Les autorités syriennes et les rebelles se sont accusés mutuellement ce mardi d’avoir utilisé des armes chimiques lors d’une attaque à Alep. La Maison Blanche affirme de son côté ne pas disposer de preuves de tels agissements.
Le régime syrien a accusé ce mardi les rebelles d’avoir tiré un missile équipé d’une tête chimique tuant plus de 20 personnes à Alep. C’est la première fois que le régime syrien porte une telle accusation contre les insurgés.
La Russie, un des rares alliés du régime de Bachar al-Assad, a indiqué avoir reçu des informations « en provenance de Damas sur un cas d’utilisation d’armes chimiques par des opposants armés dans la province d’Alep » (nord), se disant « très préoccupée » par ce développement.
L’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) a confirmé qu’un missile sol-sol avait visé une position militaire dans la localité de Khan al-Assal, en faisant état de 16 soldats et de 10 civils tués, sans pouvoir toutefois dire « si si ce missile contenait des matières chimiques ou pas ». La télévision officielle syrienne a parlé d’un nouveau bilan de 25 morts et plus de 110 blessés.
« Nous savons que l’armée (du régime) a visé Khan al-Assal en utilisant un missile de longue-portée », a déclaré un porte-parole de l’ASL, Louay Muqdad, qui participe à la réunion de l’opposition à Istanbul. « Nous ne pouvons pas encore confirmer si le missile contenait des armes chimiques ou non, mais nous pouvons clairement affirmer qu’il contenait des matériaux non conventionnels », a-t-il ajouté. « Il y a beaucoup de victimes et de nombreux blessés ont des problèmes de respiration », a indiqué M. Muqdad.
« Nous n’avons ni missile de longue portée, ni arme chimique. Et si on en avait, nous ne les utiliserions pas en prenant des rebelles pour cible », a souligné M. Muqdad.
Jay Carney, porte-parole de Barack Obama, a rappelé que le président avait déjà mis en garde depuis des mois le gouvernement syrien contre le recours à son stock d’armes chimiques. Voir de telles armes être utilisées par le régime Assad sur le théâtre du conflit constitue une source de « grave inquiétude », et serait « totalement inacceptable », a-t-il prévenu.
La communauté internationale avait multiplié les mises en garde à Damas contre un recours aux armes chimiques, plusieurs pays occidentaux et Israël ayant exprimé la crainte que ces armes ne tombent aux mains de certaines factions de l’opposition ou du Hezbollah chiite libanais.
Intervenant à la télévision, il s’en est pris à la Ligue arabe, la communauté internationale et les Etats qui « arment, financent et hébergent les terroristes ainsi que le gouvernement (turc) d’Erdogan et le Qatar après ce crime perpétré par les terroristes qui ont utilisé une arme prohibée par la loi internationale ».
« Utiliser ces armes venues de l’extérieur, à travers les frontières des pays voisins, prouve que les allégations de la France, de la Grande-Bretagne, du Qatar et de la Turquie sur la fourniture (aux rebelles) d’armes non létales sont des mensonges », a-t-il dit.
Ces derniers mois, les rebelles se sont emparés d’importants stocks d’armes appartenant à l’armée.
Début mars, près de 200 soldats et rebelles ont péri dans la bataille pour la prise de contrôle de l’académie de police à Khan al-Assal, prise alors par les insurgés. Il y a une semaine, l’armée a lancé une contre-offensive et repris une grande partie de la localité, selon l’OSDH.
Obama semble n'avoir aucune envie de s'enpetrer dans ce bourbier, un bon point pour lui.
La Maison Blanche dit ne détenir aucunes preuves, c'est un signe. Un signe qu'elle commence à sortir de ce bourbier, bourbier dont elle pensait avoir le dessus avec ses cover actions. Elle laisse ses amis frenchies and britton s'enfoncer dans un film dont la maison blanche et les russes ont écrit le scénario. le président des frenchies est vraiment un niait
La Russie, un des rares alliés du régime de Bachar al-Assad, a indiqué avoir reçu des informations « en provenance de Damas sur un cas d’utilisation d’armes chimiques par des opposants armés dans la province d’Alep » (nord), se disant « très préoccupée » par ce développement.
L’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) a confirmé qu’un missile sol-sol avait visé une position militaire dans la localité de Khan al-Assal, en faisant état de 16 soldats et de 10 civils tués, sans pouvoir toutefois dire « si si ce missile contenait des matières chimiques ou pas ». La télévision officielle syrienne a parlé d’un nouveau bilan de 25 morts et plus de 110 blessés.
Des accusations mutuelles
Les rebelles de l’Armée syrienne libre (ASL) ont démenti les accusations du régime syrien et ont renvoyé la responsabilité de cette attaque sur Damas.« Nous savons que l’armée (du régime) a visé Khan al-Assal en utilisant un missile de longue-portée », a déclaré un porte-parole de l’ASL, Louay Muqdad, qui participe à la réunion de l’opposition à Istanbul. « Nous ne pouvons pas encore confirmer si le missile contenait des armes chimiques ou non, mais nous pouvons clairement affirmer qu’il contenait des matériaux non conventionnels », a-t-il ajouté. « Il y a beaucoup de victimes et de nombreux blessés ont des problèmes de respiration », a indiqué M. Muqdad.
« Nous n’avons ni missile de longue portée, ni arme chimique. Et si on en avait, nous ne les utiliserions pas en prenant des rebelles pour cible », a souligné M. Muqdad.
Aucune preuve selon la Maison Blanche
La Maison Blanche a de son côté affirmé ne pas disposer de preuves sur une éventuelle utilisation d’armes chimiques par les rebelles en Syrie.Jay Carney, porte-parole de Barack Obama, a rappelé que le président avait déjà mis en garde depuis des mois le gouvernement syrien contre le recours à son stock d’armes chimiques. Voir de telles armes être utilisées par le régime Assad sur le théâtre du conflit constitue une source de « grave inquiétude », et serait « totalement inacceptable », a-t-il prévenu.
La communauté internationale avait multiplié les mises en garde à Damas contre un recours aux armes chimiques, plusieurs pays occidentaux et Israël ayant exprimé la crainte que ces armes ne tombent aux mains de certaines factions de l’opposition ou du Hezbollah chiite libanais.
Une « escalade dangereuse »
Le ministre de l’Information Omrane al-Zohbi a qualifié d’« escalade dangereuse, le tir par des terroristes d’un missile contenant des produits chimiques à partir de Kfar Daël dans la région de Naïrab (est d’Alep)vers la région de Khan al-Assal (ouest de la métropole) ».Intervenant à la télévision, il s’en est pris à la Ligue arabe, la communauté internationale et les Etats qui « arment, financent et hébergent les terroristes ainsi que le gouvernement (turc) d’Erdogan et le Qatar après ce crime perpétré par les terroristes qui ont utilisé une arme prohibée par la loi internationale ».
« Utiliser ces armes venues de l’extérieur, à travers les frontières des pays voisins, prouve que les allégations de la France, de la Grande-Bretagne, du Qatar et de la Turquie sur la fourniture (aux rebelles) d’armes non létales sont des mensonges », a-t-il dit.
Ces derniers mois, les rebelles se sont emparés d’importants stocks d’armes appartenant à l’armée.
Début mars, près de 200 soldats et rebelles ont péri dans la bataille pour la prise de contrôle de l’académie de police à Khan al-Assal, prise alors par les insurgés. Il y a une semaine, l’armée a lancé une contre-offensive et repris une grande partie de la localité, selon l’OSDH.
Obama semble n'avoir aucune envie de s'enpetrer dans ce bourbier, un bon point pour lui.
La Maison Blanche dit ne détenir aucunes preuves, c'est un signe. Un signe qu'elle commence à sortir de ce bourbier, bourbier dont elle pensait avoir le dessus avec ses cover actions. Elle laisse ses amis frenchies and britton s'enfoncer dans un film dont la maison blanche et les russes ont écrit le scénario. le président des frenchies est vraiment un niait
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