jeudi 12 septembre 2013

Poutine: "Les rebelles syriens ont utilisé l'arme chimique pour provoquer une intervention"

Le président russe met en garde contre l'usage de la force qui " est inacceptable et constituerait un acte d'agression."
Le président russe Vladimir Poutine estime dans le New York Times que ce sont les rebelles syriens, et non l'armée du régime de Bachar al-Assad, qui ont utilisé des armes chimiques le 21 août près de Damas, dans le but de provoquer une intervention des Etats-Unis. "Il y a toutes les raisons de croire que (le gaz toxique) a été utilisé non pas par l'armée syrienne, mais par les forces d'opposition, pour provoquer une intervention de leurs puissants soutiens étrangers, qui se seraient mis du même côté que les fondamentalistes", affirme le président russe dans une tribune publiée par le quotidien américain et diffusée mercredi soir.
Vladimir Poutine estime que la Syrie ne fait pas l'objet d'une lutte pour la démocratie, mais d'un "conflit armé entre le gouvernement et l'opposition dans un pays multireligieux".
Le président russe met en garde contre l'usage de la force qui, en dehors de la légitime défense ou d'une décision du Conseil de sécurité de l'ONU, "est inacceptable (...) et constituerait un acte d'agression", après que Washington eut reporté un projet de frappes militaires contre Damas pour examiner une initiative russe de démantèlement de l'arsenal chimique syrien.
Le président russe agite également le spectre d'une déstabilisation régionale. Des frappes en Syrie pourraient déclencher selon lui une "nouvelle vague de terrorisme, (saper) les efforts multilatéraux pour résoudre le problème nucléaire iranien et le conflit israélo-palestinien, et déstabiliser davantage le Proche-Orient et l'Afrique du Nord", affirme en outre le dirigeant russe.
Vladimir Poutine appelle les Etats-Unis à "saisir l'occasion de la volonté" de la Syrie de démanteler son arsenal chimique syrien, tel que proposé par Moscou.
"J'accueille favorablement l'intérêt du président (américain) à poursuivre le dialogue avec la Russie sur la Syrie", ajoute-t-il.
Le président Obama a annoncé mardi vouloir donner une chance à la diplomatie et repoussé le projet de frappes punitives contre la Syrie.

Ces mêmes rebelles syriens (en réalité, beaucoup de djihadistes proches d'Al Qaeda) dont les peuples chrétiens sur place disent qu'ils les maltraitent et les appellent "les croisés".

C'est à eux que Hollande donne des armes depuis un an et c'est eux que l'occident veut aider aujourd'hui.

Ils vont en faire un Irak-bis et toutes les armes offertes par Flamby discrètement à ces rebelles finiront par revenir en Europe...dans les cités via les jeunes djihadistes. Ils s'en serviront pour commettre des attentats et des braquages sur le sol européen. Flamby peut être fier d'avoir armé les "gang de Roubaix" de demain. Tous ces futurs flics et civils blessés ou tués par des armes françaises.

Le reste des armes offertes par la France, ça servira à lutter contre les USA en Afghanistan et en Irak....ou dans le prochain pays du coin où l'administration US voudra jouer au cowboy justicier.

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