La face de bambi cache un activiste violent
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The réd chef – Un vigile présent sur le lieu du décès de l’activiste ultragauchiste Méric est qualifié de témoin principal par les policiers. Le vigile met en cause quatre activistes du groupuscule extrémiste de gauche auquel appartenait Méric, et, plus particulièrement, l’un d’entre eux.
Selon le témoignage du vigile, ce militant très remonté avait des gants de boxe dans son sac et a incité les autres à se battre contre les militants d’extrême-droite, qui eux, selon le vigile, cherchaient à éviter l’affrontement et à partir.
Le vigile a précisé que Clément Méric a déclaré à propos des militants d’extrême-droite : “Ce sont des gens qui ne devraient même pas être vivants”. Le vigile précise que Méric n’était pas le meneur et que si son compagnon de lutte ne l’avait pas poussé à se battre, rien ne serait arrivé.
Rappel historique : le 17 avril 2013, en marge d’une Manif Pour Tous, la cellule d’extrême gauche à laquelle appartient Clément Méric vient agresser les manifestants. Line Press était sur place et a filmé une partie des événements.
Alors que son groupe agresse la manifestation, tandis que la police intervient pour calmer le jeu et commence à attraper certains, Clément Méric se faufile entre les policiers en civils pour se réfugier derrière les bénévoles de sécurité de la Manif Pour Tous.
Des altercations naissent entre ses camarades et des manifestants. Les bénévoles rappliquent. Clément Méric observe en retrait et place sa chevalière de manière à pouvoir frapper avec s’il le faut.
Clément Méric retire son foulard dès qu’il faut se glisser incognito au milieu des policiers et le remet dès qu’il s’agit d’agir avec son groupe. On le voit à un autre moment de la vidéo lever la banderole sur son visage alors qu’un photographe se place pour photographier le groupe. Ce qui est intéressant, ce n’est pas son foulard, mais sa chevalière.
Il joue du pouce et du majeur pour retourner le chaton sous son index et dissimuler la trop voyante bague aux vues des objectifs. Tout le long de la vidéo on le voit tourner cette chevalière, en fonction du rôle qu’il joue.
Clément Méric ne se sert pas de sa chevalière comme d’une simple bague d’appartenance ou par coquetterie. Il la porte à l’index pour s’en servir comme d’une arme et lorsqu’il est inquiet et que le danger menace, il place le chaton en avant du poing. Dès lors qu’il ne se sent plus en danger ou qu’il est pris en photo, il cache le chaton dans sa paume.
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Quand Clément Méric se réfugiait derrière la sécurité de la Manif Pour Tous****
La légitime défense n’est plus légale en cas d’agression d’antifa, qui ont le soutien de Manuel Valls, Hollande et Ayrault. On songe à rétablir la peine de mort pour l’occasion, par écartèlement.
Un fils de profs d’université, élève de Sciences Po, contre un agent de sécurité : la lutte des classes n’est pas terminée.
Un fils de profs d’université, élève de Sciences Po, contre un agent de sécurité : la lutte des classes n’est pas terminée.
« Clément Méric: le militant d’extrême droite Esteban soupçonné d’avoir voulu tuer
AFP
Par Cyril TOUAUX, Etienne FONTAINE
AFP
Par Cyril TOUAUX, Etienne FONTAINE
Photo Par Jacques Demarthon – Selon le procureur, c’est bien le groupe de la victime qui a provoqué en premier. En revanche, sur l’origine exacte de la rixe, à savoir qui a porté les coups en premier, le flou persiste
Une information judiciaire pour « homicide volontaire » a été ouverte samedi visant le principal suspect, Esteban, dans l’enquête sur la mort du jeune militant d’extrême gauche Clément Méric, provoquée par les coups reçus lors d’une rixe avec des skinheads à Paris.
L’ouverture de cette instruction par le procureur de la République de Paris François Molins a été suivie par l’annonce par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault de la décision « d’engager immédiatement » une procédure de dissolution du groupuscule d’extrême droite Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR).
Selon une source policière, les JNR, composées de 20 à 30 militants, sont présentées comme le service d’ordre du mouvement d’extrême droite radicale Troisième Voie, deux structures dirigées par Serge Ayoub, l’ancien chef des skinheads parisiens. Ce dernier a d’ailleurs été entendu vendredi par les enquêteurs.
Les cinq personnes qui sont présentées samedi à un juge d’instruction ont toutes « reconnu être sympathisantes du mouvement ultranationaliste Troisième Voie », a assuré le procureur de la République de Paris. Seule Katia a « reconnu être adhérente » du mouvement, Esteban, le principal suspect, affirmant lui « n’avoir été encarté que 6 mois ».
A l’issue de deux jours d’enquête, le procureur de Paris estime que la mort de Clément Méric procédait bien d’une « intention d’homicide ». Le jeune homme est mort des coups reçus au visage et non en raison de sa chute comme l’a révélé l’autopsie, a confirmé samedi le procureur.
A priori, seul Esteban aurait donc porté les coups mortels. Le parquet a requis son placement en détention provisoire, ainsi que pour trois autres personnes visées par une information judiciaire pour « violences volontaires en réunion ». Le parquet a requis le placement sous contrôle judiciaire de Katia, la petite amie d’Esteban, visée par une information judiciaire pour « complicité de violences volontaires en réunion ».
Les « premières conclusions » de l’autopsie ont démontré, selon le procureur de la République, « qu’il y a eu une « multiplicité » de coups et que « le décès n’est pas dû à un hématome qui aurait été causé par la chute par terre mais aux traumatismes crâno-faciaux occasionnés par les coups de poing portés à la victime ».
Suspicions d’usage d’un poing américain
« La force et la violence des coups de poing portés au visage de Clément Méric c’est-à-dire sur une partie du corps particulièrement exposée alors que la victime était physiquement beaucoup moins baraquée, les suspicions d’usage d’un poing américain et enfin la cause de la mort due à plusieurs coups portés et non pas à la chute consécutive » ont convaincu le parquet d’ouvrir une information pour « homicide volontaire », a dit le procureur.
Ni l’enquête jusqu’ici, ni l’autopsie, n’ont permis de confirmer l’utilisation d’un poing américain par Estaban qui soutient « avoir frappé à mains nues » et donné « deux coups », a cependant précisé M. Molins. Toutefois, un témoin, ami de Clément Méric, assure qu’il en portait bien un, et deux poings américains ont été retrouvés chez lui lors de la perquisition à son domicile.
L’enquête réalisée par les enquêteurs du 1er district de police judiciaire a également écarté la thèse du guet-apens.
La présence des deux groupes impliqués dans ce drame à une « vente privée de vêtements de marque anglaise » dans le quartier Saint-Lazare, à Paris, mercredi, « semble totalement fortuite », a expliqué le procureur.
Selon M. Molins, un ami de Clément Méric, militant d’extrême gauche lui aussi présent dans cette salle des ventes, a reconnu et chambré un membre du groupe d’extrême droite, Troisième Voie, venu avec deux autres amis, un garçon et une fille, Katia. Selon le procureur, Esteban les a rejoints quelques temps après.
Selon le procureur, c’est bien le groupe de la victime qui a provoqué en premier. En revanche, sur l’origine exacte de la rixe, à savoir qui a porté les coups en premier, le flou persiste.
Les suspects « prétendent avoir répliqué » aux coups qu’ils disent avoir reçus dans un premier temps, a expliqué le procureur. Il a décrit une « rixe », une « scène de violence avec échange de coups » en s’appuyant sur l’audition de « témoins objectifs », comme deux vigiles de la salle de vente, et des personnes impliquées. »
http://fr.news.yahoo.com/mort-cl%C3%A9ment-m%C3%A9ric-ayrault-lance-proc%C3%A9dure-dissolution-jnr-110302103.html
http://fr.news.yahoo.com/mort-cl%C3%A9ment-m%C3%A9ric-ayrault-lance-proc%C3%A9dure-dissolution-jnr-110302103.html
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