Des affrontements mercredi au Caire, en Egypte, entre assaillants et opposants à la junte militaire au pouvoir ont fait cinq morts et cinquante blessés.
Cinq personnes ont été tuées mercredi et 50 blessées après que des assaillants ont attaqué un rassemblement contre la junte militaire au pouvoir près du ministère de la Défense au Caire, a-t-on appris de sources médicales et des services de sécurité.
L'attaque, intervenue à l'aube, a provoqué de violents affrontements entre les assaillants, non identifiés, et les protestataires, rassemblés depuis plusieurs jours pour réclamer le départ des militaires du pouvoir, les deux côtés faisant usage de cocktail molotov et de pierres, selon la source des services de sécurité.
Des responsables du ministère de la Santé ont dit ne pas être en mesure de confirmer ce bilan tant que les corps n'ont pas été transportés dans les hôpitaux mais ont indiqué que "plusieurs dizaines avaient été blessés, certains grièvement".
Selon la télévision d'Etat, les accrochages se poursuivaient en milieu de matinée.
Parmi les protestataires figurent des partisans du leader salafiste Hazem Abou Ismaïl, qui campaient dans le secteur depuis samedi après l'exclusion par la commission électorale de ce candidat à la course présidentielle prévue les 23 et 24 mai.
L'attaque, intervenue à l'aube, a provoqué de violents affrontements entre les assaillants, non identifiés, et les protestataires, rassemblés depuis plusieurs jours pour réclamer le départ des militaires du pouvoir, les deux côtés faisant usage de cocktail molotov et de pierres, selon la source des services de sécurité.
Des responsables du ministère de la Santé ont dit ne pas être en mesure de confirmer ce bilan tant que les corps n'ont pas été transportés dans les hôpitaux mais ont indiqué que "plusieurs dizaines avaient été blessés, certains grièvement".
Selon la télévision d'Etat, les accrochages se poursuivaient en milieu de matinée.
Parmi les protestataires figurent des partisans du leader salafiste Hazem Abou Ismaïl, qui campaient dans le secteur depuis samedi après l'exclusion par la commission électorale de ce candidat à la course présidentielle prévue les 23 et 24 mai.
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