– Il a été l’un des chantres du Printemps arabe. Aujourd’hui, il déchante. L’écrivain algérien, Boualem Sansal (de profil sur la photo), qualifié fin 2010 par Le Magazine littéraire d’« écrivain solidaire du printemps arabe », estime aujourd’hui que le Printemps arabe est « une erreur ». Dans une interview publiée par Global Post le 29 mai, le lauréat 2011 du prix de la Paix des Libraires allemands, estime que les révolutions arabes représentent « une catastrophe dont seuls les islamistes vont tirer profit ».
Un auteur qui n’a pas hésité par le passé à comparer l’islam au national-socialisme, soulignant au passage les points communs entre cette religion et les nazis : « Il y a des similitudes énormes. Le concept de la conquête des âmes, mais aussi des territoires. Il y a aussi le concept d’extermination de tous ceux qui ne se soumettent pas à l’idéologie de l’Islam ».
Il y a deux ans, Boualem Sansal saluait le Printemps arabe comme une « révolution mondiale», en ajoutant : « Les gens veulent une démocratie universelle, authentique, sans frontières ni tabous. Ils rejettent les dictateurs, l’extrémisme, le pouvoir des marchés, l’emprise étouffante de la religion ». Aujourd’hui, c’est l’inverse : l’islam impose sa loi en Tunisie, en Egypte, en Libye et peut-être bientôt en Syrie. Le nouvel « espace vital » islamique ?
Un auteur qui n’a pas hésité par le passé à comparer l’islam au national-socialisme, soulignant au passage les points communs entre cette religion et les nazis : « Il y a des similitudes énormes. Le concept de la conquête des âmes, mais aussi des territoires. Il y a aussi le concept d’extermination de tous ceux qui ne se soumettent pas à l’idéologie de l’Islam ».
Il y a deux ans, Boualem Sansal saluait le Printemps arabe comme une « révolution mondiale», en ajoutant : « Les gens veulent une démocratie universelle, authentique, sans frontières ni tabous. Ils rejettent les dictateurs, l’extrémisme, le pouvoir des marchés, l’emprise étouffante de la religion ». Aujourd’hui, c’est l’inverse : l’islam impose sa loi en Tunisie, en Egypte, en Libye et peut-être bientôt en Syrie. Le nouvel « espace vital » islamique ?
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