Des informations en provenance de l'armée libanaise font état de menaces d'attaques contre l'ONU au Liban, où ont déjà eu lieu au cours des mois derniers des actes similaires, a souligné jeudi Michael Williams, coordinateur de l'ONU pour le Liban.
M. Williams a précisé que personne n'avait été arrêté ou inculpé après les deux dernières attaques contre les forces de l'ONU au Liban le 27 mai et le 26 juillet derniers.
"Les auteurs de ces attaques sont toujours présents au Liban et pourraient encore avoir l'intention de mener d'autres attaques contre la Finul (forces de l'ONU au Liban) ou contre d'autres cibles de l'ONU", a-t-il dit.
"Il y a des risques", a encore insisté M. Williams qui achève une mission de trois ans au Liban. "Comme chacun le sait, il y a une abondance d'armements au Liban. Tragiquement, il y a une histoire ces dernières années d'attentats terroristes" dans ce pays, a-t-il ajouté.
Les autorités libanaises ont renforcé il y a quelques jours les mesures de sécurité autour de l'immeuble abritant les bureaux de l'ESCWA (commission socio-économique des Nations unies pour l'Asie de l'ouest), à Beyrouth après des informations sur une menace d'attaque.
Un grand nombre d'employés à l'ESCWA ont été priés de ne pas venir dans ces bureaux jusqu'à nouvel ordre et de travailler de leurs maisons, a indiqué à l'AFP un responsable à l'ESCWA qui a requis l'anonymat.
Evoquant le Hezbollah, M. Williams a expliqué qu'il y avait au Liban "une organisation non-étatique possédant un arsenal considérable". "C'est une question que les Libanais devront régler eux-mêmes", a-t-il dit.
"Il y a des informations crédibles partagées avec nous, l'ONU, par l'armée libanaise elle-même, faisant état de menaces (contre les forces de l'ONU au Liban) ces trois dernières semaines", a-t-il souligné lors d'une conférence de presse.
M. Williams a précisé que personne n'avait été arrêté ou inculpé après les deux dernières attaques contre les forces de l'ONU au Liban le 27 mai et le 26 juillet derniers.
"Les auteurs de ces attaques sont toujours présents au Liban et pourraient encore avoir l'intention de mener d'autres attaques contre la Finul (forces de l'ONU au Liban) ou contre d'autres cibles de l'ONU", a-t-il dit.
"Il y a des risques", a encore insisté M. Williams qui achève une mission de trois ans au Liban. "Comme chacun le sait, il y a une abondance d'armements au Liban. Tragiquement, il y a une histoire ces dernières années d'attentats terroristes" dans ce pays, a-t-il ajouté.
Les autorités libanaises ont renforcé il y a quelques jours les mesures de sécurité autour de l'immeuble abritant les bureaux de l'ESCWA (commission socio-économique des Nations unies pour l'Asie de l'ouest), à Beyrouth après des informations sur une menace d'attaque.
Un grand nombre d'employés à l'ESCWA ont été priés de ne pas venir dans ces bureaux jusqu'à nouvel ordre et de travailler de leurs maisons, a indiqué à l'AFP un responsable à l'ESCWA qui a requis l'anonymat.
Evoquant le Hezbollah, M. Williams a expliqué qu'il y avait au Liban "une organisation non-étatique possédant un arsenal considérable". "C'est une question que les Libanais devront régler eux-mêmes", a-t-il dit.
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