Alors que l’impéritie gouvernementale s’impose chaque jour un peu plus aux yeux des populations sinistrées, la « Salamandre », l’organe de protection civile du mouvement Casapound, accentue son travail dans les désormais trois camps d’urgence qu’elle gère jours et nuits.
C’est de toute l’Italie qui viennent, à leurs frais, de jeunes militants pour participer à cette mission de solidarité de longue durée, la présence de la Salamandre sur les lieux de la catastrophe étant estimé à un minimum de deux mois.
Dans cette région pourtant historique de l’antifascisme le plus sanglant, la population locale apprécie tout particulièrement la présence des jeunes militants de Casapound qui réconfortent et rassurent notamment les personnes âgées parfois effarouchées par l’imposante présence immigrée dans les autres structures d’accueil.
De son côté le gouvernement de Mario Monti n’a pas trouvé d’autre solution que d’augmenter encore un peu plus le prix de l’essence, prétendument pour financer la reconstruction, ce dont doute légitimement la majorité des sinistrés quasiment abandonnés par l’Etat depuis les premières secousses sismiques.
Face à cette défection étatique et afin de développer son action et de la professionnaliser encore un peu plus, la Salamandre a aujourd’hui besoin de fonds et fait donc appel à la générosité nationale et européenne pour soutenir les bénévoles qui se relayent sur place.
Pour soutenir « La salamandre » et faire par un don un acte concret de solidarité européenne:
- La Salamandra (Roma). Iban IT76 G083 2703 2270 0000 0006 230
- Ou via Paypal (en précisant “Don pour la Salamandre”) : c’est ici.
Mardi, Mario Monti a affiché ses priorités. À 9 heures du matin, l’Émilie était secouée par un nouveau séisme, qui a encore aggravé la catastrophe humaine, économique et patrimoniale de cette malheureuse région. À midi, le premier ministre italien, flanqué de son ministre de la Coopération internationale et de l’intégration sociale, le catho-immigrationniste Andrea Riccardi, est allé, tout sourire, participer au déjeuner pour SDF de la communauté Sant’Egidio, au Transtévère (l’un des rioni de Rome, sur la rive droite du Tibre). Un déjeuner qui est l’emblème de la préférence étrangère, puisqu’il est essentiellement destiné aux immigrés, même si, avec la crise, de plus en plus de nouveaux pauvres italiens tentent désespérément d’y trouver une place. Selon le quotidien ex-communiste L’Unità la liste des hôtes « est pleine à craquer de Mohammed et de noms Rom ». Le déjeuner de Sant’Egidio avait du reste déjà fait la une des journaux le mois dernier, quand un Marocain, mécontent de devoir attendre pour se mettre à table, avait poignardé un serveur italien et un SDF «roumain ». Politiquement correct oblige, le porte-parole de la Communauté de Sant’Egidio avait alors parlé d’une « explosion de folie individuelle ».
Monti a posé complaisamment devant les caméras avec dans ses bras « Osman, deux ans et demi, né en Italie de parents sénégalais musulmans ». Pour L’Unità, « c’est le symbole de la journée ». Le premier ministre aurait également échangé des plaisanteries avec « Ivan », 36 ans, dont l’origine n’est pas précisée et que d’autres journaux présentent comme « retardé mental ». Monti a ensuite mangé le déjeuner commun : lasagnes, viande hachée avec pommes de terre et épinards, kiwi et fraises. Il est à présumer que tout était halal. Monti, en tout cas, a trouvé son repas « excellent ».
Cette ostentation immigrationniste risque d’aggraver encore le sentiment d’abandon des sinistrés de la région de Ferrare. Il y a quelques jours, l’un d’entre eux avait écrit au Corriere della Sera leur « rage de ne voir personne parmi les politiciens de premier plan, en dehors de la fugace apparition de Mario Monti, qui accomplisse la visite due à ce territoire ». Il faut dire que, lors du bref passage en question, après le premier séisme, Monti avait été copieusement hué et sifflé par les sinistrés, qui venaient de subir les mesures d’austérité imposées – aux Italiens – par le gouvernement : «Honte à vous, voleurs, vous pouvez rester chez vous ! » Pour essayer d’arranger les choses, le sous-secrétaire à la présidence du Conseil, Antonio Catricalà, avait cru habile d’expliquer : « Monti a été contesté, mais il l’aurait été aussi même s’il n’y avait pas eu de tremblement de terre ». Une fois rentré à Rome, peut-être sous l’effet de ces huées, le premier ministre avait annoncé que les maisons rendues inhabitables par le séisme seraient exemptées de taxe d’habitation cette année.
On comprend que Monti n’ait pas souhaité renouveler l’expérience et qu’il ait préféré aller se faire applaudir par les immigrés – et peut-être, parmi eux, un Italien retardé mental – à la communauté Sant’Egidio.
Image en Une : capture d’écran du site internet rainews24.it
C’est de toute l’Italie qui viennent, à leurs frais, de jeunes militants pour participer à cette mission de solidarité de longue durée, la présence de la Salamandre sur les lieux de la catastrophe étant estimé à un minimum de deux mois.
Dans cette région pourtant historique de l’antifascisme le plus sanglant, la population locale apprécie tout particulièrement la présence des jeunes militants de Casapound qui réconfortent et rassurent notamment les personnes âgées parfois effarouchées par l’imposante présence immigrée dans les autres structures d’accueil.
De son côté le gouvernement de Mario Monti n’a pas trouvé d’autre solution que d’augmenter encore un peu plus le prix de l’essence, prétendument pour financer la reconstruction, ce dont doute légitimement la majorité des sinistrés quasiment abandonnés par l’Etat depuis les premières secousses sismiques.
Face à cette défection étatique et afin de développer son action et de la professionnaliser encore un peu plus, la Salamandre a aujourd’hui besoin de fonds et fait donc appel à la générosité nationale et européenne pour soutenir les bénévoles qui se relayent sur place.
Pour soutenir « La salamandre » et faire par un don un acte concret de solidarité européenne:
- La Salamandra (Roma). Iban IT76 G083 2703 2270 0000 0006 230
- Ou via Paypal (en précisant “Don pour la Salamandre”) : c’est ici.
Pendant que l’Italie est ravagée par les tremblements de terre, Monti va déjeuner avec les immigrés
Mardi, Mario Monti a affiché ses priorités. À 9 heures du matin, l’Émilie était secouée par un nouveau séisme, qui a encore aggravé la catastrophe humaine, économique et patrimoniale de cette malheureuse région. À midi, le premier ministre italien, flanqué de son ministre de la Coopération internationale et de l’intégration sociale, le catho-immigrationniste Andrea Riccardi, est allé, tout sourire, participer au déjeuner pour SDF de la communauté Sant’Egidio, au Transtévère (l’un des rioni de Rome, sur la rive droite du Tibre). Un déjeuner qui est l’emblème de la préférence étrangère, puisqu’il est essentiellement destiné aux immigrés, même si, avec la crise, de plus en plus de nouveaux pauvres italiens tentent désespérément d’y trouver une place. Selon le quotidien ex-communiste L’Unità la liste des hôtes « est pleine à craquer de Mohammed et de noms Rom ». Le déjeuner de Sant’Egidio avait du reste déjà fait la une des journaux le mois dernier, quand un Marocain, mécontent de devoir attendre pour se mettre à table, avait poignardé un serveur italien et un SDF «roumain ». Politiquement correct oblige, le porte-parole de la Communauté de Sant’Egidio avait alors parlé d’une « explosion de folie individuelle ».
Monti a posé complaisamment devant les caméras avec dans ses bras « Osman, deux ans et demi, né en Italie de parents sénégalais musulmans ». Pour L’Unità, « c’est le symbole de la journée ». Le premier ministre aurait également échangé des plaisanteries avec « Ivan », 36 ans, dont l’origine n’est pas précisée et que d’autres journaux présentent comme « retardé mental ». Monti a ensuite mangé le déjeuner commun : lasagnes, viande hachée avec pommes de terre et épinards, kiwi et fraises. Il est à présumer que tout était halal. Monti, en tout cas, a trouvé son repas « excellent ».
Cette ostentation immigrationniste risque d’aggraver encore le sentiment d’abandon des sinistrés de la région de Ferrare. Il y a quelques jours, l’un d’entre eux avait écrit au Corriere della Sera leur « rage de ne voir personne parmi les politiciens de premier plan, en dehors de la fugace apparition de Mario Monti, qui accomplisse la visite due à ce territoire ». Il faut dire que, lors du bref passage en question, après le premier séisme, Monti avait été copieusement hué et sifflé par les sinistrés, qui venaient de subir les mesures d’austérité imposées – aux Italiens – par le gouvernement : «Honte à vous, voleurs, vous pouvez rester chez vous ! » Pour essayer d’arranger les choses, le sous-secrétaire à la présidence du Conseil, Antonio Catricalà, avait cru habile d’expliquer : « Monti a été contesté, mais il l’aurait été aussi même s’il n’y avait pas eu de tremblement de terre ». Une fois rentré à Rome, peut-être sous l’effet de ces huées, le premier ministre avait annoncé que les maisons rendues inhabitables par le séisme seraient exemptées de taxe d’habitation cette année.
On comprend que Monti n’ait pas souhaité renouveler l’expérience et qu’il ait préféré aller se faire applaudir par les immigrés – et peut-être, parmi eux, un Italien retardé mental – à la communauté Sant’Egidio.
Image en Une : capture d’écran du site internet rainews24.it
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