Hier mardi 24 septembre, Elyes Ben Aboubakeur, 43 ans, a été condamné par la cour d’assises du Rhône à 10 ans de réclusion pour avoir en pleine rue de Saint-Fons, tenté d’égorger – en fait il tentait de la décapiter – son épouse le 25 juin 2011.
10 ans, cela veut dire qu’il sort dans 4 ans et qu’il peut recommencer.
L’homme, constate le président du tribunal, ne s’est pas intégré depuis son arrivée en France en 2005. Il vit et pense selon la sharia de l’islam – vous savez, cette culture qui enrichit la France, et qui autorise l’homme à laver l’honneur de la famille en tuant les femmes infidèles et les jeunes filles qui fréquentent des garçons. Cette semaine, par exemple, le conseil des droits de l’homme palestinien a publié qu’en Judée Samarie, 34 filles et femmes ont été tuées l’année dernière – par lapidation, égorgement, ou autre, pour des crimes d’honneur – non punis par la loi.
Donc Aboubakeur a décidé, un jour de marché, de laver son honneur – sa femme voulant divorcer , avec « une violence inouïe dans un contexte de rumination » expliquera Véronique Escalano, l’avocat général, en réclamant 10 à 15 ans de réclusion expliquant que « les coups de couteau portés à trois reprises à la gorge, en présence des enfants, dans la voiture étaient la signature d’un guet-apens réfléchi ».
D’ailleurs Aboubakeur avait acheté le matin même les deux couteaux sacrificiels, et pas pour préparer un barbecue pour ses petits…
La cour a également conclu à « une altération légère» du discernement de l’accusé au moment des faits. Les juges ont besoin d’une meilleure formation : la France a changé, les criminels aussi, ils sont surtout immigrés, et arrivent avec des « altération légères » que l’on appelle aussi les enseignements de l’islam. Si vous doutez, allez faire du shopping au centre commercial Westgate de Nairobi, ou allez prier à l’église à Peshawar…
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
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