Après la trêve hivernale et à moins de deux mois de l'élection présidentielle, la scène politique s'anime à Moscou. Le Premier ministre Vladimir Poutine souffle le chaud et le froid, il promet de renoncer à « une répression excessive » en Russie, mais il refuse de débattre à la télévision avec ses concurrents.
Sous prétexte que sa présence à des débats électoraux télévisés l'empêcherait de bien remplir ses fonctions de chef de gouvernement, Vladimir Poutine se dérobe à des confrontations directes avec ses concurrents. Il s'y était d'ailleurs refusé en 2000 quand il est devenu président pour la première fois et en 2004 quand il a été réélu.
L'homme fort de Moscou annonce les grandes lignes de sa campagne sur son site internet. Il promet entre autres que la société civile pourra disposer de mécanismes réels, pour « contrôler l'activité des autorités ». Car, dit-il, il faut « renoncer à la tendance de réprimer excessivement la société ».
Mais l'opposition démocrate ne croit pas aux promesses de Vladimir Poutine. Le leader du parti Iabloko, Sergueï Mitrokhine, affirme que le Premier ministre ne tiendra pas parole une fois redevenu président, il a l'habitude de diriger par la force.
Les engagements de Vladimir Poutine seront sans doute mis à l'épreuve le 4 février, date à laquelle l'opposition a prévu un grand rassemblement. Pour l'instant, de hauts responsables du pouvoir russe véhiculent la thèse du complot. Ils disent que la contestation contre le régime en place est orchestrée depuis l'étranger.
A mon sens la déstsabilisation de la Russie et sa vassalisation à l'empire US-Europe est le principal objectif de cette hydre , le capitalisme, qui se trouve en agonie économique du fait de la crise financière.
La volonté de mainmise sur la Russie des banksters qui exercent le pouvoir aux USA et dans le monde occidental, apparaît patente au quotidien ne serait-ce que par l'intox médiatique grossière.
D'évidence Monsieur Poutine, dont la volonté est inflexible, affermira son pouvoir face aux situations de conflits systèmiques qui sont à ses portes et que veulent allumer les US et l'occident servile, pour mieux affaiblir géopolitiquement la Russie.
Monsieur Poutine est notre plus précieux allié et nous devons faire cause commune avec cet homme providentiel.
La volonté de mainmise sur la Russie des banksters qui exercent le pouvoir aux USA et dans le monde occidental, apparaît patente au quotidien ne serait-ce que par l'intox médiatique grossière.
D'évidence Monsieur Poutine, dont la volonté est inflexible, affermira son pouvoir face aux situations de conflits systèmiques qui sont à ses portes et que veulent allumer les US et l'occident servile, pour mieux affaiblir géopolitiquement la Russie.
Monsieur Poutine est notre plus précieux allié et nous devons faire cause commune avec cet homme providentiel.
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