Osvaldo Marsico, le plus haut diplomate argentin en poste à Londres a été convoqué hier, mercredi 29 février par le ministère des Affaires étrangères britannique pour s’expliquer notamment sur le boycott d’entreprises britanniques décidé par son pays.
Une décision qui a pour origine le contentieux territorial entre les deux pays sur les îles Malouines.
Mais, prévient le gouvernement de David Cameron, rien ne le fera changer d’avis sur la question des îles Falkland.
Comme toujours depuis le début des escarmouches diplomatiques entre Buenos Aires et Londres, la réplique britannique se veut mesurée mais ferme : le Premier ministre David Cameron n’a pas voulu intervenir personnellement, mais a tenu à marquer le coup en convoquant au ministère des Affaires étrangères le plus haut diplomate argentin en poste à Londres, pour « une petite explication ».
Une décision qui a pour origine le contentieux territorial entre les deux pays sur les îles Malouines.
Mais, prévient le gouvernement de David Cameron, rien ne le fera changer d’avis sur la question des îles Falkland.
Comme toujours depuis le début des escarmouches diplomatiques entre Buenos Aires et Londres, la réplique britannique se veut mesurée mais ferme : le Premier ministre David Cameron n’a pas voulu intervenir personnellement, mais a tenu à marquer le coup en convoquant au ministère des Affaires étrangères le plus haut diplomate argentin en poste à Londres, pour « une petite explication ».
En cause : non seulement le boycott de produits britanniques par une vingtaine de grandes entreprises argentines mais aussi, la décision d’interdire à deux navires de croisière de faire escale dans la ville d'Ushuaïa, parce qu’ils avaient auparavant visité les Malouines.
Par l’intermédiaire d’un porte-parole, le gouvernement britannique a aussi regretté « la politique de confrontation menée par l’Argentine plutôt que de coopération ». Une attitude jugée contre-productive et une erreur de jugement quant à la détermination de Londres sur la question des îles appelées ici Falkland.
En clair, comme il l’a déjà fait savoir à maintes reprises, le gouvernement de David Cameron ne s’engagera pas dans des discussions sur la souveraineté des Malouines. Rien ne le fera changer d’avis, pas même la prise de position surprenante de l’ancien bassiste des Pink Floyd, Roger Waters, qui a apparemment souhaité que les îles soient rendues à l’Argentine et s’est dit embarrassé par le passé colonial britannique.Encore un artiste qui a sans doute honte d'être blanc et d'être occidental.
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