envers les musulmans.
« La liberté d’expression est responsable de la propagation de l’islamophobie et cette islamophobie est à l’origine de l’augmentation de crimes haineux à l’encontre des musulmans : violence verbale habituelle, discrimination, notamment dans les domaines de l’éducation et de l’emploi, multiplications d’agressions physiques, vandalisme, attaques contre les centres islamiques et profanation des mosquées et des cimetières. »
Le génocide des minorités non musulmanes dans la plupart des pays membres de l’OCI, les destructions d’églises, relèvent sans doute de l’imaginaire des islamophobes ?
L’exploitation malsaine de la liberté d’expression
« Dans ce contexte, l’acceptation de différentes formes d’intolérance, y compris les discours de haine et la propagation de stéréotypes négatifs contre l’islam et les musulmans dans certains pays occidentaux contribuent à la prolifération de sociétés intolérantes. Ce processus est en outre soutenu par… l’exploitation malsaine de la liberté d’ expression et le maintien d’un contexte idéologique prônant un conflit inéluctable des civilisations.
Ce sont les musulmans, en occident, qui « exploitent de façon malsaine » la liberté d’expression, dont ils usent et abusent pour détruire nos démocraties, nos libertés.
« Un autre facteur favorisant l’intolérance est le rôle négatif joué par les grands médias, qui non seulement propagent les stéréotypes et les idées fausses sur l’islam, mais privent de la parole toute organisation ou groupes d’individus qui s’élèvent contre l’intolérance, la haine religieuse et la violence. Cette approche biaisée des médias a contribué à l’élaboration d’une image diabolisée, déshumanisée des musulmans dans l’esprit d’une certaine catégorie de personnes, prédisposée à la xénophobie, en raison d’une situation économique de plus en plus désastreuse ou tout simplement éprouvant une peur irrationnelle de l’autre. »
Reproche injustifié. La plupart des médias sont islamophiles, de véritables lèche- babouches, qui cachent ses lois criminelles et encensent l’islam, notamment au moment du ramadan et de la fête de l’égorgement.
Le chapitre 2 du rapport traite des manifestations d’islamophobie en Occident.
Pour l’OCI, « le nombre d’incidents islamophobes ne cesse d’augmenter aux États-Unis, en raison de la propagande anti- musulmane. Il est particulièrement inquiétant de constater que les sentiments anti-musulmans s’enracinent profondément et s’infiltrent davantage dans le système éducatif. Parmi les cas et tendances les plus inquiétantes, signalons l’initiative prise par l’un des principaux leaders et puissant législateur, le représentant américain pour le deuxième arrondissement du Congrès de NY, le Républicain Peter King, de convoquer des audiences spéciales au Congrès sur la radicalisation de l’islam aux USA. Lors des récentes élections présidentielles, le parti républicain avait également utilisé la carte anti-islam comme stratégie. »
…
« En ce qui concerne les tendances islamophobes en Europe, divers rapports et sondages ont révélé une perception erronée croissante vis-à -vis de l’islam et des musulmans. Parmi les fausses idées, les plus communes et les plus récurrentes, citons les suivantes :
- les musulmans sont enclins à la violence et à la vengeance ;
- l’islam est une religion intrinsèquement expansionniste, qui vise à obtenir un pouvoir politique, et dont les adeptes sont obsédés par le prosélytisme ;
- l’islam prive les femmes de leurs droits et encourage le fanatisme religieux et le radicalisme.
- Selon ces mêmes sondages, seule une infime partie de la population voit l’islam sous un jour plus positif, comme étant une religion de paix qui prêche l’amour pour les voisins, la charité, l’ouverture et la tolérance.
Que ces faux naïfs se réveillent et comprennent qu’internet rapporte ce qui se passe en Afghanistan, en Irak, au Yemen, en Somalie, au Nigéria, au Soudan, en Iran, en Arabie Saoudite ou au Pakistan. Toute la beauté de l’islam y est exposée : amour, tolérance, générosité, paix selon la charia. Et il ne se passe pas plus de deux ou trois attentats terroristes par jour – un chiffre qu’ils considèrent probablement modéré.
« Dès lors, les musulmans qui vivent dans des environnements xénophobes sont plus exposés au stress quotidien et à d’autres formes de préjudice moral dans leur vie quotidienne ».
L’OCI conclut que « les journalistes et médias ont la responsabilité de ne pas encourager la rhétorique de la haine en agissant comme une plate-forme pour sa diffusion à grande échelle. »
Ils n’ont en revanche aucun état d’âme à encourager la haine d’Israël, de l’occident, et à dénoncer les « vices » de notre civilisation judéo-chrétienne.
Le chapitre 3 souligne les quelques évolutions positives en termes d’initiatives et autres mesures prises pour lutter contre l’islamophobie, à savoir :
« … La condamnation des discours de haine contre les musulmans par certains milieux sociaux, y compris de la part des chefs religieux non – musulmans. L’interdiction de séjour de conférenciers islamophobes dans un certain nombre de pays, invités à participer à des manifestations ou à des conférences incendiaires anti-musulmanes. »
A signaler que les prêcheurs de haine islamistes, qui justifient les châtiments prescrits par la charia, la lapidation des femmes adultères, le meurtre des apostats, des homosexuels, l’imposition de la charia à l’occident sont les bienvenus dans nos pays démocratiques, mais les défenseurs de nos libertés, comme Robert Spencer, Pamela Geller, Geert Wilders, et d’autres qui n’appellent ni à tuer, ni à haïr, eux sont interdits de séjour.
« Il a été noté avec satisfaction qu’un certain nombre d’organisations internationales, y compris l’UNESCO, l’OSCE et le Conseil de l’Europe, ont reconnu le danger posé par l’islamophobie et ont pris des mesures concrètes pour combattre ce fléau, notamment en établissant des lignes directrices pour les éducateurs sur la lutte contre l’intolérance et la discrimination contre les Musulmans. »
Le chapitre 4 porte sur les initiatives et les activités prises par l’OCI pour lutter contre l’islamophobie, lutte axée sur les efforts en cours de l’OCI pour promouvoir le processus d’Istanbul. Ce processus pervers que les pays musulmans s’efforcent avec acharnement de concrétiser, vise à criminaliser au niveau international toute critique de l’islam. L’objectif explicite du processus d’Istanbul est de faire inscrire dans le droit international une interdiction mondiale de tout examen critique de l’islam et de la loi islamique, la charia.
Au cours des dernières années, l’OCI s’est engagé dans une offensive diplomatique sans précédent, afin de convaincre les démocraties occidentales de faire appliquer par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU la résolution (HRC) 16/18, qui appelle tous les pays à lutter contre « l’intolérance, les stéréotypes négatifs et la stigmatisation de la religion et de la croyance. »
L’appel est terriblement hypocrite, car la seule religion concernée par cette offensive est l’islam.
La résolution 16/18 avait été adoptée au siège du Conseil des droits de l’homme (CDH) à Genève en Mars 2011 avec le soutien de l’administration Obama, en même temps que la résolution 66/16, qui fut discrètement approuvée lors de l’Assemblée nationale des Nations Unies le 19 décembre 2011 par les 193 membres.
Le rapport souligne l’importance de la résolution 16/18 comme un moyen pratique et efficace pour lutter contre le fléau de l’islamophobie, et toutes les formes d’intolérance, de stigmatisation, de discrimination.
Le chapitre 5 du rapport de l’OCI fournit un ensemble de conclusions et de recommandations, qui appellent les gouvernements occidentaux et les organisations internationales à prendre toutes les mesures nécessaires pour combattre la haine raciale ou religieuse, conformément à leurs obligations, établies par la Convention internationale sur les droits civils et politiques.
» Lutter contre les crimes haineux islamophobes, qui sont alimentés par les discours de haine propagés par les médias et sur l’Internet. » (Dreuz est visé)
Les prêches de haine, les appels à tuer les juifs et les chrétiens diffusés sur les sites islamistes et médias arabes, eux ne sont pas concernés. Ils n’intéressent pas l’OCI, car l’OCI ne cherche pas, en vérité, à combattre la haine raciale ou religieuse en général. Il veut seulement faire interdire la haine dirigée contre l’islam, et entend continuer à encourager celle qui est dirigée contre les infidèles.
« Prendre toutes les mesures nécessaires pour vous assurer que les médias ne servent plus de plate-forme pour la diffusion de discours de haine… en associant l’extrémisme et le terrorisme à l’islam et aux musulmans, mais qu’ils présentent la vraie nature positive de l’islam. »
Demain on nous obligera à faire leurs louanges pendant qu’ils décapitent nos soldats dans les rues européennes en nous expliquant que l’islam, ce n’est pas ça.
Les terroristes se revendiquent clairement de l’islam, hurlent fièrement allah akbar, et se définissent comme de vrais et pieux musulmans. Ils obéissent aux injonctions du coran, ne manquent jamais une des cinq prières quotidienne, et suivent le coran à la lettre quand ils exécutent des attentats, qu’ils égorgent, amputent et violent les ennemis de l’islam.
»Mettre en œuvre les dispositions de la résolution 16/18 du CDH par le mécanisme du processus d’Istanbul, car il offre une plate-forme favorable pour le débat, l’échange des meilleures pratiques de lutte contre l’islamophobie et le maintien d’une position commune et unifiée. Le rapport déclare que l’OCI et les États membres ne devraient faire preuve d’aucune complaisance, car le monde d’aujourd’hui est progressivement entraîné vers le précipice dangereux de l’intolérance galopante envers la diversité religieuse et culturelle, notamment l’islam et les musulmans. »
« L’OCI ne cesse d’avertir la communauté internationale sur ce danger clair et précis. »
« L’islamophobie doit être combattue au plus vite, afin d’assurer une coexistence pacifique, non seulement de nos jours, mais également pour les générations à venir, car son impact sur la paix et la sécurité régionale et mondiale suscite de graves préoccupations ».
Le rapport se termine par la transcription d’un discours du Secrétaire général de l’OCI, dans lequel il remercie l’Amérique et les leaders européens de le soutenir dans ses efforts pour limiter la liberté d’expression en Occident….
Enfin la vérité sur nos très démocrates islamophiles : ils collaborent avec l’OCI pour réduire, voire supprimer la liberté d’expression en Occident. Ils feignent d’ignorer que les musulmans se servent de nos lois démocratiques pour les détruire.
© Rosaly pour Dreuz.info.
Source : « OIC blames free speech for « Islamophobia in West” by Soren Kern (extraits traduits et adaptés)
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