Selon le Pape François, nous devons accueillir les étrangers à la recherche d’une vie meilleure, leur ouvrir nos portes et nos cœurs.
Ne devrait-il pas demander aux étrangers à qui nous offrons l’hospitalité, de respecter nos lois, nos citoyens, nos démocraties ? Depuis l’ouverture de nos frontières aux immigrés non européens et malgré notre générosité à leur égard, les services de la lutte anti-terroriste et de la sécurité intérieure ne chôment pas et pour cause : guidées par la haine de l’Occident, les cellules terroristes islamistes ne cessent de se multiplier et menacent la sécurité et la stabilité de nos pays. Etrange façon de nous remercier.
Soeren Kern a analysé la situation en Italie dans un article « Italie : se battre pour Allah ». Hélas, la situation ne diffère pas de celle des autres pays occidentaux ayant accueilli de nombreux immigrés de confession musulmane. Certes, les islamistes représentent une minorité, du moins pour l’instant, mais nul besoin d’être nombreux pour semer l’horreur, la souffrance et la mort.
Selon les responsables italiens de la sécurité, certains jihadistes italiens ont des liens avec un groupe salafiste belge, Sharia4Belgium, et cherchent activement à recruter d’autres musulmans pour renverser la démocratie en Italie.
Les services chargés de la lutte antiterroriste surveillent activement plusieurs dizaines de musulmans « italiens », ayant acquis une expérience de combat en Syrie et prêts désormais à mener la guerre sainte, le jihad guerrier de conquête, en Italie.
Entre 45 et 50 « citoyens italiens » – pour la plupart des immigrants musulmans d’Afrique du Nord, venus chercher une vie meilleure en Italie, mais aussi certains convertis italiens à l’islam – ont combattu en Syrie aux côtés des forces rebelles anti-Bachar al-Assad.
De retour en Italie, ces jihadistes, dont plusieurs femmes, utilisent Internet pour diffuser la propagande jihadiste et entrer en relation avec d’autres islamistes radicaux.
Ces informations inquiétantes furent révélées après la mort en Syrie d’un Italien converti à la « religion de paix », un certain Giuliano Ibrahim Delnevo, âgé de 24 ans. Ce jeune, élevé dans la religion catholique, originaire de Gênes, fut touché par la grâce islamique et ébloui par la lumière du jihad, à l’âge de 20 ans, après sa rencontre avec une femme musulmane, lors d’un séjour au Maroc.
Dans une interview accordée au quotidien Il Giornale, le Directeur du Service de Renseignement et de la Défense (Servizio informazione Difesa SID), Giampiero Massolo avait déclaré que Delevo s’était de plus en plus radicalisé via la propagande islamique diffusée sur Internet.
Récemment, Denlevo avait commencé à publier sur YouTube des vidéos dans lesquelles il s’en prenait violemment aux caricaturistes de Mahomet. Visiblement intoxiqué par l’islam, Delnevo récitait des versets du coran et demandait au gouvernement italien de retirer ses troupes d’Afghanistan.
Delnevo s’était rendu en 2012 à la frontière entre la Turquie et la Syrie, où il était entré en contact avec un groupe de jihadistes tchétchènes, et il fut rapidement subjugué par le fondamentalisme islamique et l’idée de la guerre sainte.
En Septembre 2012, Delnevo publia la citation suivante de feu Abdullah Azzam – un prédicateur palestinien connu comme le «père » du Global Jihad – sur sa page Facebook :
« Nous sommes des jihadistes et le jihad est une obligation de croire en Allah »
En mars 2103, il remplaça sa photo su sa page FB par celle du logo du site tchétchène Kavkaz, bien connu pour sa propagande jihadiste.
En juin dernier, Delnevo fut retrouvé mort sur le lieu d’une bataille dans le nord de la Syrie. Le jihadiste avait enfin rejoint Allah et réalisé son rêve de devenir un martyr pour l’amour d’Allah.
Selon Massolo, Delnevo était un «loup solitaire» qui s’était auto- endoctriné.
Pour Massolo, même si le phénomène du recrutement de jihadistes est beaucoup moins répandu en Italie que dans d’autres pays européens, il est clair que la situation actuelle demande une vigilance extrême, car dans certains cas, les jeunes recrues décident d’agir et rejoignent les combattants jihadistes.
L’article publié par Il Giornalel, intitulé Le jeune italien mort au combat au nom d’Allah, résume bien la situation :
« La mort tragique de Giuliano D. nous rappelle non seulement combien nous sommes concernés par le conflit en Syrie, mais aussi par le risque que fait peser sur notre sécurité l’attrait fatal exercé par ce confit sur les musulmans vivant dans notre pays. Ceux qui reviendront seront transformés en combattants fanatiques, capables non seulement d’utiliser des armes et des explosifs, mais aussi prêts à porter atteinte à la sécurité intérieure de notre pays « .
«Cela s’était déjà produit une fois à l’époque de la guerre en Bosnie : des bénévoles musulmans de Milan décidèrent de rejoindre la brigade jihadiste internationale anti-Serbes. A leur retour, de nombreux Bosniaques rejoignirent la mosquée Viale Jenner à Milan, l’une des pierres angulaires d’ al-Qaïda en Europe. »
Depuis, les autorités italiennes, ont été confrontées à une interminable série de menaces jihadistes à travers le pays.
En Juin 2013, la police anti-terroristes de Brescia avait arrêté un blogueur marocain de 21 ans, accusé d’avoir incité les musulmans à mener le jihad contre l’Italie et la France.
Selon la police, le suspect avait créé une « branche italienne » de « Sharia4″ via son blog, Sharia4 Italy, et avait recherché des cibles potentielles pour lancer des attaques terroristes. Il avait exprimé un intérêt croissant pour le conflit en Syrie et avait fait part à un interlocuteur en ligne de son intention de rejoindre les jihadistes pour renverser Assad.
Le blogueur marocain avait également utilisé Internet pour s’instruire sur l’utilisation d’explosifs, d’armes et sur les techniques de guerre.
D’après la police, il avait développé une haine de l’Occident quand encore enfant, après les attaques terroristes contre les États-Unis en Septembre 2001, il fut traité de «terroriste» et de «taliban ».
En mai 2013, un tribunal de Brescia avait condamné Mohamed Jarmoune, un jihadiste marocain de 22 ans, à plus de cinq ans de prison pour avoir planifié des attaques terroristes contre la synagogue principale de Milan et des écoles juives. (La sentence avait été réclamée pendant plus de quatre ans par le procureur de la République.)
Jarmoune, qui vivait en Italie depuis l’enfance, avait été arrêté à Brescia en Mars 2012. Les inspecteurs avaient trouvé des documents sur son ordinateur étudiant les mesures de sécurité prises par la synagogue centrale de Milan. Il était également soupçonné d’avoir préparé des attentats et organisé des groupes terroristes par l’intermédiaire de réseaux sociaux en ligne.
Les procureurs avaient accusé Jarmoune d’incitation à la haine des populations occidentales, en particulier les non-croyants et les juifs et d’avoir fait l’apologie du terrorisme et de l’attentat-suicide, via la publication sur Internet de nombreuses vidéos sur l’entretien des armes et la préparation d’explosifs, et ce, dans le but d’inciter à commettre des attentats, tout en essayant de dissimuler son identité.
Lors de son procès, Jarmoune déclara au juge, à plusieurs reprises, qu’il était prêt à se sacrifier pour Allah.
En avril 2013, la police italienne arrêta quatre hommes soupçonnés de préparer des attentats terroristes en Italie et aux États-Unis. L’un des hommes arrêtés était un imam tunisien d’une mosquée d’Andria, dans le sud de l’Italie, abritant sa cellule terroriste. (Les mosquées ne sont-elles pas censées être des lieux de prière et les imams des « religieux » prêchant l’amour, la tolérance et la paix ???). Ces mosquées-casernes-centres de recrutement de jihadistes terroristes se multiplient partout en Occident, avec la béate bénédiction de nos apologistes du multiculturalisme, du vivre ensemble, de la tolérance à sens unique, au détriment des populations de souche.
Selon la police, les hommes recrutés, des immigrants illégaux, étaient envoyés dans des camps d’entraînement terroristes en Afghanistan, en Tchétchénie, en Irak et au Yémen. La police décrivit le groupe comme étant motivé par un féroce antisémitisme et une aversion profonde envers les pays d’infidèles, comme l’Italie et les U.S.A.
Les enquêteurs accusèrent les suspects d’accomplir un travail de prosélytisme et d’endoctrinement visant à former de nouvelles recrues, les préparant psychologiquement et idéologiquement, afin de pouvoir les envoyer, sur les terres du saint jihad, parfaitement opérationnels.
La police avait déclaré avoir intercepté des messages, des textes et des conversations téléphoniques faisant l’apologie du jihad :
« Le djihad est notre destin »… « Qu’Allah jonche le sol de nos corps pour sa noble cause »… «Je veux être déchiqueté… au nom d’Allah, je suis prêt »… « Les chevaux d’Allah courent pour le djihad »… « Allah prend mon sang et éparpille mon corps pour réaliser ton dessein. Amen. »… « L’Amérique a promis de nous battre, mais Allah nous a promis la victoire, et nous verrons laquelle des deux promesses sera réalisée. »
En Septembre 2012, les autorités italiennes expulsèrent deux jihadistes libyens suspectés de préparer des attaques contre des cibles à Rome et dans d’autres villes européennes.
Les deux hommes, âgés de 26 et 28 ans, avait été accueillis en Italie pour recevoir un traitement médical, suite aux blessures subies pendant la guerre civile qui conduisit à la chute du président libyen Mouammar Kadhafi en Octobre 2011. Ils étaient en convalescence, gracieusement logés dans des hôtels de Rome, aux frais des contribuables italiens qui eux subissent les affres d’une situation économique épouvantable.
Selon le ministère italien de l’Intérieur, les deux hommes attirèrent les soupçons par leur comportement radical. Ils furent expulsés pour avoir voulu planifier une attaque afin de venger la diffusion sur Youtube d’ un film américain qui avait ridiculisé le Prophète de l’islam.
D’après les enquêteurs, les deux hommes, suspectés d’entretenir des liens avec une milice salafiste opérant en Libye, avaient organisé des activités de prosélytisme et de propagande pour le djihad dans la communauté libyenne, afin d’obtenir des moyens matériels pour mener des attaques contre les intérêts occidentaux. (Ouvrons nos pays, nos cœurs à ceux qui nous haïssent, ils nous en seront éternellement reconnaissants … mais à leur manière, selon les préceptes de la charia)
Auparavant, en juillet 2012, l’ Italie avait expulsé un imam célèbre, officiant dans une mosquée de Pérouse, après avoir été libéré de prison, où il purgeait une peine de six ans pour infractions liées au terrorisme.
Le Marocain Mostapha El Korchi, l’ancien imam de la mosquée de Ponte Felcino, était connu pour ses sermons publics d’incitation au djihad guerrier contre les «croisés» et «infidèles».
El Korchi était aussi la figure centrale d’ une enquête conduite par le service anti-terrorisme italien, qui aboutit à son arrestation et à celle de deux associés marocains en 2007, et qui permit de saisir une grande quantité de matériaux, dont plus de 50 substances chimiques suspectes, destinées à la fabrication d’explosifs. La police découvrit également les cartes, portant diverses annotations, de six villes du centre et du nord de l’Italie, incluant Milan, ainsi que des plans du réseau d’alimentation en eau de l’Ombrie, ce qui laissait envisager la possibilité d’un attentant visant à empoisonner l’eau potable. Toute l’attention de la cellule islamiste semblait s’être focalisée sur ces six villes.
Toujours en juillet, la police de Venise arrêta un imam radical et trois Syriens accusés de trafic d’êtres humains : ils avaient fait venir clandestinement en Italie des jihadistes du Moyen-Orient….
En avril, la police de la ville de Pesaro arrêta Andrea Campione, âgé de 28 ans, un Italien converti à l’islam, pour la diffusion de matériel jihadiste, y compris la publication d’instructions sur la façon de mener des attaques terroristes. La police avait déclaré que Campione avait fait part de son intention de se rendre en Afghanistan pour rejoindre les talibans il. Il avait été arrêté alors qu’il s’apprêtait à quitter l’Italie pour le Maroc avec sa petite amie marocaine.
Les enquêteurs avaient également établi un lien entre Campione et Mohammed Jarmoune, le djihadiste marocain condamné pour avoir comploté une attaque contre la synagogue de Milan. Au cours du procès, les procureurs avaient présenté une série de courriels, échangés entre Jarmoune et une femme marocaine vivant aux Pays-Bas. Un email attira leur attention : «Quand j’aurais ma maison, vous et vos enfants vous vivrez avec nous… mais je suis un moudjahidine et vous devez être prête à tout. »
Merci à la politique d’immigration sauvage de masse, à l’apologie du multiculturalisme et au politiquement correct.
Et d’aucuns s’étonnent des résultats des récents sondages dans plusieurs pays européens, montrant la défiance croissante des citoyens envers l’islam et certains de ses acolytes, de plus en plus considérés comme de véritables menaces pour l’Occident, et hurlent à l’islamophobie. Ne devraient-ils pas plutôt se poser des question quant aux raisons de ce rejet de plus en plus virulent de l’islam en Occident ?
© Rosaly pour www.Dreuz.info
Source : Italy: « Fighting in the Name of Allah » by Soeren Kern (traduit et adapté par Rosaly)
Le Pape à Lampedusa
Pour certains, le Pape était dans son rôle et se référait aux textes de l’Evangile. D’autres, par contre, laissaient entendre que le discours du Pape à Lampedusa faisait grincer bien des dents. Certains ne comprenaient ni les reproches, ni l’appel à accueillir encore plus d’immigrés, dans un pays, frappé par une crise économique terrible, où les travailleurs pauvres étaient de plus en plus nombreux à devoir dormir dans leurs voitures, où les parents avaient de plus en plus de difficultés à subvenir aux besoins de leurs propres enfants, parfois même n’arrivaient pas à les nourrir normalement. Et l’argument donné par un prêtre, comme quoi pour le Pape François, il y avait toujours ailleurs des gens encore plus pauvres que nos pauvres, n’a pas convaincu les mécontents. Allez expliquer cela à ceux qui sont dans la misère dans leur propre pays !Il arrive un moment où il faut savoir dire stop à l’immigration de masse, sans quoi, nous courrons le risque d’une implosion sociale sans précédent, Il ne faut pas se leurrer, nombreux parmi ces réfugiés , risquent leur vie pour l’Eldorado européen, convaincus qu’en Europe, l’argent tombe du ciel. Parmi les réfugiés qui débarquent en nombre dans nos pays, il y a des musulmans pakistanais, erythréens et somaliens , qui sont loin d’être des musulmans « modérés ». Ils ne fuient aucune persécution, Ils viennent juste grossir les communautés d’intégristes musulmans, qui ne rêvent qu’à nous appliquer la charia. Ils pourraient émigrer vers les riches pays arabes partageant leur « foi » en Allah, comme l’Arabie saoudite, le Koweit, le Qatar, le choix est grand, mais non, ils viennent tous en Occident , qu’ils méprisent, et ce n’est pas un hasard. Parmi les violeurs de femmes occidentales, les fanatiques du crime d’honneur, et les défenseurs de la lapidation, et les jihadistes il y a de nombreux Pakistanais, Somaliens et Erythréens.
Il y a très peu de femmes parmi tous ces immigrés qui accostent à Lampedusa et je trouve cela étrange.
Notre devoir est certes d’aider les pauvres et nul ne peut reprocher à l’Occident encore chrétien de manque de générosité, mais il y a des limites à ne pas dépasser, surtout quand la survie de nos peuples est mise en danger par une immigration massive, aux valeurs incompatibles avec les nôtres et ouvertement hostiles à l’Occident.
Il serait de loin préférable d’accueillir les Chrétiens persécutés en terre d’islam, avec lesquels nous partageons les mêmes valeurs.
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