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Al-Haqiqah a édité un rapport de Elli Ni'mah sur l'attaque de l'armée libanaise à Saïda, au sud Liban. L'attaque perpérée par Ahmad al-Asir, un salafiste, et ses militants, tuant six officiers et soldats et en blessant d'autres.
Le rapport affirme que Al-Asir est géré et financé par les services de renseignements du Qatar et par la famille de l'ancien Premier ministre Saad al-Hariri.
Les services du Qatar voudrait une confrontation ouverte contre le Hezbollah au Liban afin de l'affaiblier en Syrie , et les médias qui soutiennent Samir Ja'ja, leader des Forces libanaises, et Hariri auraient demandé aux officiers de l'armée de faire défection pour former une armée libanaise libre.
Résumé du rapport:
Le rapport affirme que les militants de Cheikh Ahmad al-Asir, soutenu et financé par le Qatar , ont commis une «attaque préméditée» contre l'armée libanaise, tuant trois officiers et d'autres personnel et en blessant autres.
Selon le rapport, "les groupes mentionnés, comprenant des Libanais, des Syriens et des Palestiniens travaillant sous le commandement d'Al-Asir, ont lancé une attaque contre un barrage de l'armée libanaise dans la zone Abra à Sidon, sud Liban, tuant deux policiers et un soldat et en blessant plusieurs autres, causant de graves dommages à un certain nombre de véhicules et des bâtiments adjacents. "
Le rapport cite un communiqué de l'armée libanaise après l'incident :
"Un groupe armé appartenant au cheikh Ahmad al-Asir a attaqué un poste de l'armée libanaise dans la ville de Abra à Saïda, sans aucune raison, ce qui a provoqué la mort de deux officiers et un soldats, blessant plusieurs autres, causant des dommages à un certain nombre de véhicules militaires. L'armée a pris les mesures nécessaires afin de contenir la situation et arrêter les militants ".Le rapport ajoute, après cette "attaque flagrante" , "l'armée a lancé une vaste contre-attaque contre les bandes de voyous et des bandits d'Al-Asir."
Le rapport cite également l'agence officielle Nouvelles nationales en disant que l'armée a "réussi à maîtriser totalement le périmètre de la Mosquée Bilal Bin-Rabah à Abra, où Al-Asir prenait refuge avec ses partisans après que l'incendie d'une partie des bâtiments adjacents à la mosquée se soient calmé ".
Le rapport poursuit : les médias qui soutiennent la famille Al-Hariri et les Forces libanaises, menés par "l'agent, Samir Ja'ja, ambassadeur informel israélien au Liban, ont demandé aux militaires de déserterl'armée et d'établir une armée libanaise libre ». Ces médias, ajoute le rapport, «ont parlé de défections à grande échelle dans les rangs de l'armée, ce qui a été rapidement démenti par l'armée." Une source militaire a répondu que "les rumeurs sur certains des sites sociaux parlant de l'existence de divisions dans les rangs de l'armée ne sont pas fondées. L'armée est une unité cohérente afin de prévenir la sédition».Le rapport note que «les sources de sécurité libanaises ont dit que ce qui s'est passé à Sidon, et les rumeurs sur la scission dans l'armée,invitant les militaires à établir l'armée libanaise libre, étaient une tentative de copier ce qui s'est passé en Syrie et ne pouvait pas être séparé des déclarations du Premier ministre qatari qui a parlé d' «actions secrètes et mesures» prises par les Amis de la Syrie à Doha qui pourraient «changer l'équation sur le terrain en Syrie."
Le rapport ajoute que, «selon les sources, les décisions prises au Qatar comprennent des actions provoquant une déterioration de la situation au Liban, et le démarrage d'une bataille avec le Hezbollah afin de l'occuper au Liban et l'empêcher de se battre en Syrie."Le rapport cite des sources disant que "entre 100 et 200 militants armés du Front Al-Nusrah et Al-Furqan Brigade, actives au sein de l'Armée syrienne libre, ont été déplacés au cours des derniers jours de Bayt Jin dans la zone libérée du Golan syrien et de la zone occupée du Golan vers le sud du Liban , sous supervision du renseignement militaire israélien, en particulier vers Rashayya, la banlieue d'Al-Urqub, et la ville de Sidon, , afin de mener des combats contre le Hezbollah et ses partisans dans le sud du Liban ". Le rapport indique également que "les gangs du Fatah al-Islam et Jund al-Sham, financé par le député Bahiya Hariri, participent à la lutte contre l'armée libanaise en appui des gangs d'Al-Asir!".
Selon le rapport, l'armée libanaise a publié une longue déclaration «condamnant le double langage des forces politiques au Liban, référence indirecte au Mouvement du Futur et ses alliés, qui déclarent leur soutien à l'armée dans les médias, mais soutienent et financent Al-Asir sous la table ". La déclaration affirme également que «pendant des mois, l'armée a essayé d'écarter le Liban des incidents syriens,n'a pas répondu aux exigences politiques répétées afin de supprimer le groupe du Cheikh Ahmad al-Asir à Sidon, afin de contenir le conflit et permettre à tout parti politique de se déplacer et de travailler conformément à la loi.
Elle l'a fait alors que ses officiers et soldats étaient ciblés à Tripoli et Irsal. L'armée n'a pas répondu aux tentatives de semer la discorde en travaillant au maintien de la sécurité, de la stabilité et de la sécurité de ses éléments; l'armée a répondu par le dialogue et d'autres fois en ouvrant le feu , en cherchant constamment à l'arrestation des coupables. Mais, ce qui est arrivé à Sidon aujourd'hui a dépassé toutes les prévisions. L'armée a été ciblé de sang-froid et délibérément, afin d'enflammer Sidon, comme cela s'est produit en 1975 "[la guerre civile libanaise], afin d'entraîner le Liban dans le cycle de la violence.
Le communiqué de l'armée déclare que le «commandement de l'armée ne tolérera pas ce qui frappe politiquement ou militairement. Il poursuivra sa mission afin de réprimer la sédition à Saïda et dans d'autres domaines. Il frappera d'une main de fer tous ceux qui veulent répandre le sang de l' armée, et il répondra à tous ceux qui les couvrent politiquement dans les médias ».Le rapport indique que l'armée a réussi à prendre le contrôle de tous les bâtiments utilisés par les militants d'Al-Asir près de la mosquée, et que les médias rapportent qu'une grande partie de la population a fui la région après les combats. Ces combats impliquant des lance-roquettes et des mitrailleuses lourdes.
Le rapport indique que "Al-Asir s'est échappé dans une ambulance vers le camp de al-Ayn Hulwah , où des militants du Fatah al-Islam et des militants du Hamas de Khalid Meshal sont terrés!"
Le rapport conclut en disant que l'armée a annoncé la mort de six officiers et soldats "tués par les gangs de Ahmad al-Asir, gérés et financés par les services de renseignements du Qatar et Al-Hariri."
Al-Haqiqah a édité un rapport de Elli Ni'mah sur l'attaque de l'armée libanaise à Saïda, au sud Liban. L'attaque perpérée par Ahmad al-Asir, un salafiste, et ses militants, tuant six officiers et soldats et en blessant d'autres.
Le rapport affirme que Al-Asir est géré et financé par les services de renseignements du Qatar et par la famille de l'ancien Premier ministre Saad al-Hariri.
Les services du Qatar voudrait une confrontation ouverte contre le Hezbollah au Liban afin de l'affaiblier en Syrie , et les médias qui soutiennent Samir Ja'ja, leader des Forces libanaises, et Hariri auraient demandé aux officiers de l'armée de faire défection pour former une armée libanaise libre.
Résumé du rapport:
Le rapport affirme que les militants de Cheikh Ahmad al-Asir, soutenu et financé par le Qatar , ont commis une «attaque préméditée» contre l'armée libanaise, tuant trois officiers et d'autres personnel et en blessant autres.
Selon le rapport, "les groupes mentionnés, comprenant des Libanais, des Syriens et des Palestiniens travaillant sous le commandement d'Al-Asir, ont lancé une attaque contre un barrage de l'armée libanaise dans la zone Abra à Sidon, sud Liban, tuant deux policiers et un soldat et en blessant plusieurs autres, causant de graves dommages à un certain nombre de véhicules et des bâtiments adjacents. "
Le rapport cite un communiqué de l'armée libanaise après l'incident :
"Un groupe armé appartenant au cheikh Ahmad al-Asir a attaqué un poste de l'armée libanaise dans la ville de Abra à Saïda, sans aucune raison, ce qui a provoqué la mort de deux officiers et un soldats, blessant plusieurs autres, causant des dommages à un certain nombre de véhicules militaires. L'armée a pris les mesures nécessaires afin de contenir la situation et arrêter les militants ".Le rapport ajoute, après cette "attaque flagrante" , "l'armée a lancé une vaste contre-attaque contre les bandes de voyous et des bandits d'Al-Asir."
Le rapport cite également l'agence officielle Nouvelles nationales en disant que l'armée a "réussi à maîtriser totalement le périmètre de la Mosquée Bilal Bin-Rabah à Abra, où Al-Asir prenait refuge avec ses partisans après que l'incendie d'une partie des bâtiments adjacents à la mosquée se soient calmé ".
Le rapport poursuit : les médias qui soutiennent la famille Al-Hariri et les Forces libanaises, menés par "l'agent, Samir Ja'ja, ambassadeur informel israélien au Liban, ont demandé aux militaires de déserterl'armée et d'établir une armée libanaise libre ». Ces médias, ajoute le rapport, «ont parlé de défections à grande échelle dans les rangs de l'armée, ce qui a été rapidement démenti par l'armée." Une source militaire a répondu que "les rumeurs sur certains des sites sociaux parlant de l'existence de divisions dans les rangs de l'armée ne sont pas fondées. L'armée est une unité cohérente afin de prévenir la sédition».Le rapport note que «les sources de sécurité libanaises ont dit que ce qui s'est passé à Sidon, et les rumeurs sur la scission dans l'armée,invitant les militaires à établir l'armée libanaise libre, étaient une tentative de copier ce qui s'est passé en Syrie et ne pouvait pas être séparé des déclarations du Premier ministre qatari qui a parlé d' «actions secrètes et mesures» prises par les Amis de la Syrie à Doha qui pourraient «changer l'équation sur le terrain en Syrie."
Le rapport ajoute que, «selon les sources, les décisions prises au Qatar comprennent des actions provoquant une déterioration de la situation au Liban, et le démarrage d'une bataille avec le Hezbollah afin de l'occuper au Liban et l'empêcher de se battre en Syrie."Le rapport cite des sources disant que "entre 100 et 200 militants armés du Front Al-Nusrah et Al-Furqan Brigade, actives au sein de l'Armée syrienne libre, ont été déplacés au cours des derniers jours de Bayt Jin dans la zone libérée du Golan syrien et de la zone occupée du Golan vers le sud du Liban , sous supervision du renseignement militaire israélien, en particulier vers Rashayya, la banlieue d'Al-Urqub, et la ville de Sidon, , afin de mener des combats contre le Hezbollah et ses partisans dans le sud du Liban ". Le rapport indique également que "les gangs du Fatah al-Islam et Jund al-Sham, financé par le député Bahiya Hariri, participent à la lutte contre l'armée libanaise en appui des gangs d'Al-Asir!".
Selon le rapport, l'armée libanaise a publié une longue déclaration «condamnant le double langage des forces politiques au Liban, référence indirecte au Mouvement du Futur et ses alliés, qui déclarent leur soutien à l'armée dans les médias, mais soutienent et financent Al-Asir sous la table ". La déclaration affirme également que «pendant des mois, l'armée a essayé d'écarter le Liban des incidents syriens,n'a pas répondu aux exigences politiques répétées afin de supprimer le groupe du Cheikh Ahmad al-Asir à Sidon, afin de contenir le conflit et permettre à tout parti politique de se déplacer et de travailler conformément à la loi.
Elle l'a fait alors que ses officiers et soldats étaient ciblés à Tripoli et Irsal. L'armée n'a pas répondu aux tentatives de semer la discorde en travaillant au maintien de la sécurité, de la stabilité et de la sécurité de ses éléments; l'armée a répondu par le dialogue et d'autres fois en ouvrant le feu , en cherchant constamment à l'arrestation des coupables. Mais, ce qui est arrivé à Sidon aujourd'hui a dépassé toutes les prévisions. L'armée a été ciblé de sang-froid et délibérément, afin d'enflammer Sidon, comme cela s'est produit en 1975 "[la guerre civile libanaise], afin d'entraîner le Liban dans le cycle de la violence.
Le communiqué de l'armée déclare que le «commandement de l'armée ne tolérera pas ce qui frappe politiquement ou militairement. Il poursuivra sa mission afin de réprimer la sédition à Saïda et dans d'autres domaines. Il frappera d'une main de fer tous ceux qui veulent répandre le sang de l' armée, et il répondra à tous ceux qui les couvrent politiquement dans les médias ».Le rapport indique que l'armée a réussi à prendre le contrôle de tous les bâtiments utilisés par les militants d'Al-Asir près de la mosquée, et que les médias rapportent qu'une grande partie de la population a fui la région après les combats. Ces combats impliquant des lance-roquettes et des mitrailleuses lourdes.
Le rapport indique que "Al-Asir s'est échappé dans une ambulance vers le camp de al-Ayn Hulwah , où des militants du Fatah al-Islam et des militants du Hamas de Khalid Meshal sont terrés!"
Le rapport conclut en disant que l'armée a annoncé la mort de six officiers et soldats "tués par les gangs de Ahmad al-Asir, gérés et financés par les services de renseignements du Qatar et Al-Hariri."
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