Avertissement : vous vous apprêtez à lire quelques unes des déclarations les plus choquantes exprimées publiquement par Obama. Certaines ont déjà été largement diffusées et commentées, d’autres sont assez obscures.
Même s’il se dit chrétien, au cours de sa carrière politique Obama a maintes fois et violemment critiqué le christianisme traditionnel, et son parcours est émaillé d’une longue suite d’actions anti chrétiennes.
Lors de discours officiels, il a, à plusieurs reprises, jeté le doute sur la Bible, répété qu’il ne voyait pas en quoi Jésus était nécessaire au salut de l’Homme. (Pour un Chrétien, il s’agit d’une affirmation étrange, car il est bien écrit : « : Je suis la voie, la vérité et la vie, et personne ne vient à mon Père si ce n’est par moi ) (Jean 14, 6).
Par contre, Obama se réfère toujours à Mahomet comme « Le Prophète », il exprime à la moindre occasion son grand amour et son immense respect pour l’islam.
Suite aux plaintes des diverses organisations islamiques américaines affiliées aux Frères musulmans, dont le tout puissant CAIR, l’Administration Obama a ordonné de retirer tout le matériel de formation utilisé par les forces de l’ordre et les agences de sécurité, afin d’en éliminer toutes les références à l’islam, jugées offensantes pour les musulmans. L’une des conséquences tragiques en fut l’attentat du marathon de Boston.
En quoi le leader du monde libre croit-il ? En l’islam ? Au christianisme ? En lui-même ?
Jugez par vous-même, avec ces vingt déclarations de Barack Hussein Obama sur l’islam :
1. L’avenir ne doit pas appartenir à celui qui dénigre le prophète.
2. Le son le plus doux que je connaisse est celui du muezzin appelant à la prière.
3. Nous transmettons notre profonde admiration pour cette grande et célèbre culture islamique, qui a tellement contribué au cours des siècles à façonner le monde, y compris mon propre pays.
4. En tant qu’étudiant en histoire, je sais ce que la civilisation doit à l’islam.
5. L’islam a une fière tradition de tolérance.
6. L’islam a toujours fait partie de l’Amérique.
7. Nous encouragerons davantage d’Américains à étudier dans les communautés musulmanes.
8. Ces rituels islamiques nous rappellent les principes que avons en commun, ainsi que le rôle de l’islam dans la progression de la justice, de la tolérance, du progrès et du respect de la dignité de tous les êtres humains.
9. L’Amérique et l’islam ne sont pas exclusifs et l’un ne doit pas nécessairement empiéter sur l’autre. Bien au contraire, ils partagent les valeurs communes de justice, de progrès, de tolérance et de respect de la dignité de tous les êtres humains.
10. Je le dis clairement, l’Amérique n’est pas et ne sera jamais en guerre avec l’islam.
11. L’islam n’est pas le problème dans la lutte contre l’extrémisme violent, bien au contraire, l’islam contribue à la promotion de la paix.
12. J’ai connu l’islam sur 3 continents, avant de venir dans la région où il fut d’abord révélé. Cette expérience guide ma conviction.
13. Les communautés musulmanes ont toujours été à l’avant plan de l’innovation et de l’éducation, que ce soit par le passé ou de nos jours.
14. Tout au long de l’histoire, l’islam a prouvé en paroles et en actes sa tolérance religieuse et le respect de l’égalité raciale.
15. Le Ramadan est la célébration d’une foi connue pour sa grande diversité et son égalité raciale.
16. Le saint coran nous dit : « Oh vous l’Humanité : nous vous avons créé mâle et femelle et nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous puissiez vous connaître les uns et les autres.
17. Je me réjouis de prendre part à un dîne d’iftar, célébrant le ramadan à la Maison Blanche et je vous souhaite un mois plein de bénédictions.
18. Nous avons vu les bienfaits apportés par des générations d’immigrés musulmans : les agriculteurs et les ouvriers d’usine, les travailleurs qui construisirent les chemins de fer, les maçons qui édifièrent nos villes, les musulmans innovateurs qui aidèrent à la construction de nos plus hauts gratte ciel et ceux qui contribuèrent à percer les secrets de notre univers.
19. Cette expérience guide mes convictions que le partenariat entre l’Amérique et l’islam doit être basé sur ce qu’est l’islam et non sur ce qu’il n’est pas. Et je considère que c’est ma responsabilité, en tant que président des USA, de lutter contre tous les stéréotypes négatifs diffusés sur l’islam, peu importe où ces derniers apparaissent et se propagent.
20. Je sais aussi que l’islam a toujours fait partie de l’histoire d’Amérique.
Plusieurs de ces déclarations sur l’islam sont des mensonges. Elles ont déjà été commentées et réfutées par les journalistes et les lecteurs de Dreuz.
Mais ces déclarations n’ont aucune portée si l’on ne les rapproche pas de celles qu’il a faites sur le christianisme.
Voici donc vingt déclarations de Barack Hussein Obama sur le christianisme :
1. Peu importe ce que nous fûmes, nous ne sommes plus une nation chrétienne. (je ne suis pas certaine que cela soit partagé par tous les Américains)
2. Nous ne nous considérons plus comme une nation chrétienne.
3. Quels passages des Evangiles devrait guider notre politique publique ? Devrions-nous suivre le Lévitique, qui suggère que l’esclavage est une bonne chose ou que la consommation de coquillages est une abomination. Ou devrions-nous suivre le Deutéronome, qui suggère de lapider votre enfant s’il s’éloigne de sa foi ?
Notez la malhonnêteté intellectuelle d’Hussein Obama lorsqu’il se réfère aux Lois de Moïse :
• Dans le Judaïsme, ni l’esclavage, ni la lapidation pour apostasie ((Deutéronome 17,2-7) ou pour blasphème contre le nom de l’Eternel ((Deutéronome 13,6-11) ne sont plus d’application depuis plus de deux millénaires, par contre dans l’islam, ils sont toujours d’actualité et ce de façon continue depuis le VIIe siècle jusqu’à hier soir. Le ou les auteurs du coran se sont inspirés de ces passages de la Torah pour en faire des lois immuables, en occultant les textes explicatifs et ceux qui réglementaient l’esclavage. Ce dernier n’avait rien en commun avec l’esclavage pratiqué par les Romains et l’esclavage arabo-musulman toujours en vigueur en terre d’islam.
• Selon la loi de Moïse, il s’agissait de la possibilité de se vendre pour servir et payer sa dette, et l’esclavage était, en réalité, un service limité à 7 ans, contrairement à la servitude oppressive des Israélites en Égypte (début de l’Exode). En outre, le Deutéronome 15 montre que Dieu incitait à ce que s’installent des relations de bonté et d’attachement mutuels entre maître et serviteur :
Exode 21 - Les lois sur les esclaves hébreux
L’Eternel dit a Moïse : Voici les lois que tu exposeras au peuple:
• Lorsque vous achèterez un esclave hébreu, son service durera six ans ; la septième année, il partira libre, sans avoir rien à payer.
• S’il était célibataire en entrant à votre service, il partira seul. S’il était marié, sa femme partira avec lui.
• Si son maître lui a procuré une femme et qu’elle lui a donné des fils ou des filles, la femme et ses enfants resteront la propriété de son maître, lui seul partira libre,
• mais si le serviteur déclare : «J’aime mon maître, ma femme et mes enfants, je renonce à partir libre»,
• alors le maître prendra Dieu à témoin et fera approcher l’homme du battant de la porte ou de son montant et lui percera l’oreille avec un poinçon et cet homme sera son esclave pour toujours.
• Si un homme a vendu sa fille comme servante, elle ne sera pas libérée dans les mêmes conditions que les esclaves.
• Si elle déplaît à son maître qui se la réservait, il la fera racheter, mais il ne pourra pas la vendre à des étrangers. Ce serait la trahir.
• S’il l’a destinée à son fils, il la traitera selon le droit qui s’applique à des filles.
• Si, après l’avoir épousée, il prend une deuxième femme, il ne retranchera rien à la nourriture et à l’habillement de la première, ni à son devoir conjugal envers elle.
• S’il lui refuse l’une de ces trois choses, elle pourra partir libre, sans paiement.
4. Même ceux qui reconnaissent l’infaillibilité de la Bible font la distinction entre les lois bibliques – les Dix Commandements – ou – la croyance en la divinité du Christ – qui sont au cœur de la foi chrétienne, et d’autres, culturellement plus spécifiques et qui peuvent être modifiées pour s’adapter à la vie moderne.
5. Le peuple américain comprend cela de façon instinctive et c’est la raison pour laquelle la majorité des Catholiques pratiquent la contraception, et ceux qui refusent le mariage gay s’opposent néanmoins à un amendement de la Constitution pour l’interdire. Les Autorités religieuses ne doivent pas accepter cette sorte de sagesse pour conseiller leurs troupeaux, mais ils devraient reconnaître cette sagesse dans leurs politiques. (Obama oubliera soigneusement d’offrir ses précieux conseils aux Autorités religieuses musulmanes, qui rejettent sans appel le mariage gay)
6. Extrait du livre d’Obama « The Audacity of Hope » : Je ne puis accepter que l’Etat nie à certains citoyens américains le droit à une union civile, une union qui leur octroierait des droits équivalents à d’autres citoyens, comme les consultations dans un hôpital ou la couverture de l’assurance maladie, pour la simple raison qu’ils aiment quelqu’un du même sexe. Je refuse une lecture de la Bible qui considère un verset obscur d’une épître aux Romains, plus important pour le christianisme que le Sermon sur la montagne.
(Hussein Obama n’oublie pas que le mariage gay est strictement interdit dans l’islam. Mais c’est l’interdiction faite par le christianisme qu’il stigmatise. Et si le christianisme s’oppose au mariage gay, en contradiction avec les Saintes Ecritures, il ne persécute pas les homosexuels, ne les jette pas du haut d’une falaise, ne les pend pas à une grue, n’appelle pas à les tuer lors des sermons le dimanche ou dans les prêches télévisées. Le sort réservé aux homosexuels par les adeptes de l’islam, et dont il ne fait pas mention, ne le choque donc pas ? Les homosexuels qui n’avaient pas remarqué son silence apprécieront.
7. A la question qui lui fut posée, quant à sa définition du péché, il répondit : « ne pas être conforme à mes valeurs. Obama se prendrait-il pour un dieu, et il ne fait pas référence à la bible.
8. S’il suffisait de proclamer : « je crois en Jésus Christ et je crois qu’il est mort pour mes péchés» pour tout régler, alors les gens n’auraient plus besoin d’aller à l’église, n’est-ce-pas ? (c’est une nouvelle façon d’exprimer sa foi en Christ ?)
9. J’ai eu de sérieux débats avec mes amis chrétiens. Selon moi, la difficulté avec n’importe quelle religion, y compris le christianisme, c’est l’appel à évangéliser et à faire du prosélytisme. Dans certains quartiers, le gens pensent être condamnés à aller en enfer, s’ils ne reconnaissent pas le Christ comme leur sauveur personnel.
(Rosaly : Dans l’islam, le prosélytisme est obligatoire, il fait partie du jihad de conquête. Quant à la peur de l’enfer, elle est inhérente à l’islam, religion d’interdits. Celui qui transgresse un interdit sera puni non seulement sur terre, mais également après la mort. Le coran décrit avec délectation les tourments atroces auxquels le pécheur sera confronté, et l’enfer de Dante est une promenade de santé comparé à la description de l’’enfer islamique.)
10. Il m’est très difficile de croire que mon Dieu vouerait à l’enfer les 4/5e de l’humanité. Je ne peux imaginer que mon Dieu enverrait brûler pour l’éternité un enfant hindou, qui n’a jamais été en contact avec la foi chrétienne. Cela ne fait pas partie de ma vision religieuse.
(Rosaly : c’est le dieu lune, Allah, qui condamne les non musulmans à l’enfer et non le Dieu des Juifs et des Chrétiens, qui lui jugera croyants et incroyants, chacun selon ses actes.)
11. Je ne prétends pas savoir ce qui se passera après la mort. Mais je ressens très profondément le sentiment que quelle que soit la récompense ici et maintenant ou après dans l’au-delà, le fait de conformer ma foi à mes valeurs est la voie à suivre.
12. Comme je l’ai dit précédemment et je sais que cela soulève des questions dans l’esprit des évangélistes, je ne crois pas que ma mère, qui, à ma connaissance, n’a jamais embrassé le christianisme, soit allée en enfer.
13. Ceux qui s’opposent à l’avortement invoquent simplement la volonté de Dieu. Ils doivent expliquer pourquoi l’avortement viole un principe, qui est accessible aux gens de toutes les croyances.
(Rosaly: l’avortement est strictement interdit par l’islam. Là encore, c’est l’interdit par le christianisme que Obama mentionne. Curieux non ?)
14. Quant à son soutien au mariage civil pour les gays, Obama déclare : « si pour certains, ce sujet suscite la polémique, alors je les renvoie au Sermon sur la Montagne. »
(Rosaly: je ne vois pas le rapport entre le mariage gay et les Béatitudes. Les musulmans s’opposent catégoriquement et sans appel à l’union civile entre deux personnes du même sexe. Pour eux, c’est une abomination. En terre d’islam, les gays sont condamnés à mort, faut-il le répéter, où Obama dira « allo, je n’entends pas », afin d’accuser le Christianisme d’intolérance.)
15. Dans certaines petites villes de Pennsylvanie et du Midwest, les emplois se sont évaporés depuis 25 ans et ils n’ont pas été remplacés, explique Obama, qui ajoute : la perte d’emplois a continué sous les administrations Clinton et Bush. Chaque gouvernement successif a déclaré que ces communautés allaient se régénérer, mais ce ne fut pas le cas. Rien de surprenant, dès lors, que ces gens deviennent amers et s’accrochent aux armes à feu ou à la religion, éprouvent de l’antipathie envers les étrangers, s’opposent aux immigrants, aux échanges commerciaux, pour expliquer leurs frustrations.
(Rosaly: Obama justifie l’islamophobie par la misère sociale. Cela permet de nier la peur que la violence de l’islam inspire)
16. A la maison, la Bible, le Coran et le Bhagavad Gita étaient alignés sur l’étagère, aux côtés des livres de mythologie grecque, scandinave et africaine.
17. A Pâques ou à Noël, ma mère me traînait à l’église, comme elle me traînait aux temples bouddhiste et shintoïste, à la célébration du Nouvel An chinois et dans les anciens lieux de sépulture hawaïen.
18. Nous avons des Juifs, des Musulmans, des athées, des agnostiques, des bouddhistes et leur propre chemin vers la Grâce doit être aussi respectée et honorées que la nôtre.
(Rosaly : très bien, mais la réciproque doit être exigée des musulmans, dont les textes veulent nous imposer leur propre voie vers la Grâce, celle dictée par leur dieu. Les Frères musulmans ne brillent pas pour leur grande tolérance envers les non musulmans, étrange qu’Obama ne leur en fasse pas la remarque)
19. Chacun d’entre nous a la responsabilité de travailler pour qu’un jour les mères d’Israël et celles de « Palestine » voient enfin leurs enfants grandir et s’épanouir dans la paix, sans crainte ; pour que la Terre sainte des trois grandes religions devienne le lieu de paix voulu par Dieu et Jérusalem le foyer sûr et éternel pour les Juifs, les Chrétiens et les Musulmans, une ville où tous les enfants d’Abraham pourront vivre ensemble dans la paix, comme dans l’histoire d’Isra, quand Moïse, Mahomet et Jésus, la paix soit sur eux, se rejoignirent dans la prière.
(Rosaly: L’histoire d’Isra est la transposition coranique du récit de la Transfiguration de Jésus, dans laquelle le prophète Elie est remplacé par Mahomet :
• Six jours après, Jésus prit avec lui Pierre, Jacques et Jean, frère de Jacques, et les conduisit sur une haute montagne où ils se trouvèrent seuls. Il changea d’aspect devant leurs yeux ; son visage se mit à briller comme le soleil et ses vêtements devinrent blancs comme la lumière. Soudain les trois disciples virent Moïse et Élie qui parlaient avec Jésus … (Matthieu 17 :1-9)
• Dans la version islamique, inspirée des Evangiles, Buraq, la monture céleste envoyée par Allah, transporta Mahomet au ciel, lors de son voyage nocturne, où il rejoignit Jésus et Moïse pour prier. Le prophète Elie disparaît de ce récit pour être remplacé par Mahomet. Obama ne semble pas bien connaître les Evangiles.)
20. Il existe plusieurs chemins qui mènent vers le même lieu et la croyance en l’existence d’une force supérieure est une croyance qui nous unit en tant que peuple.
Obama pare l’islam de toutes les vertus, l’encense, lui voue une admiration sans borne, le considère comme LA religion parfaite, la seule capable d’apporter le bonheur à l’humanité. Il transfère au christianisme toute l’intolérance et les méfaits de l’islam. Il se prétend chrétien, mais n’éprouve aucune sympathie pour le Christianisme. Son indifférence sibérienne envers les persécutions et les massacres des Chrétiens en terre d’islam le montre.
Mais il ne se considère pas non plus tout à fait comme musulman. En fait, il ne se situe nulle part, car il se prend lui-même pour un dieu, avec une sympathie marquée pour la « religion » islamique. Serait-il marxiste, voyant dans le monde musulman un allié pour détruire l’Amérique ? Cela expliquerait pourquoi il a donné plusieurs clefs du pouvoir aux Frères musulmans, et permis à ces derniers de s’infiltrer dans les plus hautes sphères de l’Etat fédéral, y compris à la Sécurité nationale. Le but des Frères musulmans est clairement celui de détruire les fondements de l’Amérique de l’intérieur, via un jihad civilisationnel et remplacer la Constitution par la charia. Dès lors, Obama accomplit un excellent travail, avec la coopération des Frères musulmans et celle d’une caste politico-sociale dévouée à la cause de l’islam, cet islam qui, de ses propres aveux, a façonné la vision du monde du directeur de la CIA.
Heureusement pour ce grand pays, il existe un pouvoir politique face à celui du Président américain – le plus néfaste de son histoire, messie exterminateur des valeurs des Pères Fondateurs, président qui s’est prosterné devant un roi musulman, signe avant coureur de sa future politique dévastatrice du monde libre.
Je vous encourage cependant à m’apporter la contradiction, et à rechercher dans ses déclarations celles où il attaque l’islam, et celles où il défend le christianisme…
Source : 20 Obama Quotes About Islam Contrasted With 20 Obama Quotes About Christianity by Michael Snyder (former Washington D.C. attorney who now publishes The Truth) traduit, adapté et commenté par Rosaly
© Rosaly pour www.Dreuz.info
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