Les deux attentats qui ont frappé ce matin Damas ont fait des dizaines de morts et de blessés, en majorité des civils. Le régime de Bachar al-Assad accuse des « terroristes ». L’opposition syrienne accuse de son côté le régime de « fabriquer » ces attentats.
Les deux attentats qui ont frappé jeudi Damas ont fait « des dizaines de morts et de blessés », en majorité des civils, a rapporté la télévision d’État syrienne.
La chaîne a diffusé des premières images, montrant des corps carbonisés à bord de dizaines de carcasses de véhicules encore fumantes, précisant que les attaques « terroristes » avaient eu lieu sur la voie rapide du sud, « au moment où les gens se rendaient à leur travail et les élèves à l’école ».
Les services de secours, aidés par des habitants retiraient les corps calcinés.
Un homme criait : « C’est ça la liberté que vous voulez ? Des élèves allant à leurs écoles et des employés à leur travail sont morts », faisant allusion à la contestation populaire anti-régime inédite qui secoue le pays depuis 14 mois.
Les images diffusées par la télévision ont également montré des restes humains, des arbres abattus au bord de la route, la chaussée défoncée et de profonds cratères.
Le dernier attentat meurtrier à Damas remonte au 27 avril. Onze personnes avaient alors péri dans l’attaque suicide en face d’une mosquée.
Le régime de Bachar al-Assad est confronté depuis près de 14 mois à une révolte populaire qu’il refuse de reconnaître et réprime dans le sang. Il accuse des « terroristes » d’être à l’origine des violences dans le pays et de commettre ces attentats.
L’opposition syrienne accuse de son côté le régime de « fabriquer » ces attentats.
La répression par le régime de la révolte populaire qui s’est militarisée au fil des mois et les combats entre soldats et insurgés ont fait près de 12.000 morts depuis mars 2011, en grande majorité des civils tués par les troupes gouvernementales.
La chaîne a diffusé des premières images, montrant des corps carbonisés à bord de dizaines de carcasses de véhicules encore fumantes, précisant que les attaques « terroristes » avaient eu lieu sur la voie rapide du sud, « au moment où les gens se rendaient à leur travail et les élèves à l’école ».
Les services de secours, aidés par des habitants retiraient les corps calcinés.
Un homme criait : « C’est ça la liberté que vous voulez ? Des élèves allant à leurs écoles et des employés à leur travail sont morts », faisant allusion à la contestation populaire anti-régime inédite qui secoue le pays depuis 14 mois.
Les images diffusées par la télévision ont également montré des restes humains, des arbres abattus au bord de la route, la chaussée défoncée et de profonds cratères.
Le dernier attentat meurtrier à Damas remonte au 27 avril. Onze personnes avaient alors péri dans l’attaque suicide en face d’une mosquée.
Le régime de Bachar al-Assad est confronté depuis près de 14 mois à une révolte populaire qu’il refuse de reconnaître et réprime dans le sang. Il accuse des « terroristes » d’être à l’origine des violences dans le pays et de commettre ces attentats.
L’opposition syrienne accuse de son côté le régime de « fabriquer » ces attentats.
La répression par le régime de la révolte populaire qui s’est militarisée au fil des mois et les combats entre soldats et insurgés ont fait près de 12.000 morts depuis mars 2011, en grande majorité des civils tués par les troupes gouvernementales.
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