L’actualité est terrible pour Manuel Valls. Il avait déjà pris quelques libertés avec la loi de 1905, l’an passé, en se permettant d’inaugurer la mosquée de Pontoise, puis celle de Strasbourg. Rappelons que la loi de 1905 précise, dans son article 2, que la République ne reconnaît, ne salarie et ne subventionne aucun culte. Comme si cela ne suffisait pas, le bougre en avait rajouté en allant rompre le jeûne du ramadan à Paris, puis à Montauban.
Poursuivant dans cet élan, notre ministre de l’Intérieur a rompu le jeûne du ramadan à Paris ce mercredi (faut-il rappeler que cette tradition obscurantiste dérègle les économies des pays maghrébins, se traduit par de nombreux problèmes de santé, perturbe en France écoles et entreprises, et permet surtout aux plus radicaux des musulmans de fliquer les suspects). À Lyon, ce jeudi, poursuivant sa tournée de ruptures, il n’a pas hésité à délivrer deux messages : un « signe d’affection » aux fidèles mahométans qui pratiquent le jeûne, et une condamnation de la « montée des violences à l’égard des musulmans de France ».
Nous pensions qu’à Toulouse et Montauban, l’assassin était musulman. Nous avions remarqué que le militaire de La Défense avait été poignardé dans le dos par un converti musulman. Nous avions constaté qu’Ilan Halimi avait été torturé pendant vingt jours par le musulman Youssouf Fofana. Il nous avait semblé que la jeune Sohane Benziane avait été brûlée vive par un musulman. Nous avions cru remarquer que les attentats de la rue des Rosiers, de Copernic, du métro Saint-Michel étaient dus à des musulmans. Et nous avions cru remarquer que l’islam était première religion dans les prisons françaises, bien que les musulmans ne dépassent pas, selon les chiffres officiels, 10 % de la population du pays.
Mais, malgré ces constats accablants, se refusant à tout amalgame, à Lyon, le ministre a également apporté son matériel de cirage de babouches, en prétendant que le ramadan « fait partie de notre calendrier commun », que ce n’est pas seulement « un moment religieux », mais « un moment qui est aussi, je le crois, profondément républicain ». Toujours selon lui, le ramadan « marque également combien islam et République peuvent et doivent avancer ensemble ». On imagine les hurlements de Mélenchon, du Grand Orient de France, de la Libre Pensée si un ministre de la République parlait ainsi du carême. Là, nous avons eu beau tendre l’oreille, nous n’avons rien entendu.
Les disciples de la religion d’amour, de tolérance et de paix ont tenu à remercier Valls, à leur façon, ce vendredi, à Trappes. Des policiers ont osé contrôler, en plein ramadan, une paisible « niqabée ». Bien évidemment, le mari a pris la défense de son épouse, en tentant d’étrangler un policier. Son arrestation a déclenché les émeutes. Le commissariat a été attaqué. Valls a donné les consignes à même d’apaiser le climat : le mari violent a été relâché. On espère dans la foulée que les policiers seront réprimandés pour ce contrôle inopportun, et qu’il leur sera délivré un message clair : en période de ramadan, pas touche aux musulmans !
Les émeutes de Trappes et le camouflet qu’elles représentent pour lui n’empêcheront nullement Manuel Valls de continuer sa tournée de lèche-babouches dans toute la France, jusqu’à la fin du ramadan. L’armée française, lors de la fête de l’Aïd el-Fitr (fin du ramadan) octroiera une journée de congé supplémentaire aux soldats musulmans. Bref, plus la République recule, plus l’islam s’impose, plus Valls se prosterne, plus les islamistes se radicalisent.
Il fut un temps où la France était considérée comme la fille aînée de l’Église. Aujourd’hui, on ne sait plus comment la qualifier. Notre pays est-il devenu la fille aînée de l’islam ?
Poursuivant dans cet élan, notre ministre de l’Intérieur a rompu le jeûne du ramadan à Paris ce mercredi (faut-il rappeler que cette tradition obscurantiste dérègle les économies des pays maghrébins, se traduit par de nombreux problèmes de santé, perturbe en France écoles et entreprises, et permet surtout aux plus radicaux des musulmans de fliquer les suspects). À Lyon, ce jeudi, poursuivant sa tournée de ruptures, il n’a pas hésité à délivrer deux messages : un « signe d’affection » aux fidèles mahométans qui pratiquent le jeûne, et une condamnation de la « montée des violences à l’égard des musulmans de France ».
Nous pensions qu’à Toulouse et Montauban, l’assassin était musulman. Nous avions remarqué que le militaire de La Défense avait été poignardé dans le dos par un converti musulman. Nous avions constaté qu’Ilan Halimi avait été torturé pendant vingt jours par le musulman Youssouf Fofana. Il nous avait semblé que la jeune Sohane Benziane avait été brûlée vive par un musulman. Nous avions cru remarquer que les attentats de la rue des Rosiers, de Copernic, du métro Saint-Michel étaient dus à des musulmans. Et nous avions cru remarquer que l’islam était première religion dans les prisons françaises, bien que les musulmans ne dépassent pas, selon les chiffres officiels, 10 % de la population du pays.
Mais, malgré ces constats accablants, se refusant à tout amalgame, à Lyon, le ministre a également apporté son matériel de cirage de babouches, en prétendant que le ramadan « fait partie de notre calendrier commun », que ce n’est pas seulement « un moment religieux », mais « un moment qui est aussi, je le crois, profondément républicain ». Toujours selon lui, le ramadan « marque également combien islam et République peuvent et doivent avancer ensemble ». On imagine les hurlements de Mélenchon, du Grand Orient de France, de la Libre Pensée si un ministre de la République parlait ainsi du carême. Là, nous avons eu beau tendre l’oreille, nous n’avons rien entendu.
Les disciples de la religion d’amour, de tolérance et de paix ont tenu à remercier Valls, à leur façon, ce vendredi, à Trappes. Des policiers ont osé contrôler, en plein ramadan, une paisible « niqabée ». Bien évidemment, le mari a pris la défense de son épouse, en tentant d’étrangler un policier. Son arrestation a déclenché les émeutes. Le commissariat a été attaqué. Valls a donné les consignes à même d’apaiser le climat : le mari violent a été relâché. On espère dans la foulée que les policiers seront réprimandés pour ce contrôle inopportun, et qu’il leur sera délivré un message clair : en période de ramadan, pas touche aux musulmans !
Les émeutes de Trappes et le camouflet qu’elles représentent pour lui n’empêcheront nullement Manuel Valls de continuer sa tournée de lèche-babouches dans toute la France, jusqu’à la fin du ramadan. L’armée française, lors de la fête de l’Aïd el-Fitr (fin du ramadan) octroiera une journée de congé supplémentaire aux soldats musulmans. Bref, plus la République recule, plus l’islam s’impose, plus Valls se prosterne, plus les islamistes se radicalisent.
Il fut un temps où la France était considérée comme la fille aînée de l’Église. Aujourd’hui, on ne sait plus comment la qualifier. Notre pays est-il devenu la fille aînée de l’islam ?
Pierre
Cassen
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