Si Madame Trierweiler est, comme la désignent rapidement les médias, la première dame de France, alors les Français, dans un souci de transparence et de moralisation de la vie politique, doivent être informés de sa vraie situation patrimoniale.
Wikipedia précise de façon laconique que le grand père de Valérie Massonneau, divorcée Trierweiler, était banquier, propriétaire de la Banque angevine Massonneau et Cie, vendue en 1950 au Crédit de l’Ouest.
« Jusqu’à ce que Ouest-France parle de la banque, j’avais toujours cru qu’il s’agissait d’une légende familiale ! » déclarait-elle à Ouest France il y a une semaine.
Vraiment ?
Un lecteur de Dreuz nous a apporté les précisions suivantes, dans un commentaire, précisions qui commencent à être reprises en boucle sur internet, avant même confirmation. Nous avons pensé, n’ayant pas de moyens d’investigations, que leur publication par Dreuz trouverait écho parmi nos lecteurs, qui pourront soit, confirmer, et apporter des détails, soit, au contraire, démentir, ce que nous nous empresserons bien entendu de faire afin de faire taire la rumeur naissante, puisqu’elle est partie de Dreuz.info :
La famille Massonneau a vendu sa banque au Crédit de l’Ouest, mais elle devint actionnaire à hauteur de 11% du Crédit de l’Ouest.En 1957, fusion du Crédit Nantais (créé en 1912) et du Crédit de l’Ouest d’Angers (créé en 1913), puis fusion en décembre 2006 du Crédit Industriel de l’Ouest (CIO) et de la Banque régionale de l’Ouest (BRO). C’est maintenant le Crédit industriel et commercial Ouest (CIC Ouest).Aujourd’hui les enfants (ils sont six) Massonneau sont actionnaires au Crédit industriel et Commercial, et ont différentes actions dans différents groupe faisant partis du CIC.Les revenus annuels de la journaliste sont estimés à plus de 3 millions annuel.Mais le meilleur est à venir, Madame Trierweiler possède des actions de la chaine Direct8 qui appartient au Groupe Bolloré, où elle présente des émissions, ainsi que différentes actions dans ce même groupe.On se souvient que le 20 octobre 2011, elle porte plainte contre X pour « collecte et traitement illicite de données personnelles » auprès du parquet de Paris, suite à la parution, le 4 octobre, d’un article de L’Express affirmant que, au début 2011, elle aurait fait l’objet d’une enquête sur son passé et son entourage de la part d’une section de la Direction du Renseignement de la préfecture de police de Paris.Chargée par le parquet de Paris de mener des investigations, l’Inspection générale de la police nationale met en évidence que la fiche de Valérie Trierweiler est soi-disant fausse mais clôt le dossier, sans chercher l’auteur du délit.Et pour cause, Mr Vincent Bolloré serait intervenu en personne auprès de Nicolas Sarkozy pour refermer le dossier.Explication : la famille Massonneau fut le banquier et l’ami d’un industriel breton nommé… Michel Bolloré (1922-1997) père de Vincent Bolloré.Madame Massonneau serait-elle aussi pauvre que Madame Sinclair ?Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
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