« on sait finalement que c’est un problème d’éclisse mais la façon dont on nous explique comment elle a été dévissée à travers ses vis, nous laisse penser qu’il y a maintenant deux causes : soit c’est une défaillance de la maintenance puisque cette éclisse a été visitée le 4 juillet, soit c’est un acte de malveillance.
On ne peut pas absolument exclure aujourd’hui qu’il y a eu un acte de sabotage sur cette éclisse surtout lorsqu’on voit la façon dont elle a été dévissée, la façon dont elle a été basculée pour entrer dans le cœur de l’aiguille. »
Fabian Tosolini :
« On peut mettre autant d’hommes que l’on veut sur le terrain. Si c’est un acte de sabotage, là on ne peut strictement rien faire. »
Fabian Tosolini :
Par contre, ce qu’on peut déjà dire, c’est qu’il faudra nécessairement avoir un « avant » et un « après Brétigny ».
Par contre, ce qu’on peut déjà dire, c’est qu’il faudra nécessairement avoir un « avant » et un « après Brétigny ».
Peut-être pas, Monsieur Tosolini, peut-etre pas…
Vendredi 12 juillet, un autre train de la SNCF déraillait, dont on a moins ou pas parlé, suite à un acte de « malveillance » comme disent les relativistes.
Des boulons de la voie ferrée ont été démontés, et une locomotive a quitté sa voie, à Fromental, près de Limoges. Aucune personne n’a été blessée. Le sabotage a été revendiqué dans un email envoyé par des « anti-nucléaires » (entendre par là des activistes payés par le lobby du pétrole), au journal Le Populaire1.
« La petite voie ferrée servant exclusivement à acheminer des déchets nucléaires jusqu’au site d’Areva de Bessines sur Gartempe a été mise hors d’état de fonctionnement. Ce geste entend dénoncer un site de stockage de déchets nucléaires qui ne dit pas son nom. Il est dangereux et et doit être démantelé ».
Le déraillement du train de Brétigny n’a peut-être pas encore livré tous ses secrets.
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
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