En Espagne,
des jihadistes menacent de perpétrer des attentats en Catalogne, si la loi sur l’interdiction de la burqa dans l’espace public était votée.
Fidèles à leur stratégie de victimisation et de stigmatisation, forts de leur présence de plus en plus massive en Occident et persuadés que tout leur dû de par leur appartenance à la meilleure communauté qui soit – paroles d’Allah – les Musulmans en Occident font reculer les Autorités par la menace de manifestations et d’émeutes, et bien sûr par ce qu’ils savent faire de mieux : l’attentat. En s’appuyant sur nos lois, ils exigent pour eux la liberté et la tolérance – qu’ils refusent totalement aux non musulmans chez eux – tout en s’opposant au respect de nos lois, qu’ils considèrent comme liberticides et discriminatoires à leur encontre.
suite à une pétition signée par des milliers d’élèves et l’annonce de manifestations, un lycée a renoncé à son projet de bannir le voile intégral. Une femme a même été autorisée à comparaître en niqab devant un tribunal, respect de la « religion » islamique oblige.
Cette tolérance nauséabonde et servile, face aux exigences de plus en plus nombreuses des musulmans, est complétée par une intolérance abjecte pour les symboles chrétiens, traités avec le plus grand mépris par les mêmes mollusques, qui s’aplatissent devant les symboles politiques de la conquête musulmane : voiles, burqas, niqabs, coran, mosquées, minarets.
un groupe jihadiste affilié à Al –Qaïda a menacé de lancer des attaques terroristes en Catalogne, région autonome au nord-est de l’Espagne qui abrite la plus grande concentration d’islamistes radicaux d’Europe, si la loi interdisant le port de la burqa et du niqab était votée.
Les menaces ont été émises par un groupe appelé « Africamuslima » en réponse aux efforts déployés par les législateurs catalans pour accroître la surveillance des salafistes radicaux qui cherchent à imposer la loi islamique de la charia en Espagne et dans d’autres parties de l’Europe.La Catalogne, – une région de 7,5 millions d’habitants- abrite la plus grande population musulmane d’Espagne. Pire, La plupart des 450.000 musulmans de Catalogne sont originaires du Moyen -Orient,d’Afrique du Nord et d’Asie du Sud. « De nombreux musulmans vivant en Catalogne sont des célibataires fainéants, inscrits au chômage et représentent des proies faciles pour les recruteurs jihadistes ».
Malgré cela, les Responsables catalans ont récemment redoublé d’efforts pour améliorer la surveillance des groupes salafistes dans la région.
Le 27 août dernier, la police catalane («Mossos d’ Esquadra») a mené un «recensement» afin d’identifier et enregistrer les femmes musulmanes portant la burqa islamique ou le niqab.
Selon les médias locaux, le ministre de l’Intérieur catalan, Ramon Espadaler, justement convaincu que ces vêtements islamiques peuvent constituer un indicateur de la propagation du salafisme en Catalogne – a ordonné aux membres des Mossos de rédiger un rapport, à chaque fois qu’ils aperçoivent une femme en burqa ou portant le niqab.
La burqa: un indicateur du processus de radicalisation en coursPour Espadaler, il est nécessaire de créer une «liste d’indicateurs » permettant de suivre le processus de radicalisation en cours. Il a averti qu’il existe un « risque cible » de radicalisation dans les zones musulmanes de la Catalogne et a précisé que la collecte de données sur le port de la burqa et du niqab fait partie des exigences imposées aux Mossos, afin de rester vigilants.
Le porte-parole du gouvernement catalan, Franceso Homs, a défendu cette initiative en expliquant que « la police a l’obligation de savoir ce qui se passe dans le pays. »
Le 18 Juillet, le Parlement catalan a approuvé un projet de loi qui interdit le port de la burqa islamique dans tous les espaces publics. Cette interdiction sera intégrée à la nouvelle loi bannissant le port de vêtements qui ne permettent pas l’identification des individus dans les espaces publics. Elle sera présentée au Parlement début 2014.
Afin d’éviter toute accusation de stigmatisation des Musulmans, dont on connaît l’extrême sensibilité, le ministère de l’Intérieur Catalan a encadré l’interdiction de la burqa dans le cadre de la sécurité publique. Il a dès lors étendu l’interdiction au port de toute formes de vêtements couvrant le visage, y compris les masques et casques de moto, dans les lieux publics.
En Février 2013, la Cour suprême espagnole avait décidé qu’une ordonnance municipale interdisant le port de la burqa islamique dans les espaces publics était inconstitutionnelle. Pour le Tribunal Supremo, basé à Madrid, la ville catalane de Lérida avait outrepassé ses pouvoirs en imposant une interdiction de la burqa en Décembre 2010. Le tribunal a en outre affirmé que l’interdiction de la burqa constitue une limitation du droit fondamental à l’exercice de la liberté de religion, qui est garanti par la Constitution espagnole.
Cette décision, qui selon le «Tribunal Supremo» traitait d’un problème profondément politique, a représenté une victoire importante pour les musulmans en Espagne. Même si on ne connait pas exactement le nombre de femmes portant la burqa, la décision de la Cour a encouragé les Musulmans à continuer leurs efforts pour instaurer l’islam comme un système religieux et politique dominant en Espagne.
Reste à voir si la Catalogne va réussir à contourner la décision de la Cour suprême en recadrant le débat sur la burqa, comme un problème de sécurité publique et non comme une restriction à la liberté de religion.
Le projet d’interdiction de la burqa a déjà suscité la colère des jihadistes salafistes, déterminés à briser toute résistance à la montée de l’Islam en Espagne.
Dans un document de trois pages, daté du 28 Août, Africamuslima critique violemment « les décisions « nazies » du gouvernement catalan ».
- «Faire des musulmans les boucs émissaires pour justifier les défaillances institutionnelles et économiques de la Catalogne en interdisant la burqa, est un acte qui ne restera pas impuni.»
- « Nous avons noté la haine et les mauvais traitements subis par la communauté musulmane en Catalogne de la part du gouvernement et de ses sbires [Mossos] »
- « Nous avons suivi la situation dans l’espoir qu’elle allait changer. Toutefois, la seule chose que nous ayons observé c’est une augmentation de la maltraitance de la communauté musulmane, qui n’a pas son égal dans toute l’Europe. »
Le document pose une série de questions rhétoriques :
- « Ils » parlent de démocratie et les autorités catalanes veulent s’ingérer dans la façon dont les femmes musulmanes s’habillent».
- «Quelle sera la prochaine décision : la mise en place de camps de concentration pour les musulmans qui refusent de porter les types de vêtements dictés par le gouvernement catalan ? »
- le refus de permis pour la construction de mosquées ;
- la détention arbitraire de Musulmans ;
- l’appui institutionnel et financier aux organisations promouvant une idéologie nazie, dont l’objectif est clairement celui d’intimider la communauté musulmane ;
- l’exclusion des chômeurs musulmans des services de santé et du système de protection sociale ;
- l’exclusion des enfants musulmans des repas gratuits dans les écoles publiques.
Le document conclut en exhortant les médias catalans, ainsi que les élites politiques et culturelles catalanes, à « se distancier du discours raciste et xénophobe incendiaire » qui promeut « la peur de l’autre. »
« Blâmer les musulmans ne résoudra pas vos problèmes économique, mais vous portera malheur. » [il n'est pas question ici de superstition mais d'attentats terroristes]. Le document ajoute que pour toutes mesures prises contre les femmes musulmanes, ce seront les intérêts catalans à l’intérieur comme à l’extérieur qui en subiront les conséquences. »
Le texte est signé par un certain Karim Al- Maghribi. Selon les analystes du Renseignement espagnol, cet homme vit certainement en Catalogne, au vu de ses connaissances des problèmes sociaux de la région.
Ramon Espadaler, le ministre de l’Intérieur Catalan, a déclaré que l’interdiction de la burqa n’a rien à voir avec des « questions religieuses. Ce n’est pas une interdiction générale. Cela ne nous mènerait nulle part et nous porterions atteinte aux droits fondamentaux. » Il a ajouté : «Nous voulons être sensibles… nous voulons un débat prudent, subtil et clair afin de trouver un consensus. »
Un consensus avec les Musulmans, cela relève du rêve. Les Autorités prennent une décision, mais ils enfilent les gants blancs de la prudence…
L’islam s’impose par la peur de la violence qu’il provoque. Les adeptes de l’idéologie islamo-nazie profitent de nos lois, de notre tolérance pour avancer leurs pions. Ils se plaignent de stigmatisation, se voient en victimes du nouveau nazisme, menacent, exercent le chantage, afin d’obtenir le droit de continuer à imposer leurs exigences islamiques aux non Musulmans.
Et les non Musulmans, limités dans leurs décisions par leur propres lois et leur tolérance suicidaire, n’osent pas imposer d’une manière ferme les mesures nécessaires au respect de nos lois. Dès lors, ils se sentent obligés d’enrober leurs décisions d’une couche de dhimmitude, afin de ne pas blesser l’inexistante « sensibilité » des Musulmans.
Ainsi, à Berlin, fêter Noël dans la rue vient d’être interdit :
Les berlinois, excédés par les prières des musulmans en pleine rue, notamment à la fin du ramadan, ont fait appel aux élus locaux, qui, toujours pour ne pas froisser les musulmans, n’ont rien trouvé de mieux que d’interdire toutes manifestations religieuses : pas seulement celles des musulmans, mais aussi les fêtes chrétiennes.
Source :” Spain: Jihadists Threaten Catalonia over Burqa Ban” Soeren Kern (traduit, adapté et commenté par Rosaly)
© Rosaly pour www.Dreuz.info
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