Les Pays Bas qui osent défier les Nations unies de façon arrogante en maintenant une fête ancestrale (Saint Nicolas), dont quelques mondialistes ont dénoncé une supposée nature raciste, se distinguent encore ce matin (Telegraaf) dans le cadre d’une enquête d’opinion.
Le résultat d’un sondage révèle en effet que huit Néerlandais sur dix se déclarent opposés à l’ouverture du marché du travail pour les Roumains et les Bulgares prévue au 1 janvier 2014. Est-ce un hasard ? Dans le même journal, un article nous informe aussi qu’au cours de l’année 2013, environ 25.000 vélos électriques, d’une valeur estimée à 45 millions d’euros, furent dérobés selon des informations fournies par le principal assureur (Enra). Des bandes organisées (surprise !) seraient à l’origine de ces disparitions, principalement à destination de l’Europe… de l’est. L’enquête précise encore, faut-il s’en étonner, que 100 % des électeurs du parti de Wilders (PVV) se prononcent pour la fermeture des frontières, mais plus remarquable encore, les électeurs des autres partis vont globalement dans le même sens (VVD/parti libéral 91 %, SP/parti socialiste 82 %, PvdA/parti travailliste et CDA/chrétien-démocrate, 75 %) Même une courte majorité (53 %) des électeurs du parti pro-européen D66/libéraux-sociaux jugent déraisonnable d’ouvrir complètement les frontières.
Soyons toutefois assurés que la classe dirigeante néerlandaise, à l’image de l’ensemble des élites de ce continent, posera un royal séant sur ce que pense, ressent, et vit son peuple. Pour que vive l’Europe et survivent les privilèges d’élites totalement… à l’ouest !
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