lundi 18 mars 2013

Du nazisme aryen du XXème siècle au nazisme islamique du XXIème siècle

Quelques fidèles de LibertyVox m'ont demandé si je suis toujours en vie, pensant que seule la mort est capable de me réduire au silence. Je comprends leur inquiétude, sachant que selon la loi des statisticiens, je suis déjà statistiquement mort. Je les rassure donc. Si j'ai interrompu l'envoi d'articles à LibertyVox, c'est parce que je n'ai pas grand-chose à ajouter à ce que je dénonce depuis des années : le péril que représente pour notre civilisation le totalitarisme islamique, aggravé par l'implantation déferlante de l'islam en Europe et graduellement sur le continent américain. J'aurai donc l'air de me répéter et de me figer dans une idée fixe. Me méfiant des certitudes non vérifiées, y compris des miennes, j'ai donc préféré prendre du recul, laisser au déroulement des évènements le temps de confirmer, ou d'infirmer, mes prises de position jugées racistes, islamophobes et xénophobes par les éternels délateurs politiquement corrects, issus du même tonneau que leurs devanciers de "naguère" qui inondaient les Kommandanturs de leurs dénonciations anonymes.

Mes prises de position et mon "mode de pensée" m'ont aliéné l'amitié de trois ou quatre personnes que j'aimais bien ; ça prouve simplement qu'il m'arrive de me tromper sur les qualités que je prête aux gens que je prends naïvement pour des amis.

Ces gentilles personnes souffrent d'un fléau qui ravage et inhibe toute velléité de résistance à l'islamisme, tant violent que "modéré", qui gangrène la France : ce mal a pour nom "déni de réalité" qui n'est en fin de compte qu'un négationnisme suicidaire. Mais ils m'auront au moins incité à sortir de ma torpeur et de reprendre la plume. Les personnes âgées ne doivent surtout pas cesser de faire travailler leurs "méninges".

«Mort aux juifs ! Égorgeons les "Yahoud"», ce sont les cris, enregistrés, proférés répétitivement à quelque centaines de mètres de notre élyséen président le 15 septembre par les pieux et paisibles manifestants mahométans. Cet appel public au meurtre, en plein cœur de Paris, à portée de voix du palais présidentiel, ne révèle-il pas l'origine des innombrables agressions antisémites présentées de façon "politiquement correcte" comme des actes spontanés isolés ? De surcroît cette manifestation illégale, d'une spontanéité bien orchestrée et coordonnée, est téléguidée par la même mouvance déjà responsable du traitement empreint d'amour, de tolérance et de paix infligé à Benghazi aux diplomates américains, pourtant connus comme favorables à l'islam.

http://www.youtube.com/watch?v=gJZF-Vvv3wg

Je ne vois pas, pour ma part, en quoi le "film", médiocre parait-il, réalisé par un Egyptien copte qui a provoqué l'ire "spontanée" des foules musulmanes, puisse ternir l'image de l'islam. Le comportement, les actes, les crimes, le racisme de ces musulmans pur jus plaident déjà suffisamment contre cette religion que l'incroyable imprévoyance, la lâcheté ou la cupidité de nos responsables politiques, depuis Giscard jusqu'à Hollande en passant par Mitterrand, Chirac ou Sarkozy ont laissé, sans le moindre souci de sélection, s'implanter massivement et durablement en France. Or, le contribuable paie bien cher cette "chance pour la France".

A cause de ces politiciens bas de gamme, sans le moindre souci des conséquences des leur imbécillité, nous constatons que, dans notre pays où la notion de nationalité se confondait naguère avec celle de citoyenneté, nous voyons à présent la France divisée en deux nations : d'une part la nation française forgée par une riche histoire et unie par des valeurs communes, régie par la Constitution, le Code civil et animée d'un esprit de tolérance et de liberté absolue de conscience et, d'autre part, une nation islamique, la Oumma, régie par le Coran avec ce que ce manifeste de la haine et du mépris de "l'infidèle" comporte d'appels au Jihad. Voilà le résultat du rejet de l'Autre.

Mais attention, ce ne sont pas nous qui "rejetons", c'est l'islam qui incite ses adeptes à s'écarter de nous, à nous rejeter et conduit ainsi notre magnifique pays à se transformer en une sorte de vaste Bosnie ou de Kosovo. Lorsque de la Mer du Nord à la Méditerranée et des Pyrénées, de l'Alsace ou des Alpes à l'Atlantique, les "jeunes" des enclaves de plus en plus nombreuses et de plus en plus étendues perçoivent nos policiers comme une force d'occupation, les accueillent à coups de carabine et entreprennent de les lyncher, lorsqu’appelés pour colmater une fuite de gaz, les pompiers et plombiers doivent se déplacer sous la protection des policiers, lorsqu'un Juif se fait tabasser "es qualité" dans certains quartiers, on peut dire qu'une partie de la France est déjà colonisée et échappe à la loi et à l'autorité de la République. Et nos imposteurs officiels appellent ça "une chance pour la France".

Pour avoir dit quelque chose dans ce sens lors d'une interview (http://www.libertyvox.com/files/LibertyVox_Andre_Dufour_ITW_par_SR_111223.mp3), une auditrice au système nerveux fragile et dûment formatée par le politiquement correct munichois, a failli s'étrangler d'indignation, en me reprochant de tenir les même propos que les xénophobes et antisémites d'avant guerre. Et "je suffoque" ajoute-t-elle à cause de mon soutien à Israël alors que c'est la cause palestinienne qui se révèle la vache sacrée gravée dans son cerveau bloqué. Encore une citoyenne qui souffre d'un déni héréditaire de réalité, doublé d'une confusion mentale qui, naguère, avait inhibé chez son grand père toute volonté d'échapper à la chambre à gaz à laquelle il refusait de croire et, de surcroît, y a entraîné sa fille qui avait pourtant une chance d'en réchapper.

Dois-je rappeler à cette dame qui me reproche mon langage "xénophobe", que les immigrés de jadis auxquels elle se réfère pour défendre l'immigration actuelle, ne brûlaient pas les voitures, n'agressaient pas les instis, ne tiraient pas sur les policiers, ne molestaient pas les médecins qui soignaient leur épouse, ne faisaient pas de la propagande antisémites et leur éventuel antisémitisme ne se traduisait pas par un passage à l'acte, et quand ils n'avaient pas de papiers, ils ne manifestaient pas par crainte d'être expulsés ? A fortiori, ils ne bénéficiaient d'aucune aide sociale, d'aucune assurance maladie gratuite. Les immigrés de jadis venaient en France pour y travailler, s'informaient de nos valeurs, de notre culture et s'efforçaient de s'y conformer, de sorte que dès la première génération, leurs enfants se sentaient et devenaient Français. Un fort pourcentage des Français que nos "indigènes de la République" nomment avec mépris et un racisme impuni "les Souchiens", sont issus de cette immigration ; il n'en subsiste que les patronymes aux consonances ibériques, polonaises, flamandes, germaniques, magyares, vietnamiennes, italiennes pour rappeler leur origine… Cette intégration heureuse et harmonieuse des tous les immigrés ne butte à présent que sur un seul écueil, et il est de taille : l'Islam.

Ignorant la séparation entre le temporel et le spirituel, entre la foi religieuse et la politique, prétendant être la dernière révélation divine et donc la plus parfaite des religions qui, même tolérées ici ou là en terre d'islam, lui doivent allégeance, l'islam, à peine admis en France, exige que les Français se plient aux mœurs, coutumes et "valeurs" musulmanes. Ne nous étonnons donc pas si les "jeunes" gavés de cette fruste "culture" agressent les fonctionnaires, symboles d'une République dont ils contestent la souveraineté et l'autorité.

Ne nous étonnons pas si les activistes de cette population musulmane, dûment noyautée par des officines islamiques, se sentent désormais assez puissants pour défier l'autorité de la République, cette insolence s'appuyant sur leur nombre croissant et sur les pressions que les Etats musulmans exercent sur notre pays, en n'excluant pas la corruption de nombres de politiciens, de professionnels de l'agitprop souvent subventionnés par notre Etat par le biais d'organisations "antiracistes" et des professionnels de la communication.

En dépit de la désinformation officielle, les Français finissent par en pendre conscience et le temps est venu de réagir efficacement. Je ne sais pas quelle serait l'action la plus appropriée pour étouffer cette rébellion qui s'inscrit dans la mouvance du jihad mondial et qui, chez nous, tourne à la guérilla urbaine. Autrefois il était facile de localiser l'ennemi. Une frontière nous en séparait. Aujourd'hui l'ennemi est déjà implanté dans nos frontières. Or, ceux qui nous gouvernent traitent ce problème comme une manifestation de délinquance, du ressort du droit pénal, de la police et des juges. Tel fut déjà le cas en Algérie où, au début de l'insurrection, notre gouvernement, de gauche je crois mais c'est fortuit, parlait d'opérations de police avant d'en arriver à appeler la chose par son nom jusque là tabou : la guerre, guerre d'Algérie concrétisée par l'intervention de l'armée, contingent compris.

Or les troubles que la France subit ce temps-ci ne sont qu'un avatar local d'un phénomène à l'échelle mondiale : la guerre de l'islam, le jihad planétaire dont le signal le plus spectaculaire eut lieu le 11 septembre 2001 avec l'attaque ayant entrainé la destruction des Twin Towers de New York, entrainant la mort de plusieurs milliers d'employés. Mais notre pays n'est qu'un front parmi les autres fronts de la planète.

Le jihad attaque là où il peut, chaque puissance ayant son talon d'Achille. Le bobard du "film" blasphématoire qui sert de prétexte à la guérilla actuelle est d'inspiration purement nazie. Rappelons, à ceux que l'Histoire n'enseigne rien, qu'en 1939, Hitler a prétexté d'une prétendue attaque polonaise contre un poste frontière allemand pour se présenter comme agressé et pour lancer dans les minutes qui suivirent ses forces blindées et son aviation à l'assaut de la malheureuse Pologne. Rappelons surtout que c'est à la suite de plusieurs années consécutives de concessions et de gestes successifs d'apaisement de la part de la France et de la Grande Bretagne que Hitler s'est estimé assez fort pour déclencher la Deuxième Guerre mondiale.

Tous les nazismes, temporels ou religieux, recourent aux mêmes procédés : intimidation, chantage, agitprop, inversion des culpabilités, subversion, corruption d'hommes clef, subventions aux défaitistes et inhibition de la combattivité de l'ennemi.

Alors l'Histoire, pas si lointaine, devrait mieux inspirer nos responsables aux commandes de l'Etat. Les mesures et paroles d'apaisement accompagnées de gages de "bonne volonté" sont non seulement d'une totales inefficacité face à tout ce qui, de près ou de loin, pue le nazisme, mais au contraire le conforte et le pousse à faire monter les enchères. On a tort de ne plus enseigner à nos petits écoliers les Fables de la Fontaine. Le loup et l'agneau est pourtant une excellente leçon de realpolitik. "Si ce n'est toi, c'est donc ton frère" et sur ces paroles qui mettent fin au semblant de négociation, le loup dévore l'agneau. Rappelons nous aussi du conseil prodigué voici 2500 ans par le stratège Thucydide "l'épaisseur de la muraille importe moins que la volonté de la défendre". Ceux à qui la nation française a délégué son pouvoir en tireront-ils la leçon pour substituer à leur couarde velléité la ferme "Volonté de défendre la République française, une et indivisible" ?


© André Dufour pour LibertyVox

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