Au moins trois douzaines de personnes sont atteintes du virus Ebola dans l’ouest de l’Ouganda. Ebola est un virus très contagieux qui a tué 14 personnes dans la région ces dernières semaines uniquement, selon l’Organisation mondiale de la Santé. L’OMS note une augmentation de 120 % des contagions en quelques jours.
Le ministère de la Santé ougandais a d’abord déclaré l’épidémie dans le district de Kibaale, samedi. C’est l’Institut Ougandais pour la Recherche contre les Virus qui a confirmé dans un premier temps l’arrivée massive de ce virus, dont les premiers symptômes sont la diarrhée, des vomissement et la fièvre Ebola. L’hôpital de Kibaale a rapidement mis en place une salle d’isolement pour les personnes souffrant d’Ebola afin d’éviter de transmettre le virus à plus de patients.
Le gouvernement a exhorté le public à signaler tout cas suspect et toute mort suspecte. Il demande aussi aux gens de « prendre des gants et des masques avant de rentrer en contact (contact avec les fluides corporels) avec une personne possiblement touchée. Le président ougandais a lui-même demandé à la population de ne pas embrasser les malades et de vite enterrer profondément les morts.
Si nous agissons rapidement, nous éliminerons ce virus rapidement », a-t-il affirmé dans un message public.
Les responsables de la santé ont conseillé d’annuler tous les rassemblements publics, toutes les « grandes funérailles ». Le gouvernement a également demandé de faire attention « aux animaux morts » dans la mesure où le virus est transmis régulièrement par ces derniers. Cas exceptionnel : plus de 200 écoles ont été fermées jusqu’à nouvel ordre.
Dans la capitale, Kampala, de nombreuses personnes ont été alarmées par une information selon laquelle un patient de l’hôpital de la ville serait mort du virus Ebola. La panique a alors gagné une partie de la population qui a commencé à se déplacer à l’opposé de la ville, à se réfugier chez des amis, ou de la famille. Mais l’OMS a démenti, affirmant que seul l’ouest du pays est pour l’heure touché.
L’OMS a également cherché à réprimer la peur en expliquant que les épidémies d’Ebola sont normalement très localisées avec de très faibles risques de propagation d’un pays à l’autre. L’agence de santé pense que « des restrictions de voyage ou de commerce sur l’Ouganda ne sont pas nécessaires. »
Aucun traitement ou vaccin n’est disponible contre le virus Ebola. 1,850 cas ayant causé la mort de 1 200 personnes ont été répertoriés depuis la découverte de ce virus selon l’OMS. C’est la quatrième fois que le virus Ebola apparaît en Ouganda depuis 2000, quand une épidémie avait tué 224 personnes.
Le ministère de la Santé ougandais a d’abord déclaré l’épidémie dans le district de Kibaale, samedi. C’est l’Institut Ougandais pour la Recherche contre les Virus qui a confirmé dans un premier temps l’arrivée massive de ce virus, dont les premiers symptômes sont la diarrhée, des vomissement et la fièvre Ebola. L’hôpital de Kibaale a rapidement mis en place une salle d’isolement pour les personnes souffrant d’Ebola afin d’éviter de transmettre le virus à plus de patients.
Le gouvernement a exhorté le public à signaler tout cas suspect et toute mort suspecte. Il demande aussi aux gens de « prendre des gants et des masques avant de rentrer en contact (contact avec les fluides corporels) avec une personne possiblement touchée. Le président ougandais a lui-même demandé à la population de ne pas embrasser les malades et de vite enterrer profondément les morts.
Si nous agissons rapidement, nous éliminerons ce virus rapidement », a-t-il affirmé dans un message public.
Les responsables de la santé ont conseillé d’annuler tous les rassemblements publics, toutes les « grandes funérailles ». Le gouvernement a également demandé de faire attention « aux animaux morts » dans la mesure où le virus est transmis régulièrement par ces derniers. Cas exceptionnel : plus de 200 écoles ont été fermées jusqu’à nouvel ordre.
Dans la capitale, Kampala, de nombreuses personnes ont été alarmées par une information selon laquelle un patient de l’hôpital de la ville serait mort du virus Ebola. La panique a alors gagné une partie de la population qui a commencé à se déplacer à l’opposé de la ville, à se réfugier chez des amis, ou de la famille. Mais l’OMS a démenti, affirmant que seul l’ouest du pays est pour l’heure touché.
L’OMS a également cherché à réprimer la peur en expliquant que les épidémies d’Ebola sont normalement très localisées avec de très faibles risques de propagation d’un pays à l’autre. L’agence de santé pense que « des restrictions de voyage ou de commerce sur l’Ouganda ne sont pas nécessaires. »
Aucun traitement ou vaccin n’est disponible contre le virus Ebola. 1,850 cas ayant causé la mort de 1 200 personnes ont été répertoriés depuis la découverte de ce virus selon l’OMS. C’est la quatrième fois que le virus Ebola apparaît en Ouganda depuis 2000, quand une épidémie avait tué 224 personnes.
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