Être "sans Dieu", explique Andreas Puttman, fait mal. Être "sans Dieu", cela prépare une société avec plus de suicides, plus de médicaments, plus de désespoir et plus de réticence, devenue générale, à porter des enfants. Ceci n'est pas une prédiction. Ceci est une photographie. Une autre affirmation d’Andreas Puttman, est que la société n'est pas arrivée – à tout cela – par hasard. Il y a eu un dessein politique précis, un crescendo d'intolérance et de discrimination contre les chrétiens. Tant et si bien que Andreas Puttman affirme que – à ce rythme – de nouvelles persécutions sanglantes, comme celles perpétrées par les nazis ou les communistes, ne sont pas impossibles. Les signaux que l'on a perçus dans les jours qui ont précédé la visite de Benoît XVI en Allemagne (visite qui débute aujourd’hui jeudi 22 septembre 2011), confirment que l'intolérance antichrétienne n'est certes pas majoritaire, mais qu'elle est puissante, organisée, bien financée, qu'elle arrive jusqu'au Parlement » (Note de Michel Garroté – Parlement où des cryptocommunistes ayant souhaité, cette année encore, "bon anniversaire", au vieux dictateur Castro, vont "boycotter" le discours de Benoît XVI devant les députés allemands, au nom de la liberté d’expression je suppose. D’ailleurs, ces mêmes cryptocommunistes "boycottent" aussi Israël. Quant au risque de persécutions sanglantes évoqué par Andreas Puttman, il n’a rien de surréaliste. En réalité, dans toute l’Europe, les discours christianophobes, israélophobes et judéophobes sont en nette augmentation, notamment, mais pas seulement, sur Internet. Tandis que l’islam d’Europe, lui, bénéficie de toutes les bienveillances et de toutes les complaisances possibles et imaginables).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire