Un franciscain, le père François Mourad, a été tué dans le couvent de Ghassanieh, près de Homs, qui a été entièrement pillé par un groupe rebelle, a indiqué lundi l'agence vaticane d'informations SIR, citant une information parvenue dimanche à la Custodie franciscaine de Terre Sainte, le quartier général local de cet ordre religieux.
Le franciscain, âgé, qui avait choisi depuis quelques années de devenir ermite, avait trouvé refuge dans le couvent, selon SIR, qui cite le père Pierbattista Pizzaballa, custode de Terre Sainte.
Deux versions circulent sur sa mort: selon l'une, il aurait été atteint par une balle qui ne lui était pas destinée.
Selon l'autre, les rebelles seraient entrés dans le couvent pour voler tout ce qui s'y trouvait et auraient alors tué le vieux religieux.
Un autre franciscain, le père Firas, est venu de la localité de Kanaieh et a emmené le corps pour l'ensevelir, selon cette source.
"Je voudrais que tout le monde sache, a réagi le responsable régional des franciscains de Syrie Halim Noujaim, qu'en soutenant les révolutionnaires, l'Occident soutient les extrémistes religieux et aide à tuer les chrétiens". "Avec cette attitude, il ne restera pas un seul chrétien dans ces zones", a-t-il ajouté.
Bien que devenu ermite, les liens du père Mourad avec la Custodie de Terre Sainte étaient restés très forts, et il venait régulièrement aider tel ou tel couvent en remplacement d'un frère ou l'autre, selon un communiqué de la Custodie.
La présence franciscaine en Syrie "est multiséculaire" et "continue dans ces temps troublés de le faire sans distinction de religions ou de partis", a indiqué l'institution franciscaine.
"La mort du père François est un coup dur pour tous les frères. Pourtant ils continuent d'être d'un grand renfort spirituel pour les populations. La guerre a partout et en tout un impact négatif, mais elle a aussi amené les chrétiens de tous les rites à se rapprocher les uns les autres, à s'entraider et à prier ensemble", a observé la Custodie.
Le franciscain, âgé, qui avait choisi depuis quelques années de devenir ermite, avait trouvé refuge dans le couvent, selon SIR, qui cite le père Pierbattista Pizzaballa, custode de Terre Sainte.
Deux versions circulent sur sa mort: selon l'une, il aurait été atteint par une balle qui ne lui était pas destinée.
Selon l'autre, les rebelles seraient entrés dans le couvent pour voler tout ce qui s'y trouvait et auraient alors tué le vieux religieux.
Un autre franciscain, le père Firas, est venu de la localité de Kanaieh et a emmené le corps pour l'ensevelir, selon cette source.
"Je voudrais que tout le monde sache, a réagi le responsable régional des franciscains de Syrie Halim Noujaim, qu'en soutenant les révolutionnaires, l'Occident soutient les extrémistes religieux et aide à tuer les chrétiens". "Avec cette attitude, il ne restera pas un seul chrétien dans ces zones", a-t-il ajouté.
Bien que devenu ermite, les liens du père Mourad avec la Custodie de Terre Sainte étaient restés très forts, et il venait régulièrement aider tel ou tel couvent en remplacement d'un frère ou l'autre, selon un communiqué de la Custodie.
La présence franciscaine en Syrie "est multiséculaire" et "continue dans ces temps troublés de le faire sans distinction de religions ou de partis", a indiqué l'institution franciscaine.
"La mort du père François est un coup dur pour tous les frères. Pourtant ils continuent d'être d'un grand renfort spirituel pour les populations. La guerre a partout et en tout un impact négatif, mais elle a aussi amené les chrétiens de tous les rites à se rapprocher les uns les autres, à s'entraider et à prier ensemble", a observé la Custodie.
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