Le site syrien de la double-explosion.
Kahlil a mentionné qu’à 11h 30, lundi 21 janvier, le jour précédant les élections générales en Israël, une vaste explosion est survenue à 100 mètres de profondeur, à l’intérieur du site souterrain, piégeant 240 membres de l’équipe nucléaire, dans la troisième chambre des centrifugeuses. Parmi eux, dit-il, se trouvaient des techniciens iraniens et ukrainiens.
Il n’y a pas eu d’informations précises sur les pertes humaines ni l’étendue exacte des dégâts provoqués aux 2700 centrifugeuses qui transformaient l’uranium enrichi à 20%.
Kahlil à cite sa source comme étant Hamidreza Zakeri, un ancien agent du Ministère des renseignements iraniens, qui affirme que le régime pense que l’explosion relevait du sabotage et que les explosifs ont pu être acheminés dans la zone, maquillés par la CIA, comme des équipements importés pour le site ou une machinerie défaillante.
Hamidreza Zakeri
Aucune information concernant une explosion à Fordo n’a pu être vérifiée ni confirmée, soit par les responsables américains, soit par les sources du régime à Téhéran.
J
Fordow.
Kahlil a mentionné qu’à 11h 30, lundi 21 janvier, le jour précédant les élections générales en Israël, une vaste explosion est survenue à 100 mètres de profondeur, à l’intérieur du site souterrain, piégeant 240 membres de l’équipe nucléaire, dans la troisième chambre des centrifugeuses. Parmi eux, dit-il, se trouvaient des techniciens iraniens et ukrainiens.
Il n’y a pas eu d’informations précises sur les pertes humaines ni l’étendue exacte des dégâts provoqués aux 2700 centrifugeuses qui transformaient l’uranium enrichi à 20%.
Kahlil à cite sa source comme étant Hamidreza Zakeri, un ancien agent du Ministère des renseignements iraniens, qui affirme que le régime pense que l’explosion relevait du sabotage et que les explosifs ont pu être acheminés dans la zone, maquillés par la CIA, comme des équipements importés pour le site ou une machinerie défaillante.
Hamidreza Zakeri
Aucune information concernant une explosion à Fordo n’a pu être vérifiée ni confirmée, soit par les responsables américains, soit par les sources du régime à Téhéran.
Au moins huit officiers ont été tués dans une mystérieuse explosion aux voitures piégées, vendredi 25 janvier, au beau milieu des quartiers généraux des renseignements régionaux syriens, à Quneitra, du côté syrien des hauteurs du Golan.
Certaines des pertes humaines étaient des Syriens, mais des sources du renseignement occidental ont révélé à Debkafile, que la plupart étaient des officiers supérieurs des Brigades Al Qods iraniennes et du Hezbollah. Ces explosions ont fait monter les tensions en flèche, sur les frontières israéliennes et jordaniennes avec la Syrie. Les forces spéciales israéliennes, jordaniennes et américaines positionnées dans le royaume hachémite sont entrées en alerte maximum. Des renforts syriens imposants ont été aperçus, en train d’affluer vers les deux frontières.
Des sources au sein du régime syrien ont affirmé que les engins explosifs étaient placés sur les murs d’enceinte du bâtiment du commandement des renseignements. Mais les sources occidentales rapportent que deux voitures bourrées d’explosifs étaient à l’affût des deux côtés de la route qui mène au QG syrien et ont détonné, alors que le convoi des deux voitures des officiers iraniens et du Hezbollah roulait à proximité d’elles. Il n’y a eu aucun survivant.
Ces sources réfutent, également, les reportages affirmant que le Jabhat al-Nusrah, lié à Al Qaeda et combattant aux côtés des rebelles syriens puisse revendiquer cet attentat. Elles disent qu’il s’agit d’une des rares occasions où aucun groupe de l’opposition syrienne n’a émis absolument la moindre revendication. La rapidité à laquelle les hélicoptères de l’armée syrienne se sont précipités sur cette zone pour exfiltrer les victimes indique le haut-rang de leurs grades.
Du point de vue des sources militaires jordaniennes, cette attaque commise par une main inconnue a retardé les préparatifs avancés de Bachar al Assad, en vue d’une offensive blindée générale, visant à écraser définitivement la révolte qui se poursuit contre son régime. Ses premières cibles auraient dû être les villages détenus par les rebelles, le long des frontières israéliennes et jordaniennes.
Le dictateur syrien travaillait autour d’un plan d’opérations mis au point par ses généraux, avec l’aide des stratèges iraniens des Brigades al Qods.
Samedi, Ali Akbar Velayati, un proche conseiller du Guide Suprême, l’Ayatollah Ali Khamenei, a averti que l’Iran considérerait toute attaque contre la Syrie comme une attaque contre lui-même : «La Syrie joue un rôle-clé tout-à-fait fondamental dans la région, afin de promouvoir de fermes politiques de résistance [contre Israël]… Pour cette raison, toute attaque contre la Syrie serait considérée comme une attaque contre l’Iran et les alliés de l’Iran ».
Pendant ce temps, en Iran même, le site d’enrichissement souterrain de Fordo a encore fait l’objet d’un rapport disant qu’il a été à nouveau la cible d’un sabotage, selon un reportage non-confirmé, publié par Reza Khahlil, qu’on décrit comme un ancien officier des Gardiens de la Révolution qui travaillait sous couverture comme agent-double pour la CIA, jusqu’à ce qu’il s’exfiltre vers les Etats-Unis.
DEBKAfile Reportage Spécial
Adaptation : Marc Brzustowski.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire