A Johannesburg en Afrique du Sud, la 29ème édition de la CAN (Coupe d’Afrique des Nations) s’est achevée dimanche soir par le sacre du Nigeria.
Les Super Eagles ont dominé le Burkina Faso 1-0. Des stades vides, des rencontres soporifiques avec des matchs nuls à la pelle, un arbitrage catastrophique… la CAN 2013 ne restera pas dans les annales du ballon rond.
Mais cette compétition qui fêtait ses 53 ans d’existence, dédiée à la « promotion du panafricanisme », a marqué le triomphe d’un football identitaire.
Dimanche soir, sur le pelouse du Soccer City, les 22 acteurs du match étaient d’authentiques africains. Un contraste saisissant avec le football européen que l’UEFA (Union européenne des associations de football), dirigé par Michel Platini, veut métissé à outrance au nom de la « lutte contre le racisme ». Une dialectique souscrivant en réalité à l’immigration de masse qui frappe le continent européen.
Les Super Eagles ont dominé le Burkina Faso 1-0. Des stades vides, des rencontres soporifiques avec des matchs nuls à la pelle, un arbitrage catastrophique… la CAN 2013 ne restera pas dans les annales du ballon rond.
Mais cette compétition qui fêtait ses 53 ans d’existence, dédiée à la « promotion du panafricanisme », a marqué le triomphe d’un football identitaire.
Dimanche soir, sur le pelouse du Soccer City, les 22 acteurs du match étaient d’authentiques africains. Un contraste saisissant avec le football européen que l’UEFA (Union européenne des associations de football), dirigé par Michel Platini, veut métissé à outrance au nom de la « lutte contre le racisme ». Une dialectique souscrivant en réalité à l’immigration de masse qui frappe le continent européen.
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