Tout simplement horrible ... encore un de ces massacres aussi horrible que nombreux aujourd'hui, et que les médias entourent d'un silence ... de mort ...
Traduit depuis Compass Direct News :
22 Septembre 2011, Nigéria - Des musulmans armés ont menés une furieuse série d'attaques contre les chrétiens.
Ce dernier mois, dans l'état du Plateau, plus de100 chrétiens ont été tués, des familles entières ont été anéanties, vieillards, femmes et enfants y compris.
Le 9 septembre vers 20 heures, une attaque contre la communauté chrétienne de Vwang Kogot à fait plus de 15 tués, dont une femme enceinte. Les rescapés ont déclaré à Compass que, parmi les assaillants, figuraient des hommes portant l'uniforme de l'armée nigériane.
"Nous avons entendu des coups de feu dans notre, venant vraisemblablement de la maison voisine. Nous sommes vite sortis pour aller voir, et nous avons vu un soldat à l'entrée de la maison, avec un pistolet, prêt à tirer sur quiconque s’approcherait, et en même temps empêchant les occupants de l'habitation de s'échapper.
Nous ne pouvions rien faire, nous n'avions aucune arme capable de se mesurer avec l'armement des attaquants, très nombreux d'ailleurs.
Il n'y avait plus qu'à ce cacher et attendre la mort.
Après que les soldats et les musulmans soient partis, nous sommes revenus sur les lieux du massacre. Nous avons trouvé 14 personnes assassinées, et parmi eux, une femme sur le point de mettre au monde un nouveau-né.
Gyang Badung a survécu à l'attaque, mais sa femme, ses quatre enfants, sa mère, son grand-père, son neveu, tous ont été tués.
« Je suis rentré dans la soirée, et à la fin du souper, j'ai entendu des bruits étranges autour de notre maison, et soudain, des coups de feu sont partis de tout les côtés, comme si nous étions attaqués. »
Il est allé se réfugié dans une ferme voisine, après avoir sauté de la fenêtre de sa chambre.
« J'ai attendu impuissant la fin de l'attaque, ne sachant pas quoi faire.
J'ai vu plus de 9 personnes attaquer le village. Quand je suis rentré chez moi, j'ai découvert que toute ma famille avait été tuée, à l'exception de deux de mes fils, blessés mais vivants, ainsi que mon père qui s'était enfui dans la brousse. »
Vou Mallam est une autre survivante de l'attaque:
Elle était avec son mari et ses enfants quand les criminels ont fait irruption dans leur maison.
Elle a échappé de justesse à la mort, en se cachant dans une des chambres. Son mari, son fils uniques et ses petits-enfants ont été tués.
Voici le témoignage de cette mère de famille, maintenant devenue veuve ...
« Après notre repas du soir, nous avons fait nos prières et avons demandé aux enfants d'aller se coucher. Soudain, des coups de feu ont éclaté. Je me suis immédiatement rendu dans la chambre des enfants, j'ai éteins la lampe, puis je me suis caché ailleurs. J'ai vu un soldat armé d'un fusil pénétrer dans la pièce, puis déclaré à ses 'camarades' : «Il n'y a personne ici».
Mon mari, dissimulé dans une autre cachette à eu le malheur de faire un léger mouvement. Aussitôt, une fusillade a éclaté. C’est ainsi que mon mari fut tué dans sa cachette, ainsi que mon fils unique et mes petits-fils.
Selon Dachung Dagai, pasteur de l'église de la congrégation de Vwang Kogot, ce village a été attaqué 3 fois en 8 mois ...
Signalé par l'Observatoire de la Christianophobie
http://infos-meconnues.blogspot.com/2011/09/massacres-de-chretiens-au-nigeria.html
Traduit depuis Compass Direct News :
Chrétiens massacrés au Nigéria |
Ce dernier mois, dans l'état du Plateau, plus de100 chrétiens ont été tués, des familles entières ont été anéanties, vieillards, femmes et enfants y compris.
Le 9 septembre vers 20 heures, une attaque contre la communauté chrétienne de Vwang Kogot à fait plus de 15 tués, dont une femme enceinte. Les rescapés ont déclaré à Compass que, parmi les assaillants, figuraient des hommes portant l'uniforme de l'armée nigériane.
"Nous avons entendu des coups de feu dans notre, venant vraisemblablement de la maison voisine. Nous sommes vite sortis pour aller voir, et nous avons vu un soldat à l'entrée de la maison, avec un pistolet, prêt à tirer sur quiconque s’approcherait, et en même temps empêchant les occupants de l'habitation de s'échapper.
Nous ne pouvions rien faire, nous n'avions aucune arme capable de se mesurer avec l'armement des attaquants, très nombreux d'ailleurs.
Il n'y avait plus qu'à ce cacher et attendre la mort.
Après que les soldats et les musulmans soient partis, nous sommes revenus sur les lieux du massacre. Nous avons trouvé 14 personnes assassinées, et parmi eux, une femme sur le point de mettre au monde un nouveau-né.
Les victimes ont été tuées à la machette ou encore au pistolet ...
Gyang Badung a survécu à l'attaque, mais sa femme, ses quatre enfants, sa mère, son grand-père, son neveu, tous ont été tués.
« Je suis rentré dans la soirée, et à la fin du souper, j'ai entendu des bruits étranges autour de notre maison, et soudain, des coups de feu sont partis de tout les côtés, comme si nous étions attaqués. »
Il est allé se réfugié dans une ferme voisine, après avoir sauté de la fenêtre de sa chambre.
« J'ai attendu impuissant la fin de l'attaque, ne sachant pas quoi faire.
J'ai vu plus de 9 personnes attaquer le village. Quand je suis rentré chez moi, j'ai découvert que toute ma famille avait été tuée, à l'exception de deux de mes fils, blessés mais vivants, ainsi que mon père qui s'était enfui dans la brousse. »
Les enfants qu'il vient de perdre avaient respectivement 4, 5, 9 et 15 ans ...
Vou Mallam est une autre survivante de l'attaque:
Elle était avec son mari et ses enfants quand les criminels ont fait irruption dans leur maison.
Elle a échappé de justesse à la mort, en se cachant dans une des chambres. Son mari, son fils uniques et ses petits-enfants ont été tués.
Voici le témoignage de cette mère de famille, maintenant devenue veuve ...
« Après notre repas du soir, nous avons fait nos prières et avons demandé aux enfants d'aller se coucher. Soudain, des coups de feu ont éclaté. Je me suis immédiatement rendu dans la chambre des enfants, j'ai éteins la lampe, puis je me suis caché ailleurs. J'ai vu un soldat armé d'un fusil pénétrer dans la pièce, puis déclaré à ses 'camarades' : «Il n'y a personne ici».
Mon mari, dissimulé dans une autre cachette à eu le malheur de faire un léger mouvement. Aussitôt, une fusillade a éclaté. C’est ainsi que mon mari fut tué dans sa cachette, ainsi que mon fils unique et mes petits-fils.
Selon Dachung Dagai, pasteur de l'église de la congrégation de Vwang Kogot, ce village a été attaqué 3 fois en 8 mois ...
Signalé par l'Observatoire de la Christianophobie
http://infos-meconnues.blogspot.com/2011/09/massacres-de-chretiens-au-nigeria.html
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