Dix officiers iraniens membres des gardiens de la Révolution sont morts mystérieusement au cours des semaines passées.
C'est ce que révèle le magazine Intelligence Online, spécialisé dans le renseignement.
Seul, deux de ces décès ont été rendus publics: Gholan Reza Qasemi, un ancien commandant de la 92e division blindée et le Général Mohamed Ali Moussavi, chef d'un régiment de commandos dans la ville d'Ahvaz.
Un rapport évoque cependant le décès –officiellement d'une crise cardiaque – du Général Ahmed Mansouri, un des représentants du guide suprême Ali Khameiny dans la structure de commandement des Gardiens de la Révolution, ainsi que de deux officiers du rang de Colonel (les causes annoncées de leur mort sont un accident de voiture).
Alors que dans le passé, le décès d'officier de haut rang, dont certains proches de l'Ayatollah Ali Khameiny donnaient lieu à des annonces et des condoléances officielles du Guide de la révolution, celui-ci a observé le mutisme le plus total.
La raison de ce silence pourrait être à rechercher dans les causes véritables de ces décès en chaine : elles pourraient être le résultat de luttes internes pour le contrôle du marché noir, traditionnellement sous contrôle des gardiens de la révolution.
C'est ce que révèle le magazine Intelligence Online, spécialisé dans le renseignement.
Seul, deux de ces décès ont été rendus publics: Gholan Reza Qasemi, un ancien commandant de la 92e division blindée et le Général Mohamed Ali Moussavi, chef d'un régiment de commandos dans la ville d'Ahvaz.
Un rapport évoque cependant le décès –officiellement d'une crise cardiaque – du Général Ahmed Mansouri, un des représentants du guide suprême Ali Khameiny dans la structure de commandement des Gardiens de la Révolution, ainsi que de deux officiers du rang de Colonel (les causes annoncées de leur mort sont un accident de voiture).
Alors que dans le passé, le décès d'officier de haut rang, dont certains proches de l'Ayatollah Ali Khameiny donnaient lieu à des annonces et des condoléances officielles du Guide de la révolution, celui-ci a observé le mutisme le plus total.
La raison de ce silence pourrait être à rechercher dans les causes véritables de ces décès en chaine : elles pourraient être le résultat de luttes internes pour le contrôle du marché noir, traditionnellement sous contrôle des gardiens de la révolution.
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