mardi 2 avril 2013

Centreafrique : putch islamique

La République centrafricaine est la prochaine cible des musulmans , pourtant officiellement minoritaires dans le pays , ils se font encadrer par des milices musulmanes venues du tchad , de libye pour islamiser rapidement le pays
Wikipedia

Citation:
D'après le recensement de 2003, 80 % de la population est chrétienne, 10 % musulmane et 10 % animiste.


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Le gouvernement centrafricain a accusé jeudi l'alliance rebelle Séléka est parvenue à 160 km de Bangui d'être composée majoritairement de rebelles de la guerre du Tchad et du Darfour et ses leaders d'avoir des liens avec le wahhabisme, une forme rigoriste de l'islam.
"Si certains responsables de cette rébellion sont d'authentiques Centrafricains, il n'en est pas de même de la grande partie de la troupe constituée très largement des Toro Boro, les rebelles soudanais du Darfour. Il y a les résidus des forces du rebelle tchadien Mahamat Nouri qui a été expulsé de Khartoum. Plus d'autres combattants de morphologie libyenne", a déclaré le ministre de l'Administration territoriale Josué Binoua.
"M. Dhaffane et M. Nourredine, qui sont les deux principaux responsables de cette rebellion, ont étudié en Arabie Saoudite et au Qatar. Ils prônent le wahhabisme à qui veut l'entendre. Ils le prêchent", a ajouté le ministre.
Le wahhabisme est une doctrine rigoriste sunnite de l'islam d'origine saoudienne, voisine du salafisme.
"C'est pour cela que le gouvernement a dénoncé avec la dernière vigueur cette poussée des rebelles vers une guerre de religion. Notre interrogation reste intacte, sur le but réel et sur leurs motivations réelles", a-t-il ajouté.
Le gouvernement centrafricain a lancé ces accusations quelques jours avant des pourparlers avec les rebelles qui devraient s'ouvrir le 8 janvier à Libreville. Le régime du président François Bozizé a à plusieurs reprises qualifié l'offensive lancée le 10 décembre par la coalition de la rébellion d'agression provenant de l'extérieur.
Par ailleurs, une note de travail confidentielle du gouvernement de Bangui assure que M. Nourredine, "fils d'un imam" d'un quartier de Bangui, est un "ancien étudiant de l'Université islamique de Médine".

http://www.7sur7.be/7s7/fr/150...iste.dhtml
Ces aspects sont soigneusement occultés par nos médias

M. Dhaffane et M. Nourredine, qui sont les deux principaux responsables de cette rebellion, ont étudié en Arabie Saoudite et au Qatar. Ils prônent le wahhabisme à qui veut l'entendre. Ils le prêchent", a ajouté le ministre.
Le wahhabisme est une doctrine rigoriste sunnite de l'islam d'origine saoudienne, voisine du salafisme. [...]"


Crise en Centrafrique : « Nous sommes des enfants de la France, il faut qu’elle réagisse ! »

Pour la énième fois, la Centrafrique vit une grave crise. Les rebelles du Séléka, qui contrôlent les trois quart du pays, réclament la démission du président Bozizé. Les Centrafricains, eux, vivent quotidiennement dans la peur. Epuisés par les soubresauts récurrents de leur pays, ils sont nombreux à réclamer l’intervention de la France pour sortir leur pays de l’impasse. Afrik.com a recueilli leurs témoignages.

Selon un pasteur, «un terrible danger guette la Centrafrique à majorité chrétienne : l’islamisation» La plupart «des rebelles du Séléka sont musulmans. Il y a une main extérieure qui est derrière eux».

La peur. Les Centrafricains la ressentent tous. Elle est encore plus présente, en raison de la crise actuelle. Il est toujours difficile de les amener à se livrer sur la situation de leur pays. La plupart refusent de parler de la politique et du régime en place par peur des représailles et d’être mis sur écoute. Ici, pas question d’émettre la moindre critique contre le président Bozizé. Certains ont néanmoins osé se confier, à condition toutefois qu’on modifie leurs noms.

Epuisés par les troubles qui touchent régulièrement leur pays, les Centrafricains sont à bout de souffle. «La Centrafrique est une jungle ! Rien ne va ici. Nous sommes fatigués de ces crises politiques à répétitions ! Tous les cinq, huit ans, c’est la même chose !», fustige Dolomo, 32 ans, étudiant en sciences économiques et sociales. […]

Même son de cloche pour ce pasteur de 42 ans, qui a quitté récemment la ville de Bambari, sous le contrôle des rebelles, pour Bangui. «La France doit intervenir ne serait-ce que pour protéger les institutions du pays !» […]Le pasteur va même plus loin. Ils sont originaires de plusieurs nationalités. Certains viennent de Libye, du Soudan, du Tchad », affirme-t-il. «Nous vivons dans l’angoisse. Nous vivons la conquête de l’islam en Centrafrique !», renchérit-il. D’après lui, «chaque fois que les rebelles sont arrivés dans les villes qu’ils ont prises, ils ont tout détruit : les gendarmeries, les mairies, sauf les boutiques tenues par les musulmans.»

http://www.afrik.com/crise-en-...e-reagisse

Pourquoi la fille aînée de l'Église, qui a rejeté le Christianisme pour embrasser les babouches, répondrait-elle favorablement aux appels au secours de Chrétiens, de Centrafrique ou d'ailleurs ?
Si elle intervient, ce sera contre les Chrétiens.
Qatar le maître, veille. Tout comme l'Arabie Saoudite épie et guette dans l'ombre tel un serpent, pour s'assurer que son valet américain lui est bien obéissant.

 

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