Selon l’agence officielle Irna, 14 gardes-frontières iraniens ont été tué au cours de la nuit du 25 au 26 octobre lors d’un accrochage dans la région de Saravan (Sistan-Balouchistan), une zone montagneuse difficile d’accès, surtout fréquentée par des trafiquants de drogues et des rebelles armés du groupe sunnite Joundallah (soldats de Dieu).
Dans un premier temps, aucune certitude n’a été avancée au sujet des auteurs de cette attaque. Frontalière avec le Pakistan, la province du Sistan-Balouchistan est une zone de transit pour la drogue en provenance d’Afghanistan. Par ailleurs, au cours de ces dernières années, elle a été le théâtre de plusieurs actions meurtrières attribuées aux rebelles sunnites du Joundallah.
Quoi qu’il en soit, la réponse iranienne à cet accrochage n’a pas tardé. Le procureur général du Sistan-Balouchistan, Mohammad Marzieh, a annoncé l’exécution par pendaison de 16 rebelles “liés aux groupes hostiles à la République islamique d’Iran”, et détenus à la prison de Zahedan, le chef-lieu de cette province. “Nous avions averti les groupes rebelles que toute attaque visant la population civile ou les membres des forces de l’ordre ne resterait pas sans réponse”, a-t-il expliqué.
Ces informations ont par la suite été confirmées par Ali Abdollahi, le vice-ministre iranien de l’Intérieur, lequel a précisé que l’accrochage en question était le fait d’Iraniens “membres des groupes hostiles”. Par ailleurs, il a également indiquéy que trois militaires ont été pris en otage et emmenés au Pakistan à l’issue des combats.
Dans un premier temps, aucune certitude n’a été avancée au sujet des auteurs de cette attaque. Frontalière avec le Pakistan, la province du Sistan-Balouchistan est une zone de transit pour la drogue en provenance d’Afghanistan. Par ailleurs, au cours de ces dernières années, elle a été le théâtre de plusieurs actions meurtrières attribuées aux rebelles sunnites du Joundallah.
Quoi qu’il en soit, la réponse iranienne à cet accrochage n’a pas tardé. Le procureur général du Sistan-Balouchistan, Mohammad Marzieh, a annoncé l’exécution par pendaison de 16 rebelles “liés aux groupes hostiles à la République islamique d’Iran”, et détenus à la prison de Zahedan, le chef-lieu de cette province. “Nous avions averti les groupes rebelles que toute attaque visant la population civile ou les membres des forces de l’ordre ne resterait pas sans réponse”, a-t-il expliqué.
Ces informations ont par la suite été confirmées par Ali Abdollahi, le vice-ministre iranien de l’Intérieur, lequel a précisé que l’accrochage en question était le fait d’Iraniens “membres des groupes hostiles”. Par ailleurs, il a également indiquéy que trois militaires ont été pris en otage et emmenés au Pakistan à l’issue des combats.
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