Mouammar Kadhafi, le dirigeant libyen déchu, a appelé la communauté internationale à rompre l'isolement autour de son fief de Syrte dénonçant un "crime" commis par l'Otan, a annoncé mercredi soir la chaîne Arraï qui diffuse régulièrement des messages de l'ex-dirigeant traqué.
"Si Syrte a été isolée du monde pour que ces atrocités puissent être commises contre elle, le monde a l'obligation de ne pas la laisser isolée", a déclaré le colonel Mouammar Kadhafi.
"Vous devez assumer votre responsabilité internationale et intervenir immédiatement pour arrêter ce crime", a-t-il ajouté en s'adressant à la communauté internationale.
"Le terrorisme et la destruction pratiqués par l'Alliance atlantique dans la région de Syrte sont indescriptibles", a poursuivi le "Guide" libyen toujours en fuite.
En fuite depuis la chute de son quartier général à Tripoli le 23 août, après avoir régné 41 ans sur le riche pays pétrolier, le colonel Kadhafi reste combatif. Il avait appelé ses partisans à lutter "jusqu'à la victoire" dans un message lu lundi par la même chaîne de télévision basée en Syrie.
Au sein de l'Otan, le porte-parole de l'opération Protecteur unifié a dit ne pas disposer d'informations sur le sort de Mouammar Kadhafi, visé par un mandat d'arrêt international émis par la CPI et un avis de recherche international après la diffusion d'une "notice rouge" par Interpol.
Engagée sous mandat de l'ONU pour protéger les civils, l'Otan a toujours affirmé que Mouammar Kadhafi n'était pas une cible pour elle. Mais plusieurs responsables politiques des pays de la coalition ont reconnu que l'Alliance contribuait à la traque du dirigeant déchu.
Sur le terrain, les offensives annoncées depuis plusieurs jours n'ont pas encore eu lieu sur les bastions pro-Kadhafi de Bani Walid (170 km au sud-est de Tripoli), Syrte (360 km à l'est de Tripoli) et Sebha (centre), qui ont montré leur capacité à résister et même à contre-attaquer.
Les avions de l'Otan ont cependant poursuivi leurs frappes mardi, essentiellement autour de Syrte, la région natale du colonel Kadhafi, et de Waddan, dans l'oasis de Djofra, selon l'Alliance.
"Si Syrte a été isolée du monde pour que ces atrocités puissent être commises contre elle, le monde a l'obligation de ne pas la laisser isolée", a déclaré le colonel Mouammar Kadhafi.
"Vous devez assumer votre responsabilité internationale et intervenir immédiatement pour arrêter ce crime", a-t-il ajouté en s'adressant à la communauté internationale.
"Le terrorisme et la destruction pratiqués par l'Alliance atlantique dans la région de Syrte sont indescriptibles", a poursuivi le "Guide" libyen toujours en fuite.
En fuite depuis la chute de son quartier général à Tripoli le 23 août, après avoir régné 41 ans sur le riche pays pétrolier, le colonel Kadhafi reste combatif. Il avait appelé ses partisans à lutter "jusqu'à la victoire" dans un message lu lundi par la même chaîne de télévision basée en Syrie.
Au sein de l'Otan, le porte-parole de l'opération Protecteur unifié a dit ne pas disposer d'informations sur le sort de Mouammar Kadhafi, visé par un mandat d'arrêt international émis par la CPI et un avis de recherche international après la diffusion d'une "notice rouge" par Interpol.
Engagée sous mandat de l'ONU pour protéger les civils, l'Otan a toujours affirmé que Mouammar Kadhafi n'était pas une cible pour elle. Mais plusieurs responsables politiques des pays de la coalition ont reconnu que l'Alliance contribuait à la traque du dirigeant déchu.
Sur le terrain, les offensives annoncées depuis plusieurs jours n'ont pas encore eu lieu sur les bastions pro-Kadhafi de Bani Walid (170 km au sud-est de Tripoli), Syrte (360 km à l'est de Tripoli) et Sebha (centre), qui ont montré leur capacité à résister et même à contre-attaquer.
Les avions de l'Otan ont cependant poursuivi leurs frappes mardi, essentiellement autour de Syrte, la région natale du colonel Kadhafi, et de Waddan, dans l'oasis de Djofra, selon l'Alliance.
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