La Commission européenne contre le racisme et l’intolérance (ECRI), a épinglé les Pays-Bas au sujet de son comportement non-islamique.
Il lui est reproché d’avoir globalement une attitude changeante par rapport à « l’intégration », mot correct pour « islamisation », mais que l’Union européenne s’obstine à utiliser, tout en produisant elle-même des rapports qui montrent que les communautés musulmanes refusent de s’intégrer pour ne pas abandonner leurs différences culturelles, et conseille – toujours en utilisant le mot intégration – à ses Etats membres, de se montrer plus tolérants, moins exigeants, moins « intégrants » envers ces communautés irritées qu’il leur soit demandé de renoncer à la moindre de leur tradition, religieuse ou pas.
La Commission européenne reproche aux Pays-Bas, notamment :
- d’avoir réduit ses subventions aux ONG anti-racistes et « anti-discrimination »,
- d’avoir augmenté le coût des permis de résidence,
- d’avoir durci les dispositions législatives pour l’établissement aux Pays-Bas,
- d’imposer des tests d’intégration jugés trop complexes aux étrangers qui risquent « d’empêcher le droit au regroupement familial » imposé par l’Europe à tous ses pays membres,
- de n’avoir aucune stratégie pour intégrer les Roms,
- de vouloir lutter contre les fraudes aux allocations familiales dont sont suspectés les immigrés,
- de vouloir pénaliser les Marocains des Pays-Bas qui ne déclarent pas leur patrimoine (s’il est supérieur à 21 000 euros) détenu au Maroc, afin de ne pas perdre leurs allocations sociales,
- d’avoir décidé, à partir du 1er janvier 2014, de calculer les impôts et allocations sociales des immigrés en prenant en compte le patrimoine, comme par exemple une maison et les comptes en banque situés au Maghreb,
- d’avoir décidé de supprimer l’enseignement des langues maternelles des immigrés dans les établissements scolaires primaires (la Convention européenne, qui a accepté dans les accords Eurabia d’installer durablement l’islam en Europe, exige, hypocrite, que les pays de l’union enseignent aux enfants des travailleurs migrants leur langue maternelle afin de faciliter « leur retour » au pays, alors qu’elle sait parfaitement que ces migrants ne reviennent pas dans leurs pays d’origine)
- de vouloir suspendre l’assurance maladie des Hollandais lorsqu’ils se trouvent à l’étranger, notamment les Marocains et les Turcs,
- de vouloir réduire de 40% les pensions de réversion allouées aux veuves des étrangers non-communautaires qui ne résident pas aux Pays-Bas,
- « Si quelqu’un fraude et que les services fiscaux le découvrent il devra payer une amende de 300% sur la période remontant à 2001 », précise Abdou Menebhi, président du Centre euro-méditerranéen immigration et développement (EMCEMO),
Et, plus généralement, la Commission européenne reproche aux Pays Bas de dépeindre de plus en plus l’islam, dans les médias et le discours politique, comme une menace pour la société néerlandaise,
L’ECRI a donné aux Hollandais un délai de 2 ans pour corriger leurs déviances.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hervé Roubaix pour Dreuz.info.
http://www.coe.int/t/dghl/monitoring/ecri/Country-by-country/Netherlands/NLD-CbC-IV-2013-039-FRE.pdf
Quelle preuve faut-il de plus pour comprendre que l’UE est 1) malfaisante 2) dictatoriale ? L’une des simagrées unionistes de l’UE (singeant les Etats-Unis) est sa devise « Unie dans la diversité » qu’il faut en réalité lire « Désintégrés dans la bouillie infâme (qu’ils le veuillent ou non) ».
Beaucoup insistent sur le rôle de l’Union dans la paix ininterrompue que nous connaissons depuis 1945 mais ce long cessez-le-feu se paye avec notre liberté. Et devinez à quoi mène la perte de la liberté?
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