Tunisie : Dans un jardin d’enfants géré par des islamistes, une fillette de 3 ans violée par un salafiste pédophile.
Cette affaire est comparée à celle de Marc Dutroux en Belgique :
Ce drame pédophile qui vient d’être révélé en Tunisie, est comparable à un film d’horreur à la sauce islamique : « Un jardin d’enfants illégal, un pédophile musulman qui sévit sur des innocents enfants. Une directrice qui alimente en chair fraîche le violeur, et un »gouvernement des pieux » qui est au courant et ne dit rien. »
Un salafiste de la secte de l’Islam, portant une Keffieh palestinienne, selon la mère de la victime, a violé sa fille de 3 ans dans un jardin d’enfant de la banlieue nord de Tunis.
Cet acte abominable a eu lieu il y a deux semaines, alors que le gouvernement islamiste tunisien a tenté d’étouffer l’affaire.
La mère de la victime a contacté les médias pour dire que sa fille a été victime d’attouchements sexuels graves, et que le sang coule au niveau de la vulve de la fillette.
Rentrée chez elle, souffrant de douleurs au niveau de ses organes génitaux, la victime a dit à sa mère qu’elle se sentait mal. En déshabillant sa fille, la maman a été choquée par les blessures et les tâches de sang qui couvraient son corps. Rapidement emmenée à la clinique, les médecins ont constaté les traces du viol.
Devant la police, la petite a raconté les détails de la cruelle agression. Lors de la reconstitution des faits, la police a constaté des traces de sang et de sperme sur le vêtement de la petite. La grand-mère de la petite fille a souligné que le médecin légiste a mentionné dans son rapport qu’elle a été violée au moins à 4 reprises.
Plus grave encore, la maman de la fillette violée a mentionné que le violeur, excité par les fillettes, travaillait à temps plein dans le jardin d’enfants.
Sihem Badi, la ministre de la Femme, a confirmé être au courant des détails du viol depuis deux semaines, mais ses services ont préférés éviter le scandale. La directrice du jardin d’enfants est une proche du parti islamique au pouvoir.
Selon la mère de la victime, la fillette de trois ans a non seulement été violée, mais a également été obligée à danser nue.
Néanmoins, la ministre de la Femme Tunisienne, au lieu de porter au secours à l’enfant, prétend que la directrice du jardin d’enfants n’a rien à voir avec cette affaire et qu’elle travaille dans la légalité.
La présidente de la Chambre Tunisienne des jardins d’enfants a, pour sa part, indiqué ce lundi dans une déclaration à une radio privée, que le jardin en question n’a pas de licence. Elle fait porter la responsabilité de ce qui est arrivé au ministère de la Femme et de l’Enfance. Elle a également porté de graves accusations concernant la directrice du jardin qui a confié à un salafiste la supervision des enfants. Elle a appelé à l’assigner en justice pour complicité de viol en association sur un enfant mineur et vulnérable.
Et réaction, les parents de la petite fille violée ont tenté, lundi 25 mars 2013, de faire irruption au Ministère de la Femme pour protester.
Le père de la victime a lancé un appel à la démission du Ministre suite à la révélation de cette affaire.
La ministre a affirmé qu’elle s’acquitte bien de sa mission et n’a aucune raison de démissionner. Les deux parents sont indignés par le fait que la ministre met ses deux fillettes à une école Française et »s’en fout des fillettes du peuple qui sont violées par des pédophiles ».
Beaucoup ont rejeté la responsabilité sur la ministre de la Femme, la très contestée Sihem Badi, qui a échoué dans sa mission de protéger l’enfance.
La société civile s’est mobilisé pour exiger la fermeture de ce jardin d’enfants. Des militants des Droits de l’enfance ont critiqué le fait que le gouvernement d’Ennnhda permet à ces structures illégales d’exister, et de fermer les yeux sur les agissements des salafistes, qui opèrent dans une totale impunité.
Ce jardin d’enfant n’est que la partie émergée de l’iceberg. Depuis la chute du régime laïque tunisien en 2011, ce genre d’établissement prolifère. On y enseigne le »Saint Coran » et la morale islamique !
Il faut ici rappeler que l’Islam est silencieux concernant le viol des enfants. Il n’y a pas de condamnation de la pédophilie par les experts islamiques. Dans une certaine mesure, la pédophilie est légitime et reconnue dans l’Islam, surtout sous l’apparence du mariage précoce de fillettes. Il n’y pas d’âge minimal.
Il y a une regèle dans les Ousoul ul Fiqh (les statuts légaux pratiques) qui annonce : « tout ce qui n’est pas dit est permis ».
Outre les allusions qui reviennent toujours à Mahomet et Aïcha (son épouse de 9 ans) qui sont sujettes à polémiques (il faut voir que pour l’époque ce n’était pas considéré comme un mal puisque Allah aurait demandé cette union d’après les experts musulmans), on peut comprendre réellement pourquoi la majorité des jurisconsultes musulmans expliquent ce silence dans la Sharia : s’ils condamnaient la pédophilie, ils devraient nécessairement commencer par condamner leur prophète !
Si l’acte de pédophilie n’est pas banni dans les pays musulmans, c’est aussi parce qu’il y a des théoriciens qui l’encadrent aujourd’hui via les mariages d’enfants où des jeunes filles sont contraintes à ces unions.
Le Grand Mufti d’Arabie Saoudite, Abdul-Aziz Al-Cheikh, a réaffirmé l’an dernier que les fillettes sont prêtes pour le mariage dés l’age de 10 ans, ajoutant que la loi islamique n’est nullement répressive pour les femmes.
Al-Cheikh a défendu, dans ses prêches, les pratiques de pédophilie : »un homme peut obtenir le mariage avec une jeune fillette non pubère, après l’acceptation de son tuteur légal. En revanche, il ne peut la pénétrer (par le vagin). Il doit le faire par l’autre orifice. »
Ghada Jamshir, une activiste du Bahreïn dans les Droits de l’Homme, a révèle en 2005 le cas de ces salafistes qui appliquant à la lettre la Sharia islamique (grâce aux vieux principe de « la réjouissance des petites ») qui leur autorisent de faire des alliances avec des fillettes de 3 ans et moins !
Yasser Brahmi, salafiste égyptien et membre du comité de la rédaction de la Constitution Égyptienne a lancé, le 25 septembre 2012, une fatwa sur la chaîne Dream en faveur du mariage des fillettes à partir de trois ans :
En Indonésie aussi, des hommes épousent des fillettes. Le mariage des fillettes est considéré conforme à la loi islamique ! Cette barbarie est soutenue au Yémen car conforme à la tradition voulue par l’Islam. En Afghanistan l’esclavage sexuel des jeunes est une tradition. Dans ce pays des petites filles sont vendues pour 500 euros, dès l’âge de 8 ans !
51 millions de fillettes « fiancées » dans le monde musulman
Le Centre International de Recherches des Femmes estiment qu’il existe 51 millions de “fillettes fiancées” dans le monde, pour la plupart en pays musulmans. 30% de ces petites fiancées sont battues par leur mari. 90% sont violées régulièrement. Tous les ans, 3 millions de ces fillettes musulmanes sont soumises à des mutilations. La pratique de cette pédophilie reçoit l’appui de l’Islam.
Le mois dernier, Dreuz avait publié l’histoire du prédicateur saoudien Fayhane al-Ghamedi qui avait violé sa propre fille âgée de 5 ans puis l’avait torturée et brûlée au fer à repasser (3).
En voyant ce qui arrive aux fillettes musulmanes violées sous le couvert de la religion, on peut comprendre pourquoi l’Occident a bien raison d’être islamophobe, et de se méfier de l’Islam où les crimes sexuels sont impunis.
© Souhail Ftouh pour www.Dreuz.info
- http://www.youtube.com/watch?
v=M_5gfL1xiwE&feature=share - Un prédicateur saoudien viole sa propre fille de 5 ans : dreuz.info/un-predicateur-saoudien-
viole-sa-propre-fille-de-5- ans/
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