Quelques fidèles de LibertyVox m'ont demandé si je suis
toujours en vie, pensant que seule la mort est capable de me réduire au silence.
Je comprends leur inquiétude, sachant que selon la loi des statisticiens, je
suis déjà statistiquement mort. Je les rassure donc. Si j'ai interrompu l'envoi
d'articles à LibertyVox, c'est parce que je n'ai pas grand-chose à ajouter à ce
que je dénonce depuis des années : le péril que représente pour notre
civilisation le totalitarisme islamique, aggravé par l'implantation déferlante
de l'islam en Europe et graduellement sur le continent américain. J'aurai donc
l'air de me répéter et de me figer dans une idée fixe. Me méfiant des certitudes
non vérifiées, y compris des miennes, j'ai donc préféré prendre du recul,
laisser au déroulement des évènements le temps de confirmer, ou d'infirmer, mes
prises de position jugées racistes, islamophobes et xénophobes par les éternels
délateurs politiquement corrects, issus du même tonneau que leurs devanciers de
"naguère" qui inondaient les Kommandanturs de leurs dénonciations anonymes.
Mes prises de position et mon "mode de pensée" m'ont aliéné
l'amitié de trois ou quatre personnes que j'aimais bien ; ça prouve simplement
qu'il m'arrive de me tromper sur les qualités que je prête aux gens que je
prends naïvement pour des amis.
Ces gentilles personnes souffrent d'un fléau qui ravage et
inhibe toute velléité de résistance à l'islamisme, tant violent que "modéré",
qui gangrène la France : ce mal a pour nom "déni de réalité" qui n'est en fin de
compte qu'un négationnisme suicidaire. Mais ils m'auront au moins incité à
sortir de ma torpeur et de reprendre la plume. Les personnes âgées ne doivent
surtout pas cesser de faire travailler leurs "méninges".
«Mort aux juifs ! Égorgeons les "Yahoud"», ce sont les cris,
enregistrés, proférés répétitivement à quelque centaines de mètres de notre
élyséen président le 15 septembre par les pieux et paisibles manifestants
mahométans. Cet appel public au meurtre, en plein cœur de Paris, à portée de
voix du palais présidentiel, ne révèle-il pas l'origine des innombrables
agressions antisémites présentées de façon "politiquement correcte" comme des
actes spontanés isolés ? De surcroît cette manifestation illégale, d'une
spontanéité bien orchestrée et coordonnée, est téléguidée par la même mouvance
déjà responsable du traitement empreint d'amour, de tolérance et de paix infligé
à Benghazi aux diplomates américains, pourtant connus comme favorables à
l'islam.
http://www.youtube.com/watch?v=gJZF-Vvv3wg
http://www.youtube.com/watch?v=gJZF-Vvv3wg
Je ne vois pas, pour ma part, en quoi le "film", médiocre
parait-il, réalisé par un Egyptien copte qui a provoqué l'ire "spontanée" des
foules musulmanes, puisse ternir l'image de l'islam. Le comportement, les actes,
les crimes, le racisme de ces musulmans pur jus plaident déjà suffisamment
contre cette religion que l'incroyable imprévoyance, la lâcheté ou la cupidité
de nos responsables politiques, depuis Giscard jusqu'à Hollande en passant par
Mitterrand, Chirac ou Sarkozy ont laissé, sans le moindre souci de sélection,
s'implanter massivement et durablement en France. Or, le contribuable paie bien
cher cette "chance pour la France".
A cause de ces politiciens bas de gamme, sans le moindre
souci des conséquences des leur imbécillité, nous constatons que, dans notre
pays où la notion de nationalité se confondait naguère avec celle de
citoyenneté, nous voyons à présent la France divisée en deux nations : d'une
part la nation française forgée par une riche histoire et unie par des valeurs
communes, régie par la Constitution, le Code civil et animée d'un esprit de
tolérance et de liberté absolue de conscience et, d'autre part, une nation
islamique, la Oumma, régie par le Coran avec ce que ce manifeste de la haine et
du mépris de "l'infidèle" comporte d'appels au Jihad. Voilà le résultat du rejet
de l'Autre.
Mais attention, ce ne sont pas nous qui "rejetons", c'est
l'islam qui incite ses adeptes à s'écarter de nous, à nous rejeter et conduit
ainsi notre magnifique pays à se transformer en une sorte de vaste Bosnie ou de
Kosovo. Lorsque de la Mer du Nord à la Méditerranée et des Pyrénées, de
l'Alsace ou des Alpes à l'Atlantique, les "jeunes" des enclaves de plus en plus
nombreuses et de plus en plus étendues perçoivent nos policiers comme une force
d'occupation, les accueillent à coups de carabine et entreprennent de les
lyncher, lorsqu’appelés pour colmater une fuite de gaz, les pompiers et
plombiers doivent se déplacer sous la protection des policiers, lorsqu'un Juif
se fait tabasser "es qualité" dans certains quartiers, on peut dire qu'une
partie de la France est déjà colonisée et échappe à la loi et à l'autorité de la
République. Et nos imposteurs officiels appellent ça "une chance pour la
France".
Pour avoir dit quelque chose dans ce sens lors d'une
interview (http://www.libertyvox.com/files/LibertyVox_Andre_Dufour_ITW_par_SR_111223.mp3),
une auditrice au système nerveux fragile et dûment formatée par le politiquement
correct munichois, a failli s'étrangler d'indignation, en me reprochant de tenir
les même propos que les xénophobes et antisémites d'avant guerre. Et "je
suffoque" ajoute-t-elle à cause de mon soutien à Israël alors que c'est la cause
palestinienne qui se révèle la vache sacrée gravée dans son cerveau bloqué.
Encore une citoyenne qui souffre d'un déni héréditaire de réalité, doublé d'une
confusion mentale qui, naguère, avait inhibé chez son grand père toute volonté
d'échapper à la chambre à gaz à laquelle il refusait de croire et, de surcroît,
y a entraîné sa fille qui avait pourtant une chance d'en réchapper.
Dois-je rappeler à cette dame qui me reproche mon langage
"xénophobe", que les immigrés de jadis auxquels elle se réfère pour défendre
l'immigration actuelle, ne brûlaient pas les voitures, n'agressaient pas les
instis, ne tiraient pas sur les policiers, ne molestaient pas les médecins qui
soignaient leur épouse, ne faisaient pas de la propagande antisémites et leur
éventuel antisémitisme ne se traduisait pas par un passage à l'acte, et quand
ils n'avaient pas de papiers, ils ne manifestaient pas par crainte d'être
expulsés ? A fortiori, ils ne bénéficiaient d'aucune aide sociale, d'aucune
assurance maladie gratuite. Les immigrés de jadis venaient en France pour y
travailler, s'informaient de nos valeurs, de notre culture et s'efforçaient de
s'y conformer, de sorte que dès la première génération, leurs enfants se
sentaient et devenaient Français. Un fort pourcentage des Français que nos
"indigènes de la République" nomment avec mépris et un racisme impuni "les
Souchiens", sont issus de cette immigration ; il n'en subsiste que les
patronymes aux consonances ibériques, polonaises, flamandes, germaniques,
magyares, vietnamiennes, italiennes pour rappeler leur origine… Cette
intégration heureuse et harmonieuse des tous les immigrés ne butte à présent que
sur un seul écueil, et il est de taille : l'Islam.
Ignorant la séparation entre le temporel et le spirituel,
entre la foi religieuse et la politique, prétendant être la dernière révélation
divine et donc la plus parfaite des religions qui, même tolérées ici ou là en
terre d'islam, lui doivent allégeance, l'islam, à peine admis en France, exige
que les Français se plient aux mœurs, coutumes et "valeurs" musulmanes. Ne nous
étonnons donc pas si les "jeunes" gavés de cette fruste "culture" agressent les
fonctionnaires, symboles d'une République dont ils contestent la souveraineté et
l'autorité.
Ne nous étonnons pas si les activistes de cette population
musulmane, dûment noyautée par des officines islamiques, se sentent désormais
assez puissants pour défier l'autorité de la République, cette insolence
s'appuyant sur leur nombre croissant et sur les pressions que les Etats
musulmans exercent sur notre pays, en n'excluant pas la corruption de nombres de
politiciens, de professionnels de l'agitprop souvent subventionnés par notre
Etat par le biais d'organisations "antiracistes" et des professionnels de la
communication.
En dépit de la désinformation officielle, les Français
finissent par en pendre conscience et le temps est venu de réagir efficacement.
Je ne sais pas quelle serait l'action la plus appropriée pour étouffer cette
rébellion qui s'inscrit dans la mouvance du jihad mondial et qui, chez nous,
tourne à la guérilla urbaine. Autrefois il était facile de localiser l'ennemi.
Une frontière nous en séparait. Aujourd'hui l'ennemi est déjà implanté dans nos
frontières. Or, ceux qui nous gouvernent traitent ce problème comme une
manifestation de délinquance, du ressort du droit pénal, de la police et des
juges. Tel fut déjà le cas en Algérie où, au début de l'insurrection, notre
gouvernement, de gauche je crois mais c'est fortuit, parlait d'opérations de
police avant d'en arriver à appeler la chose par son nom jusque là tabou : la
guerre, guerre d'Algérie concrétisée par l'intervention de l'armée, contingent
compris.
Or les troubles que la France subit ce temps-ci ne sont qu'un
avatar local d'un phénomène à l'échelle mondiale : la guerre de l'islam, le
jihad planétaire dont le signal le plus spectaculaire eut lieu le 11 septembre
2001 avec l'attaque ayant entrainé la destruction des Twin Towers de New York,
entrainant la mort de plusieurs milliers d'employés. Mais notre pays n'est qu'un
front parmi les autres fronts de la planète.
Le jihad attaque là où il peut, chaque puissance ayant son
talon d'Achille. Le bobard du "film" blasphématoire qui sert de prétexte à la
guérilla actuelle est d'inspiration purement nazie. Rappelons, à ceux que
l'Histoire n'enseigne rien, qu'en 1939, Hitler a prétexté d'une prétendue
attaque polonaise contre un poste frontière allemand pour se présenter comme
agressé et pour lancer dans les minutes qui suivirent ses forces blindées et son
aviation à l'assaut de la malheureuse Pologne. Rappelons surtout que c'est à la
suite de plusieurs années consécutives de concessions et de gestes successifs
d'apaisement de la part de la France et de la Grande Bretagne que Hitler s'est
estimé assez fort pour déclencher la Deuxième Guerre mondiale.
Tous les nazismes, temporels ou religieux, recourent aux
mêmes procédés : intimidation, chantage, agitprop, inversion des culpabilités,
subversion, corruption d'hommes clef, subventions aux défaitistes et inhibition
de la combattivité de l'ennemi.
Alors l'Histoire, pas si lointaine, devrait mieux inspirer
nos responsables aux commandes de l'Etat. Les mesures et paroles d'apaisement
accompagnées de gages de "bonne volonté" sont non seulement d'une totales
inefficacité face à tout ce qui, de près ou de loin, pue le nazisme, mais au
contraire le conforte et le pousse à faire monter les enchères. On a tort de ne
plus enseigner à nos petits écoliers les Fables de la Fontaine. Le loup et
l'agneau est pourtant une excellente leçon de realpolitik. "Si ce n'est toi,
c'est donc ton frère" et sur ces paroles qui mettent fin au semblant de
négociation, le loup dévore l'agneau. Rappelons nous aussi du conseil prodigué
voici 2500 ans par le stratège Thucydide "l'épaisseur de la muraille importe
moins que la volonté de la défendre". Ceux à qui la nation française a délégué
son pouvoir en tireront-ils la leçon pour substituer à leur couarde velléité la
ferme "Volonté de défendre la République française, une et indivisible" ?
© André Dufour pour LibertyVox
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