Ces « antifachos » (photo) sont d’abord et surtout des extrémistes violents
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The réd chef – En France, la mort de l’activiste gauchiste Clément Méric, suite à une bagarre entre antifas et skinheads (la tête de Méric a heurté un poteau et il est tombé inanimé), sert de prétexte au régime socialiste en place et à l’extrême-gauche pour tenir des propos particulièrement ridicules. Ayrault veut « tailler en pièces », « de façon démocratique » et « sur la base du droit », « ces mouvements d’inspiration fasciste et nazie qui font du tort à la République ». Il fait appel à Manuel Valls alias Manuel Gaz et à Christiane Taubira pour « étudier toutes les possibilités » pour « combattre ces mouvements racistes, antisémites, homophobes» et « veiller à ce que ces idées ne se propagent pas ».
Hollande déclare que « ces groupes qui depuis trop longtemps créent le désordre doivent être réprimés ». Pierre Bergé, visiblement três décalé, allégue que c’est la faute à la Manif pour tous.
Les Jeunesses nationalistes révolutionnaires nient, par la voix de leur fondateur Serge Ayoub, toute implication et rejettent la faute sur l’extrême gauche. « Il y a une responsabilité » à faire porter « sur des gens comme Mélenchon » parce que « ce sont eux et les gens d’extrême-gauche qui incitent à la haine depuis des mois et des années ». Selon Ayoub, ses miltants ont été « pris à partie par cinq militants d’extrême-gauche qui leur ont promis de les massacrer à la sortie (de la librairire où ils se trouvaient). Le service d’ordre de la vente privée en a été témoin. Il a proposé à ces trois jeunes plus la gamine d’attendre ». « Quand ils sont descendus dans la cour – la vente se situait dans les étages -, les jeunes d’extrême gauche les attendaient. La sécurité est sortie une deuxième fois pour les accompagner dehors ».
Concernant les faits, quatre suspects ont été interpellés par la Brigade de Recherche et d’Intervention (BRI). Ils sont âgés de 21 à 37 ans. Hier, ils auraient, selon une source policière, « été apostrophés par la victime (Méric), qui leur aurait lancé des noms d’oiseaux avant de les traiter de “fachos”. Il y a eu invectives, bousculades entre les deux groupes. Un peu plus tard, des skins auraient été attendus à la sortie d’un magasin par les militants d’extrême-gauche. D’autres témoignages indiquent que c’est le contraire qui s’est produit. Pris à partie par un des agresseurs, Clément Méric aurait été frappé à plusieurs reprises au niveau du visage par ce qui pourrait être un poing américain. L’activiste gauchiste, dont la tête a heurté un poteau, est tombé inanimé.
Jean-Yves Camus, spécialiste présumé de l’extrême-droite, déclare : “Je refuse pour l’instant d’évoquer le groupe des Jeunesses Nationalistes Révolutionnaires (JNR), auxquelles les agresseurs appartiendraient supposément. Les faits sont très graves et il ne faudrait pas incriminer un groupe prématurément. En revanche, la mouvance skinhead en général, de laquelle les agresseurs semblent être proches, a une propension toute particulière à la violence”.
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