Un Français musulman qui combattait le régime syrien aux côtés de groupes jihadistes s’est fait exploser devant une position de l’armée cette semaine dans la province d’Alep (nord) tuant au moins dix soldats, a rapporté vendredi une ONG syrienne.
Le Français, surnommé « Abou al-Qaaqaa » (du nom d’un combattant au temps du prophète Mahomet), a mené mercredi cette opération suicide à Al-Hamam, un village au sud-est de la ville d’Alep, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
Âgé d’une vingtaine d’années, « il était parmi les premiers assaillants du village », attaqué ensuite conjointement par les groupes jihadistes de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), composé en majorité d’étrangers, et le Front Al-Nosra, formé notamment de Syriens, deux factions affiliées à Al-Qaïda, a précisé à l’AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l’OSDH. Selon lui, il n’est pas clair si « Abou al-Qaaqaa » est un Français converti à l’islam ou un Français originaire d’un pays musulman.
Le Français, surnommé « Abou al-Qaaqaa » (du nom d’un combattant au temps du prophète Mahomet), a mené mercredi cette opération suicide à Al-Hamam, un village au sud-est de la ville d’Alep, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
Âgé d’une vingtaine d’années, « il était parmi les premiers assaillants du village », attaqué ensuite conjointement par les groupes jihadistes de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), composé en majorité d’étrangers, et le Front Al-Nosra, formé notamment de Syriens, deux factions affiliées à Al-Qaïda, a précisé à l’AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l’OSDH. Selon lui, il n’est pas clair si « Abou al-Qaaqaa » est un Français converti à l’islam ou un Français originaire d’un pays musulman.
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